Traditionalisme

Troisième République. La République montrée aux paysans (royalistes) comme capable de maintenir l'ordre et faire respecter la propriété. La paysannerie devient le fondement électoral du régime → immobilisme. L'agrarisme domine : droite - traditionalisme influencé par le catholicisme, légitimisme social ; gauche – paysans piliers de la démocratie républicaine, préservent son identité et ses vertus, défenseurs de la patrie car attachés au sol. 1870 Effondrement des cours mondiaux. Avec

l’autre et l’autre domine. La famille riche qui va voir la mort imminente changerait, oublierait ses principes, laisserait tomber tout ce qu’elle croyait être important. Les paroles, les attitudes ne seront plus jugées. Et soudain, le « château de traditionalisme » n’a plus de place dans leur vie. Au moins pour un peu de temps cette famille se connecterait à ce que chaque soi est en vérité. Le besoin de se déconnecter de tout ce qui est courant, de tout ce qui est habitude, est nécessaire pour apporter

début de la décolonisation. II. Caractéristiques du régime 1) L'idéologie salazariste centrée sur les traditions L'idéologie salazariste est très proche de celle des autres dictatures. Il s'agit d'un fort nationalisme accompagné de traditionalisme. Ici encore, la religion catholique joue un très grand rôle et l'Etat applique la politique du parti unique. Le régime de Salazar souhaite conserver les structures historiques et ne veut pas comme les dictatures fascistes s'agrandir territorialement

d’autres alternatives et en faisant obstacle à ce qu’elles aient connaissance de dispositions alternatives faisables dans les autres communautés. Il est donc particulièrement important de ne pas tomber dans la confusion et [de ne pas] considérer un traditionalisme insuffisamment examiné comme faisant partie intégrante de l’exercice de la liberté culturelle. Il faut se demander si les défavorisés de la société — dans ce cas les femmes dont les vies peuvent se voir gravement affectées par ces pratiques —

valeurs universelles est au contraire plus que jamais nécessaire pour tous ceux qui sont attachés à leur culture, à leur religion, à leur langue, mais ne veulent pas pour autant se fermer à la modernité au nom d'un retour à une tradi-. tion - traditionalisme, fondamentalisme - plus imaginaire que réelle. Le mot même de modernité indique que les valeurs universelles s'inscrivent bien dans une perspective historique, et que leur négation s'apparente à une régression, non par rap¬port aux cultures

les pratiques magiques au XIXe siècle, reconnu comme le siècle où l’industrie, les transformations socio-culturelles et les évolutions des nations ont été les principaux événements. C’est un siècle de référence où l’on voit le passage lent du traditionalisme au modernisme, du rural à l’urbain et le fait qu’il y avait encore des pratiques magiques à ce niveau-là montre la difficulté de les détruire. 3) La mythisation par des éléments quotidiens, présentée par Liana Ionescu dans son article Mitizare

sa totalité " afin que se produise, condition sine qua none, un phénomène de masse. Toutefois Weber distingue bien cet esprit à l’origine du capitalisme, l’organisation rationnelle capitaliste du travail, du précapitalisme, caractérisé par son traditionalisme, absence de rationalisation de l’organisation du travail, et fût au contraire un frein majeur à l’expansion du capitalisme. 3) La notion de Beruf chez Luther. L’une des notions essentielles dans l’analyse par Weber du " devoir professionnel "

plus tard. La désobéissance et la contestation sont toujours considérées de manière négative. Cela me semble extrêmement regrettable. Elles sont pourtant, me semble- t-il, indispensables à l’évolution, elles permettent de lutter contre le traditionalisme figé, le conformisme et les idées reçues, favorisent la remise en question et sont à la base de la construction de l’esprit critique indispensable en F.°. M.°. Qu’on le veuille ou non, la soumission à l’autorité et l’obéissance, même librement

inverse d’un centre gauche qui semblait, au fur et à mesure, être devenu la norme. C’est dans ces conditions que l’intégrisme refit surface. Sous ce nom, on désignât en France un certain nombre d’organismes et de périodiques qui se réclamaient du traditionalisme. Et combattaient les positions généralement prises par la presse et les mouvements catholiques. De cet intégrisme à celui de la Sapinière, il n’existe aucune continuité historique. En revanche, la parenté intellectuelle demeure certaine, ainsi

plutôt que de finir entre les mains de leurs ennemis japonais. L’artiste fait usage d’encre, une technique traditionnelle chinoise. Un fait plutôt paradoxal lorsque l’on sait que l’’idée principale de l’idéologie maoïste consiste à rejeter le traditionalisme chinois. Nous avons une image de propagande faisant l’apologie de la seconde guerre sino-japonaise survenu de 1937 à 1945, le choix de représentation de ce thème n’est pas anodin. En choisissant une guerre pour laquelle la Chine s’est mobilisée