Un homme pour l'éternité

une fois atteinte, nous décevra ? C'est la marque de l'Homme, cette contradiction tant évoquée par Pascal dans ses Pensées, l'homme qui s'illusionne et tente d'oublier sa condition par la poursuite de désirs vains et irréalisables : comme celui de l'éternité. C'est d'ailleurs l'une des constantes que l'on retrouve dans de nombreuses religions : le Dieu serein, dépourvu du moindre désir puisqu'il vit comblé. En cela, nous exprimons un phantasme humain que de se débarrasser de tous nos désirs, de les

déprimé «  je ne saurais faire un pas sans marcher sur mes pas d’hier ». Mais ce n’est pas le seul dans cet état son ami Spark monte lui aussi un « mal du siècle » , en exprimant une vision du monde et des penssées plutôt négative et déprimantes ; « L’éternité est une grande aire, d’où tous les siècles, comme de jeunes aiglons, se sont envolés tout à tour pour traverser le cielet disparaître ; le nôtre est arrivé à son tour au bord du nid ; mais on lui a coupé les ailes, et il attend la mort en regardant

qui va être un lieu de mémoire pour tout le monde. L’image immobile est apparemment une image pauvre par rapport au cinéma mais est-ce un déficit ou un atout par rapport à des expérences plus riches qui mobilisent tous les sens. Pierre Agulhon : homme des mariages et des monuments aux morts. Jack Lancemann : la shoah. Pbtique : peindre au temps du tout photographique : avaient-ils raison de pronostiquer la mort de la peinture ds les 70-80’s ? 1. Peindre : la plus vieille activité du monde :

découverte ou de la perte qui se passe maintenant, vous ne serez jamais en mesure de voir les répercussions dans l'avenir. Ceci n’est pas une statistique ou une prédiction pour l'avenir faite par des «spécialistes qualifiés», ceci vient de moi, un homme simple, un seul être faite de milliards de cellules, du sang rouge comme le vôtre, je suis comme vous. Et je suis là pour vous dire que débattre, discuter, définir ce qui est bon et mauvais, ne pourra en aucun cas changer l'avenir. En raison d'un temps

L'amour est assez puissant pour charger la nature entière de ses messages. O printemps, tu es une lettre que je lui écris. L'avenir appartient encore bien plus aux cœurs qu'aux esprits. Aimer, voilà la seule chose qui puisse occuper et emplir l'éternité. À l'infini, il faut l'inépuisable. L'amour participe de l'âme même. Il est de même nature qu'elle. Comme elle, il est étincelle divine, comme elle il est incorruptible, indivisible, impérissable. C'est un point de feu qui est en nous, qui est

engagement : il publie Les Mouches et, en 1943, L'Être et le néant. À la Libération, il fonde la revue Les Temps modernes et quitte l'enseignement. Sa théorie de l'existentialisme connaît un véritable succès. Il considère qu'un intellectuel doit être un homme d'action et que l'engagement est nécessaire : c'est pourquoi, à partir de 1950, il se rapproche du Parti communiste et, pendant la guerre d'Algérie, soutient les indépendantistes du Front de Libération Nationale (FLN). En 1964, il refuse le prix

qu'elles sont violées). De plus, ce vers est mis en tête, ce qui a pour effet de mettre en valeur ce spectacle pitoyable. La soumission, l'impuissance des femmes est extrêmement souligné. Le verbe "se tordaient" peut également connoter que c'est pour l'éternité : figées, le terme "mugissements" pourrait désigner aussi la plainte de ces femmes, mais celà ne change rien au problème. Don Luis a peur de son fils : "doigt tremblant". Il montre aux morts le comportement de son fils mais son discours est creux

Léopold Sédar Senghor Léopold Sédar Senghor, le président-poète, s'est endormi dans l'éternité, le 20 décembre 2001, à Verson, au cœur de la Normandie (France), après avoir brillé de tout son éclat au firmament des Hommes de Lettres. De 1960 à 1980, il est le président du Sénégal. Durant cette période, il contribue à la consolidation de l’unité et de l'indépendance du continent. Avec sa disparition, le monde littéraire a perdu l′un des piliers de la poésie; l′Afrique et la Diaspora l′un de ses

pire calamité. Les hommes sont incapables de s’accorder ni sur ce qu’est le Souverain Bien* ni sur ce qu’est l’équité. C’est la mode et la coutume qui dictent les décisions de justice. La durée de la vie humaine n’est rien rapportée à l’éternité. La taille d’un homme est infinitésimale face au cosmos, sa position dans le temps et dans l’espace semble aléatoire et énigmatique. L’homme veut être heureux, assuré de quelque vérité et il ne peut rien savoir ou peu s’en faut. IV. Ennui et qualités essentielles

d’apprendre la mort ! Parlons-en souvent et sans complexe pour bien vivre, évitons surtout de l’oublier et d’en faire un tabou pour ne pas mourir spirituellement, en courant derrière les passions et les plaisirs éphèmères de la vie et en oubliant l’éternité. L’homme sage ne doit pas craindre la mort, mais doit craindre et se préserver de la vie et ses tribulations dangereuses, ses passions, ses dominations maléfiques qui ne mènent indubitablement qu’à la ruine et à la perdition éternelles de l’âme