Une Conclusion Sur Le Comique De L

Introduction : -Film de Charles Chaplin (art du visuel) -Problématique : Comment Chaplin dénonce et s’engage contre le totalitarisme nazi ? -Annonce du plan : • Indentification de l’œuvre • Analyse d’une scène du film • Interprétation et conclusion Indentification de l’œuvre : -Film américain de Charles (ou Charlie) Chaplin sorti le 15 octobre 1940 -Sujet : le totalitarisme hitlérien à travers un régime caricatural fictif -Acteurs principaux : • Charles Chaplin, dans le rôle de Adenoid

Cependant, celui-ci se heurte à une hiérarchie insaisissable. C’est pourquoi il est intéressant de s’attarder sur les aspects philosophiques du conte, nous verrons donc comment Voltaire fait une satire de Versailles, puis nous distinguerons le comique dans les malheurs de l’ingénu Commentaire : L’auteur nous montre un personnage naïf arrivant devant un monde différent du sien, « Je viens parler au roi ; je vous prie de me mener dans sa chambre » « Les porteurs lui rient au nez » l’ingénu

vois pas », « J’eus comme Buckingham », « j’adore », « je suis », Il me vient ». -ponctuation qui souligne l’émotion ; « le mot est doux ! », « un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ? », Ah ! Roxane ! ». II) L’association du pathétique et du comique. 1) Le registre pathétique. -champ lexical de la tristesse ; « épouvantement », « soupir », « larmes », « souffrances », « triste », « pincement », « ombre », « triste ». -didascalie ; « dégrisé ». -« c’est vrai, je suis beau, j’oubliais

effets comiques. - Quels moyens sont utilisés pour faire passer ce message ? Il existe différentes sortes de comique et on remarque que « Le Dictateur » les rassemble tous : comique de situation (place un personnage dans une situation particulièrement ridicule), comique de caractère (l'auteur se moque des traits de caractère d'Hynkel), comique de mots (des jeux de mots, des plaisanteries, un langage déformé ou inventé suscitent le rire) et de gestes (des mouvements comiques). Conclusion : portée

profite de la situation pour se défouler      Troisièmement abordons l'aspect comique de la pièce. Molière utilise plusieurs  comiques à la fois dans cette scène. Tout d'abord il y a le comique de mots lorsque Alain  et Georgette insulte leur propre maître « vous êtes un sot ». Ensuite il y a le comique de  geste lorsque ces derniers poussent Arnolphe, le dominé devient le dominant grâce à la  ruse. Puis il y a le comique de situation car cette scène est avant tout une mise en abîmes  où les acteu

». 2) Dans l’approche de cette activité rythmique des muscles zygomatiques, typiquement humaine selon Rabelais, il est difficile de distinguer ce qui serait un rire naturel, spontané, qui naît au hasard des circonstances de la vie courante, du comique étudié, théâtral, que le public va chercher dans des spectacles produits pour le distraire. D’une part parce que la vie sociale la moins concertée, fertile en sujets d’amusement, est toujours une sorte de théâtre naturel où les uns (en position de

long de la pièce quatres types de comiques pour susciter le rire chez son public. Nous avons le comique de geste, qui passe par des coups, comme dans l'acte 1 scène 5 quand Argan poursuit la servante Toinette son bâton à la main prêt a lui asséner un coup. Mais egalement lors du monologue d'Argan dans la snène 1 acte 1 lorsqu'il compte plusieurs son argent, ce qui revèle par ailleurs son caractère cupide et avare. On retrouve ensuite le comique de situation. Ce comique est présent dans le malentendu

transforme alors en déclaration d'amour. En quoi cette scène constitue-t-elle une analyse psychologique fine et complexe des personnages, et ce à travers leur discours, démontrant ainsi la virtuosité de molière, qui dépasse le prototype du héros comique en lui attribuant une dimention dramatique? Pour répondre à cette problématique nous étudirons dans un premier axe l'ambivalence du personnage d'alceste. puis selon un second axe le portrait nuancé et riche de Célimène. I/un personnage ambivalent

voix (mots davantage criés que parlés) et le rythme des phrases (élocution très saccadée) évoquent la violence du personnage et de ses idées.   Chaplin a écrit ce discours dans une langue inventée où quelques termes seulement sont reconnaissables (comique de mots). Ici c'est la langue allemande dans sa dimension la plus agressive qui est parodiée; mais l'essentiel de ce qui est dit ne veut rien dire... Chaplin montre par là que le discours est d'une rare pauvreté et stupidité. Il met en évidence qu'en

particulière de la nature humaine. Ainsi, selon leur caractère le débat va passer du ton léger à l’affrontement par la parole. b) Le registre comique à travers le débat Deux discussions de l'extrait se font sur un ton léger et amical : la première, entre Sybil, Pop et Kreps sur la notion d'âme, la seconde, à propos de la conversion des Papous par Pop. Le registre comique est bien présent car les arguments sont tournés en dérision alors que le thème est sérieux puisqu’il porte sur la nature de l’homme