Troisième Méditation Descartes

société où le commerce est d’abord celui des mots, l’échange verbal qui permet de pacifier les relations, négocier, discuter, débattre, délibérer avant d’être régi par des contrats, ce qui est rendu possible par la révolution cartésienne (René Descartes 1596-1650). Au Sens large l’homme avec un grand H L’homme avec un grand H, comprend les hommes et les femmes de sexe biologique ou de genre social. C’est l’homme au sens générique du terme comme dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen

présence d’autrui vu que l’homme est capable de réflexion et que autrui n’est qu’un frein car il peut ne pas voir ma véritable personne, il ne voit que des signes de mon corps Nos relations dans la vie reposent sur notre solitude existentielle. Chez Descartes, l'existence de la substance pensante, est prouvée par le cogito. Alors même que je doute de tout, je suis assuré de toujours penser à ce doute et donc d'avoir une conscience. Ainsi, selon cette approche traditionnelle de la philosophie classique

Les rationalistes ont une vision toute autre de l’expérience. En effet on ne peut pas s’appuyer sur l’expérience sensible, car les sens peuvent nous tromper et donc nous induire en erreur. Descartes, rationaliste, s’oppose complètement à la vision de Locke et Hume. C’est ce qu’il va montrer dans Les méditations métaphysiques avec son célèbre exemple de la cire. En effet, les sens sont incapables de saisir l’unicité de l’objet, son essence. L’aspect, la couleur, la température et la texture varient

premier amour vraiment ressenti par la conscience garde, conserve toujours un aspect quelque peu nostalgique ; car , en général, c’est le moment le plus poétique du « roman personnel » de l’âme de chaque individu ; et c’est là qu’il faut décrire le troisième type d’illusions générées par la conscience : les illusions liées au sentiment amoureux. Mais résumons bien d’abord : la mesure du temps peut me faire croire illusoirement que j’ai une maîtrise du temps, mais en fait « le temps perdu ne se rattrape

retrouve dans toutes les cultures et dans toutes les religions. Dans la tradition judéo-chrétienne, « Dieu est lumière » et en lui point de ténèbres. De plus, « la vie était la lumière des hommes » rappelle l’Evangile pour qu’on en prenne conscience. DESCARTES dans sa formule « Je pense donc je suis » estime que l’homme ne peut comprendre les choses que par la pensée, par la maturation mentale qui oriente son action ou son jugement. Dans ces conditions, c’est la lumière qui pense, parle, chante et crée

d’un acte qu’il est volontaire, on veut dire que le sujet est responsable de ce qu’il fait. Cela suppose donc qu’il pouvait agir autrement au moment même où il a agi. Autrement dit, le libre arbitre définit la volonté comme Descartes le soutient dans la quatrième de ses Méditations métaphysiques. Il précise même dans sa Lettre au père Mesland du 9 février 1645 que si nous ne pouvons moralement parlant choisir en connaissance de cause le mal ou le faux, absolument parlant notre libre arbitre nous

est-ce faire ce que l’on veut ? « il n’y a personne qui ne ressente et n’expérimente que la volonté et la liberté ne sont qu’une même chose, ou plutôt qu’il n’y a point de différence entre ce qui est volontaire et ce qui est libre » René Descartes, méditations métaphysique. La théorie cartésienne de libre arbitre identifie la liberté a la volonté , c'est-à-dire a la faculté intérieure de l’âme qui permet à chaque individu de prendre une décision avant d’agir. Or il convient de se demander si la

de la démonstration et à quelques experts. Prenons pour exemple les mathématiques et plus particulièrement le théorème de Fermat annonçant que pour n supérieur à 2, la somme de deux nombres chacun élevés à la puissance n ne peut être égale à un troisième nombre à la puissance n. Ce théorème seulement énoncé par Fermat a mis 300 ans avant d’être démontré par Wiles et confirmé par ses confrères mathématiciens. Pour un théorème de cette nature, l’homme ne se trouve-t-il pas dans l’incapacité de le démontrer

qui se sont prononcés en faveur de la liberté humaine, en faveur de l’existence du libre arbitre, ont accordé une grande valeur à l’expérience intime, immédiate que nous aurions, selon eux, de notre liberté : « La liberté de notre volonté, écrit Descartes (Principes de la Philosophie, I, art.39), se connaît sans preuve par la seule expérience que nous en avons ». Transition : Faire le point et formuler une ou plusieurs questions permettant de poursuivre la réflexion : La liberté correspondrait donc

PLAN INTRODUCTION : I LA NOTION DE MATIERE DE PLATON A LUCRECE : 1 ) PLATON ET ARISTOTE : LE REGARD DES ANTIQUES : Platon : Aristote : 2 ) L’ATOMISME : II LE 17ème s / DESCARTES ET DIDEROT / UN PAS VERS LA PHYSIQUE MODERNE 1 ) LIENS ET OPPOSITION ENTRE LA PENSEE CARTESIENNE ET SES PREDECESSEURS : 2 ) LA THEORIE MATERIALISTE SUR LA NOTION DE MATIERE : DIDEROT : III LA MATIERE AUJOURD’ HUI : 1 ) FIN 19ème DEBUT 20ème : 2 ) DES GRANDES DECOUVERTES A NOS JOURS CONCLUSION