Un homme pour l'éternité

chacun de nous pour les deux autres. » (p.42) Cette métaphore prouve qu’elle est la première à découvrir la règle et la loi de l’enfer ce qui la rend clairvoyante, non-vulnérable et infaillible. Par ailleurs, les autres sont bien liés à elle pour l’éternité. Même quand les portes s’ouvrent Garcin et Estelle ne se décident pas à sortir et à se délivrer d’Inès car ils sont complètement dépendants d’elle. Inès dit à Garcin : « Allons, tu n’as pas le choix : il faut me convaincre. Je te tiens. » (p

Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A la dernière strophe : femme face à son destin, âgée « beauté qui passe », en cendre (morte). C’est le temps qui passe. Pour Senghor, la mémoire et l’écriture permettent de fixer l’existence et la beauté dans l’éternité. b) Les qualités de la femme Ce poème est un hymne à la femme noire. Les 4 premières strophes : interpellations, accumulations, appositions à la femme noire et nue : - Protectrice (protège l'enfant, accueille l'homme mûr) - Douceur - Apporte

L’attaque est brutale (strophe 1) et le coup bas. Le ton est donné : l’ironie domine dans ce texte. Si le fait énoncé est probable, voire certain, il n’y a aucune galanterie à comparer le visage de celle que l’on désire séduire avec celui d’un vieil homme. Les charmes « usés » de la fin de la cinquième strophe reprennent cette image dégradée, peu flatteuse. On retrouve ici le langage agressif de Ronsard commençant son sonnet par « Quand vous serez bien vieille… » Dans la seconde strophe, le langage

dérisoire. Cette chose impalpable qui évoque la vie humaine, qui comme la fumée est négligeable et passager face à l’immensité du monde. Pourtant l’élévation des fumées aspire a la spiritualité. L’auteur insiste beaucoup sur ces fumées car chaque homme, aussi humble soit-il a toujours une certaine spiritualité et aspire a une certaine éternité. Dans ce texte Le Clézio parle du ciel. C’est l’infinis, il est considérer comme l’au-delà dans la plus part des religions, quelles soient polythéistes ou

Gottfried Wilhelm Leibniz est né le 1er Juillet 1646 dans une ville du nom de Leibzig, c'était un philosophe, scientifique, matématicien, logicien, diplomate, juriste, bibliothécaire et philologue allemand qui a écrit en latin, alemmand et français. Cet homme est décédé à Hanovre le 14 novembre 1716. On comprend dès lors que la thèse leibnizienne soit parfaitement inattaquable — du moins avec les moyens choisis par Voltaire — et que vouloir faire de « Candide » une tentative pour la réfuter revienne à

Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A la dernière strophe : femme face à son destin, âgée « beauté qui passe », en cendre (morte). C’est le temps qui passe. Pour Senghor, la mémoire et l’écriture permettent de fixer l’existence et la beauté dans l’éternité. b) Les qualités de la femme Ce poème est un hymne à la femme noire. Les 4 premières strophes : interpellations, accumulations, appositions à la femme noire et nue : - Protectrice (protège l'enfant, accueille l'homme mûr) - Douceur -

qu'il chérit, la solitude, l'inquiétude ­par empathie ou projection­ pour leur condition, le vertige de l'éternité dans la crainte de ne plus les revoir. Ces menaces l'affectant dans ses liens, elles l'atteignent du reste aussi quand il imagine sa propre mort dans son contexte social: à nouveau, privation des autres, solitude, inquiétude pour ceux qui restent, trouble de l'idée de l'éternité de la séparation. Mais à nouveau, ce sont là d'autres défis que la mort à proprement parler. Mais comment

des Apalaches, qui se dessinaient comme des caractères d'azur dans les hauteurs dorées du ciel; à l'occident, le Meschacebé roulait ses ondes dans un silence magnifique, et formait la bordure du tableau avec une inconcevable grandeur. Le jeune homme et le missionnaire admirèrent quelque temps cette belle scène, en plaignant le Sachem qui ne pouvait plus en jouir; ensuite le P. Souël et Chactas s'assirent sur le gazon, au pied de l'arbre; René prit sa place au milieu d'eux, et après un moment de

Chacun de nous, autant qu’il est, a son origine : notre naissance, notre enfance et notre croissance n’ont pas été les mêmes. Chacun de nous a donc quelque chose de particulier dans la mesure où nous n’avons pas reçu la même éducation. De fait, chaque homme, autant qu’il est, a son histoire qui, qu’elle soit bonne ou mauvaise, est inhérente à son comportement et qui, par conséquent, fait de lui ce qu’il est. Cela dit, en dépit de toute la confiance que nous pouvons placer les uns dans les autres, il

Est une pièce en dix scènes, librement adaptée du mythe d'Ariane, de Thésée et du Minotaure. La version la plus conne du mythe explique que la femme du roi Minos, aurait eu une aventure avec un taureau. De cette relation serait né un enfant, mi-homme, mi-taureau. D'une nature dangereuse, ce taureau appelé « Minotaure » aurait été enfermé dans une immense labyrinthe d'où il était impossible de sortir. Chaque année, le peuple Grec envoyait sept jeunes hommes et sept jeunes femmes en sacrifice dans