Troisième Méditation Descartes

vie humaine. Il est associé à l’âme, elle, immatérialisée. Sans cette association, nous ne pourrions, par définition, pas exister, car l’âme et le corps sont fatalement liés pour créer l’être humain, contrairement aux pensées de Descartes dans Les méditations métaphysiques , qui prouve que l’âme et le corps sont distincts grâce au dualisme psychophysique. L’âme, quant à elle, est rattachée à l’idée de vie, elle est ce qui différencie le vivant de l’inerte ; un être sans âme

présupposé est que la culture comme processus ferait perdre à l'homme sa vraie nature pour lui donner une nouvelle forme artificielle, c'est-à-dire créée par l'art ou la technique : il en irait ainsi de la dénaturation comme d'une artificialisation Le troisième présupposé , à travers le concept de dénaturation, consiste à sous-entendre une supériorité présumée d'une nature humaine, l'homme considéré dans son essence, sur une définition de l'homme en constante évolution du fait que l'homme est un être historique

qui se sont prononcés en faveur de la liberté humaine, en faveur de l’existence du libre arbitre, ont accordé une grande valeur à l’expérience intime, immédiate que nous aurions, selon eux, de notre liberté : « La liberté de notre volonté, écrit Descartes (Principes de la Philosophie, I, art.39), se connaît sans preuve par la seule expérience que nous en avons ». Transition : Faire le point et formuler une ou plusieurs questions permettant de poursuivre la réflexion : La liberté correspondrait donc

question philosophique n'est pas une question classique. La reponse est dans la recherche du sens de la question. Selon l'angle et les definitions choisis les reponses sont susceptibles de changer. Exemple: si nous sommes doues de la Raison que Descartes nous prete et qui potentiellement nous permet d'acceder a toute verite (ces verites existants dans sa conception), en acceptant la these fonctionnaliste forte qui impute que nos pensees sont calculables, alors nos pouvons rechercher au fond de nous

nécessité anthropologique qui réalise l’homme (pas d’humanité sans travail) mais le travail produit aussi de la technique qui modifie la nature du travail. Dans un deuxième temps, si le travail n’est plus production, il est aliénation. Dans un troisième temps, la fatalité intervient. 1) La nature proprement humaine du travail a) Activité animale et activité humaine Par définition, le travail est l’action de transformation du donner naturel en vue d’une production (culture) des moyens

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la

faire intervenir la raison et l'expérience. Ces deux semblent indissociables, il faut une collaboration des deux. On veut alors savoir laquelle des deux est première. Le raisonnement pur semble vide, abstrait et impossible à décrire le réel. Pour Descartes la raison est primaire, car c'est un rationaliste. Or l'expérience sensible ne permet pas d'aboutir à des lois physiques. Une recherche qui n'associe pas raisonnement et expérience sensible risque d'aller vers l'abstraction. D'autre part, la science

réalité.) Parmi les 3 exemples, aucun n'appartient à l’erreur. Dans le premier et le second, on sait bien que ce que l’on voit n’est pas la réalité (car si on y croyait, on serait alors dans l’erreur.) L’illusion précède le jugement. Dans le troisième, il s’agit d’une « éventualité » imaginaire (si elle y croyait fermement : folie ou son amorce…) Cette croyance vient d’une affection liée à la réalisation d’un désir, à quelque chose de positif, se dégage donc une fonction de positivité… ? Souvent

La conscience Introduction 2 I. Approches épistémologiques 2 A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts

pensée humaine, l’intellect )doit être en mesure d’énoncer des jugements qui sont en adéquation avec le réel. Tout dépend donc de la conception que l’on se fait du réel. La métaphysique (première forme dominante de la philosophie de Platon à Descartes postule l’existence d’un réel absolu, origine radicale des choses. Ce réel dans un premier temps nous échappe mais nous pouvons chercher à l’atteindre par un travail rationnel (philosophique ou scientifique). La métaphysique identifie la vérité