Commentaire composé Acte IV de l cole des femmes
Georgette vont en profiter pour malmener leur maître. La situation va tourner au ridicule et devenir une satire social. Premièrement parlons d'Arnolphe et de son comportement qui va tourner au ridicule. Ce dernier utilise la flatterie pour tenté de manipuler ses serviteurs « mes fidèles »
(vers 1092) « mes vraies amis » (vers 1093). Il tente de les mettre au même niveau que lui en utilisant la première personne du pluriel « Laissons » (vers 1094) et en les faisant se sentir concerné par son problème « autant que moi » (vers1100). Il utilise le champs lexical de l'honneur « ôté l'honneur » (vers 1097) « mauvais tour » (vers 1096) pour expliquer les intentions d'Horace, cela va s'avérer ironique car au fur et à mesures de la pièces il va se faire déshonorer par ses propres serviteurs qui vont l'insultez, le volez et le mal traiter. Ces mêmes serviteurs qu'il tentait de manipuler avec les procédés vu ci dessus. A la fin de la scène il tente de regagner l’autorité qu'il a perdu en leurs ordonnant de garder l'argent « je vous laisse l'argent » (vers 1130) chose qu'ils allaient de toute façon faire. Deuxièmement étudions le cas des serviteurs qui vont s'amuser de leur maître.
Alain et Georgette vont trompez Arnolphe en jouant les sots. En effet ils vont faire semblant de jouer le jeu de rôles où Arnolphe imite Horace. Pour cela les serviteurs vont exagérer leurs réactions, Alain réplique aux consignes de son maître en faisant mine de découvrir son stratagème « Oh ! Vraiment. » (vers 1105). Quand à Georgette elle parle d'Horace comme une menace « s'en défendre » (vers 1106). Alors Arnolphe les croit et commence son imitation, on constate cela grâce au guillemets. C'est justement à la