Une Conclusion Sur Le Comique De L

Voltaire de faire une critique de l’intolérance vis-à-vis des religions et des croyances d’autrui. Ainsi nous allons voir par quels procédés l’auteur, à travers cette scène vivante va dénoncer l’intolérance. I) Le contexte de la scène comique et vivante a) Le comique autour de la caricature des religions -Confrontation de plusieurs sentiments «fort en colère », « s’écria avec douleur » -Voltaire veut montrer que chacun a ses convictions et qu’il est venu pour se faire entendre -Hyperbole pour montrer

artificiel des femmes qui se croient savantes. Dans notre extrait, il est question du renvoi de Martine par sa maîtresse pour avoir commis une faute de grammaire (un solécisme). On étudiera le langage des personnages, la satire des caractères et le comique de la scène. Un langage affecté, maniéré Notre extrait présente une critique du « snobisme » des femmes savantes que sont Philaminte et Bélise. L’emploi d’un vocabulaire emprunté à la grammaire (« nominatif », « substantif », « singulier », « solécisme »

Phrases nominales qui expriment le désarroi d’Argan devant le charlatanisme (l.122)« me couper un bras, me crever un œil ». (l.123)« J’aime bien mieux qu’il ne se porte pas si bien » Argan reconnaît que les remèdes peuvent être pire que les maux. Conclusion : Cette comédie caricaturale de la médecines réussit à détourner Argan des médecins alors que les railleries de Toinette et le bon sens de Béralde n’avaient pu y parvenir. II/ La satire de la médecine 1) Prétentieux Termes hyperboliques (l.5)« illustre »

dévotion. Mais pas seulement car Molière a travers Tartuffe s’attaque a la religion directement. IL s’attaque au temps au Jeansénisme qu’aux Jésuites. La religion est présente grâce aux champs lexicaux de la religion : cieux, pieux, chemin du ciel,… Conclusion : cette scène est bien une scène d’exposition dans la mesure où tous les personnages sont présenté et que l’intrigue de la pièce est annoncé. Cette scène d’exposition réside sur le personnage de madame pernelle quia un rôle de metteur en scene :

exemple : Candide, à Venise, rencontre tour à tour une servante devenue prostituée, un riche seigneur vénitien qui s'ennuie, et des princes déchu.). 2 Au mélange des classes sociales, Voltaire ajoute des procédés proches, le burlesque (=> d'un comique extravaguent ) et la parodie, qui mêlent des tons et des genres à des fins satirique : ils révèlent les illustrations de l'amour romanesque, les intérêts sordides qui fondent l'ordre religieux, social et politique, le caractère artificiel et dangereux

L’analyse de cette fable portera d’abord sur les aspects comiques du récit, puis sur la satire du prêtre. Commentaire littéraire : I. Le comique du récit Cette histoire est dramatique, mais La Fontaine transforme la tragédie en comédie. Dans le premier quatrain, il décrit les personnages selon un parallélisme de structure, et use de l’antonymie d’adverbes de manière (« tristement » et « gaiement »). Il annonce d’emblée un récit comique. Des verbes d’action comme « s’en allait » (vers 1) et

médecin, un noble, une personne cultivée mais il est en contradiction entre ce qu’il dit et ce qu’il fait. Il utilise des connecteurs logiques et des questions rhétoriques pour arriver à des arguments irrecevables : cela fait de lui un personnage comique. Il sera le faire-valoir de son maître et apportera de la légèreté à la tension tragique de la pièce. * Au début de la pièce, Dom Juan n’est pas hypocrite et assume son libertinage. Ce n’est qu’à l’acte V qu’il va basculer dans l’hypocrisie

Le comique place ses personnages dans leur milieu et veut peindre les mœurs de son temps. En se moquant des snobs, des médecins, des hypocrites, il dresse un tableau de la société de son temps. Dans « Remettons le Petit Prince à sa place » de Pierre Desproges, l’auteur met en scène deux personnages célèbres dans une rencontre, il s’agit de la Vénus de Milo et du Petit Prince issu de l’œuvre de Saint-Exupéry. Nous essayerons de découvrir en quoi il s’agit ici d’une scène étonnante. Pour répondre à

aspect comique. Les personnages sont généralement confrontés à des situations qui s’avèreront comiques pour le lecteur. Dans le texte « l’huitre et les plaideurs » deux pèlerins se disputent pour l’obtention d’une huitre. Ces situations burlesques se retrouvent dans les apologues et notamment dans les fables de La Fontaine telles que « les animaux malades de la peste » ou encore «  la grenouille et le bœuf ». Il existe différents types de comique dans les œuvres littéraires. Le comique de caractère

sont appelés (Dame Baleine), il y a un registre comique, de la mythologie (Jupiter). Les personnages sont allégoriques et chacun va illustrer un comportement. Il y a un dialogue très travaillé car il y a une façon de rapporter les paroles pour ne pas ennuyer le lecteur (discours narrativisé). Variété des types de phrases : impératif (v1-2, QUE + subj, v6-7), interrogatives (v9 : vrai question, v9²-10 : rhétorique (sentiment de vexation). Conclusion : LF nous fait entrer dans le vive du sujet et