Un homme pour l'éternité

(Dieu) que grâce à l’art et la beauté de cet art, il peut créer comme lui. Selon Baudelaire, avec l’Art on peut imiter la perfection divine sans toutefois l’égaler. Il compare la dignité de l’homme et l’éternité : l’art et la beauté de l’art témoigne de notre dignité mais ce n’est rien comparé à l’éternité de Dieu. Le Poète Dans les Phares, Baudelaire rend hommage aux grands de l’art pictural que sont Rubens, Rembrandt, Michel-Ange, Delacroix, Léonard de Vinci… Dans l’Albatros, le poète est symbolisé

la beauté qu’on rencontre, certains auteur ont notés qu’il ya des similitudes de phénomènes psychologiques. On peut en distinguer 4 mécanismes psychologique qui accompagnent la rencontre avec la beauté :  ex une fille dans le métro devant un bel homme.  1. Un sentiment fondamental de l’admiration, proche de l’éblouissement. D’ailleurs on a les yeux écarquillés. ça nous pétrifie, bouche bée. (cf le syndrome de Stendhal, face à la beauté certains sont pétrifiés ont doit les chercher en ambulance

elle profitait peut être de son amour - Hypocrisie dans sa tristesse : « fausses larmes » - amour incestueux (référence à Henri VIII, et au prétendu mariage incestueux avec sa femme) avec un homme inferieur à son père - Glorification de son père ( Claudius « un satyre » - « comme si son appetit ne cessait de croitre » (à valeur de proverbe) : désir sexuel féminin incontrolable ( => mysogynie (qui vient de

Théâtre - Tableau synoptique : Texte A - Molière, Le Bourgeois gentilhomme , 1670 (II,4) Comédie-ballet classique Le marquis imaginaire. Monsieur Jourdain est un homme d’affaires prospère qui, comme son père, a fait fortune en vendant des draps. Or comme il vit à Paris sous le règne de Louis XIV, ce n’est pas suffisant pour son ambition sociale et pour tromper sa femme avec une jolie marquise. Pour cela, il lui faut appartenir à la noblesse et, à défaut d’être noble, faire comme : suivre les extravagances

surfaces, écrivez-le à l’horizon, tout ce que j’ai fait maintenant. Maintenant, quand tout est fait, il n’y a rien à dire. Tel un ange déchu, porté par le souffle du temps, il tombe dans la chute libre d’une nuit étoilée comme une lune bleue. Touchez l’éternité et envolez-vous dans le ciel.Quand tout est fait, il n’y a rien à dire, vous êtes sans voiture et sans effort. Je dis non.J’ai cassé Joost Hurt pour le plaisir , et je pensais que ma vie était juste terminée. Maintenant

caractérisé par les phrases courtes marquées de long repos produit un certain apaisement pour celui qui les écoutent. Ensuite les figures de style telles que les allitérations rendent le texte plaisant d'avantage (« un zig zag bruissant dans l'azur de l'éternité » l'allitération en z renvoie au vrombissement des abeilles). Enfin les champs lexicaux de l'espace (« cosmos », « univers », « astres », « planètes ») et de la nature (« fleurs », « ruisseaux, « eau », « arbre ») permettent à l'auditeur d'entrer

Cattelan le faisait redescendre au rang d’Homme, le rabaisser, en le figeant dans cette position pour l’éternité, on pourrait même penser que l’artiste voulait le faire pardonner auprès de Dieu. Cette sculpture représente aussi la superposition du BIEN et du MAL car l’enfant représentant l’innocence alors qu’Hitler Aujourd’hui la sculpture appartient à un juif américain rescapé de la shoah, cet homme l’a peut être acheté pour se venger d’Hitler et de tout ce qu’il leur a fait subir à lui et à ces semblables

pour œil, dent pour dent ; selon la lésion qu’il a Reprise du texte biblique que l’auteur va analyser (dans le résumé, faite à autrui, ainsi lui sera-t-il fait. Qui tue un animal doit le payer et qui tue une référence à ce texte célèbre suffit) un homme doit mourir. Même législation vous régira, étrangers comme nationaux ; car je suis l’Eternel, votre Dieu à tous »1 Sévères paroles ! Combien éloignées de celles qui magnifient la nonrésistance au mal. Vous y avez sans doute pensé à cette autre page

dehors du domaine des affaires humaines, en dehors de la pluralité des hommes : c’est ce que nous enseigne, dans la République, la parabole de la Caverne, où le philosophe se délivre des liens qui l’enchaînaient à ses compagnons et s’éloigne dans l’éternité ; mais cet état ne peut être que provisoire. C’est ainsi que les philosophes qualifient comme vaine et inutile toute quête d’immortalité. Le domaine public et le domaine privé L’homme : animal social ou politique. * Toutes les

« penser » et « l’être » sont la même chose. Unité divine Lorsque Parménide parle de l’Etre, c’est à dire de Dieu, il le dit « éternel » Le christianisme est d’accord avec cette vision. Par éternel, on entend que Dieu s’auto-crée, puisque l’éternité n’est pas une durée. Parménide envisage aussi Dieu comme une « unicité fermée » Ceci ne cadre pas avec le Christianisme puisque là Dieu est Un mais il est aussi Trinité La personnification de Dieu est une création du Christianisme justement pour