Un échange Aristocratique

navigation de Cromwell et de Charles Il assurèrent la protection de la marine marchande et ruinèrent la Hollande. 2/ La physiocratie : Fin XVIIe, les thèses mercantilistes sont contestées. On prend conscience notamment de la solidarité complexe des échanges économiques internationaux. Une nouvelle doctrine économique va se constituer peu à peu, dans une continuité partielle du mercantilisme. L'analyse économique se recentre sur les interdépendances au sein de l'économie nationale (contrairement au

Il met en avant le progrès des arts et des sciences ainsi que la recherche du bonheur sur Terre. On appelle "siècle des Lumières" la période qui va de la mort de Louis XIV (1715) au début la Révolution française (1789). Relayé par les élites aristocratiques et bourgeoises, le mouvement des Lumières a produit un véritable bouleversement de la pensée et a ébranlé les certitudes anciennes. Son influence a été déterminante dans la Déclaration d'indépendance des États-Unis d'Amérique et dans la Révolution

marquée par l'assimilation de la musique continentale.    Au XIIIe siècle, le changement de régime politique entraîna la résurgence de la musique indéterminée. Les militaires, en s'emparant du pouvoir, voulurent discréditer tout ce que la classe aristocratique, jusqu'alors dominante, avait valorisé et, entre autres, la musique acclimatée à la Cour. C'est ainsi que, pendant les sept siècles du gouvernement des généraux (début de Kamakura, 1185, à la fin d'Edo, 1868), on assista à une véritable floraison

pouvoir va mettre sur pied, un conseil aristocratique (contre pèse le pouvoir royal). Entre ce pouvoir royal et ce conseil aristocratique vivent des paysans libres, c’est-à-dire des paysans suffisamment aisés pour acquérir une panoplie (c’est-à-dire une armure, un droit militaire autorisant l’usage de la force). La paysannerie va s’agrandir pour des raisons économiques et va devenir un corps social important. Cet élargissement va obliger les familles aristocratiques à engager des réformes. Aristocratie

de ses sujets.» (vers 595-596) «Qui m'aima généreux me haïrait infâme.» (vers 890) «L'infamie est pareille et suit également Le guerrier sans courage et le parfait amant.» (vers 1063-1064) La vigueur héroïque se manifeste - dans des échanges tels que celui-ci : «Rodrigue, as-tu du cœur ? Tout autre que mon père L'éprouverait sur l'heure.» (vers 261-262) - dans une narration telle que celle-là : «Nous partîmes cinq cents ; mais par

l'unification territoriale puisqu'ils veulent garder leur territoire. En plus ou moins 750, Pépin le Bref fait un coup d'état. Il renverse les Mérovingiens pour laisser place aux Carolingiens. Afin de renforcer son autorité, Pépin obtient l'appui du pape en échange d'une donation de terre: les états pontificaux. Ces-derniers empêchent l'unification de l'Italie jusqu'au 17ème S.   Pour l'Allemagne: Deux puissances de même taille, la Prusse et l'Autriche, cherchent à phagocyter le territoire. Pendant qu'ils

liant situation politique et situation financière, touche un nombre grandissant de paysans non propriétaires terriens : l'inégalité politique et le mécontentement sont forts dans le milieu rural ; d'autre part le développement de la monnaie et des échanges commerciaux fait émerger une nouvelle classe sociale urbaine aisée, composée des artisans et armateurs, qui revendique la fin du monopole des nobles sur la sphère politique. Pour répondre à cette double crise, de nombreuses cités modifient radicalement

de l’empire Germanique. Les rois Germaniques ont de grandes difficultés à imposer leur autorité sur ces territoires qui leurs sont lointains. Cette autonomie que les communes revendiquent est le fait de l’alliance entre les évêques et l’élite aristocratique qui mettent en place une manière de gouverner hérité de la res publica romaine, la chose publique. Le texte étudié date de 1154, c’est la date du premier voyage de Fréderic Ier en Italie. Il emmène dans ce voyage son oncle, Otton de Freising qui

« salons littéraires » car ils sont beaucoup plus que ça, à la fois lieux d’échanges culturels, mais également lieux de débats politiques, et de sociabilisation. Enfin, il ne s’agit pas non plus de les réduire à l’aristocratie, en tant que « salon aristocratique », car ils ne peuvent pas être considérés comme institutions à part entière, mais bien comme centre à rayonnement artistique, et parfois même, scientifique. L’auteur montre ainsi qu’il est beaucoup plus évident de définir ce que les salons ne

certains vont les employer pour défendre leurs droits culturels, d'autres pour développer leurs ventes, d'autres encore pour rejoindre des réseaux choisis. A chacun ses usages, certes... Mais croire que c'est par la "rencontre des cultures", dans leurs échanges et interactions réciproques, que seront résolues de manière presque mécanique les interrogations soulevées par l'altérité, c'est occulter les hiérarchies symboliques qui structurent nos sociétés et éluder la question du politique, et des inégalités