Harald Szeemann

matériaux dans l'espace d'exposition. Il participe à des expositions collectives, souvent aux côtés d'artistes conceptuels ou minimalistes, comme par exemple l'exposition historique : Quand les attitudes deviennent forme organisée en 1969 par Harald Szeemann à Berne, ou les grandes rencontres internationales comme la Documenta deCassel de 1972, et la Biennale de Venise de 1976. Il participe à toutes les expositions1 de Land Art dont il devient une figure majeure, notamment pour ses nombreuses œuvres

une population de 4,8 millions d'habitants. La Norvège est traditionnellement divisée en cinq Landsdeler. Le territoire norvégien est organisé en trois échelons d’administrations: l’état, les départements et les communes. Chef de l’état: le Roi Harald V de Norvège Chef du gouvernement: M.Jens Stoltenberg, Premier Ministre Démographie: Superficie: 385 199 km² Population: 4 799 252 Capitale: Oslo Langues: Norvégien (bokmål et nynorsk). Dans certaines régions, le sámi (ou lapon) est également

n'empêchent pas Trulli de se bâtir une solide réputation dans le paddock. Pour les saisons 2000 et 2001, il est recruté par l'écurie Jordan qui sort d'une belle saison 1999. Souvent brillant en essais où il domine progressivement son coéquipier Heinz-Harald Frentzen, il ne parvient pas à concrétiser en course. Trulli chez Renault F1 TeamToujours sous contrat de management avec Flavio Briatore, Trulli signe en 2002 chez Renault, l'écurie dont Briatore est le directeur sportif. À nouveau très performant

d'Angleterre bâtira une abbaye à cet endroit. Enfin, revenons aux préludes de cette bataille mythique. Quelques semaines avant l'évènement principal, le roi d'Angleterre a dû sortir son armée pour une bataille imprévue. En effet, Harald Hardrada, où souvent appeler Harald III de Norvège, débarqua avec son armée sur les campagnes anglaises près de York. Sans être une bataille historique, Harold laissa plusieurs de ses combattants sur ses terres. Afin de comprendre l'importance de Guillaume à l'époque

compte des révolutions qui s’opèrent dans le monde de l’art sur le plan international ont lieu ailleurs : l’exposition When Attitudes Become Forms à la Kunsthalle de Bern en 1969 et la Documenta V de Kassel de 1972, toutes deux organisées par Harald Szeemann regroupent pour la première fois en Europe des artistes du Land Art, de l’Arte Povera ou encore de l’Art Conceptuel, mouvements fondés dans les années 1960 aux Etats-Unis, en Angleterre et en Italie. Ces expositions considérées aujourd’hui comme

CAHEN Antoine H5 L’art de l’exposition : une histoire du XXème siècle Examen de fin d’année Enseignante : Carlotta Darò Questions 1) Qui sont les sujets de ces trois images ? Que font-ils ? Pourquoi ces photographies montrent une action, un geste, plutôt qu’une œuvre terminée ? La première image s’agit de Jackson Pollock et l’image le représente en pleins dans le processus de création et de peinture. Jackson Pollock (dripping painting) montre régulièrement la manière dont il produit les

quelque chose d’anachronique bien que les dessins animés relèvent plus ou moins de la science-fiction. Dans « La science fiction est-elle une subculture ? » publié dans le catalogue de l’exposition « Science-Fiction » (Paris, 1967) imaginée par Harald Szeemann, Gérard Klein remarque : « La science-fiction est si pleine de concepts et d’objets qui luis sont devenus propres et dont elle développe interminablement les conséquences, que les problèmes de la forme se sont trouvés a apparemment rejetés

Mythologies quotidiennes 2 portait encore sur les images médiatiques, une autre exposition rendit compte en 1972, d’un resserrement du quotidien sur l’intime. Il s’agit de la section intitulée « Individuelle Mythologien » de la Documenta 5 : Harald Szeemann y avait réuni des œuvres symptomatiques de ce glissement du quotidien comme objet d’une vision collective au quotidien comme expérience individuelle. Catherine Millet définit ainsi l’opposition entre ces deux conceptions : On peut entendre l’expression

qu’une sociologue comme Nathalie Heinich fait des commissariats d’Harald Szeemann est, à ma connaissance, la seule à avoir réussi à se dégager de ces connotatifs méprisants, pour reconnaître au commissaire (d’exposition) cette qualité d’artiste « homologue de celle que confère aux artistes l’exercice de leur activité », qui se donne à voir « par l’invention de nouvelles manières d’exposer… dans de nouveaux lieux ». Son Harald Szeemann peut même aller « jusqu’à l’évitement du succès, qui n’est plus investi

la légitimité de la fonction. Quelques rappels et une situation butoir Les années 1950-1960 avaient consacré le modèle du commissaire conceptuel, dans la lignée du XIXe siècle et des débuts du XXe siècle. [3] Pierre Restany, Harald Szeemann, Germano Celant en sont les ultimes archétypes : autour d’eux et par eux se voient réunis des artistes que lient un fil rouge créatif, une même sensibilité poétique et esthétique, qu’ils élaborent et raffinent intellectuellement. Les années