Totalitarisme Ressemblance Différence

villages : langue vernaculaire et patois très variables Horizontal : Langue de l’administration, du commerce, de la religion Il existe également des groupes de langues : romanes, germaniques,… ayant des ressemblances ou non. 2. La nation Révolutionnaire et la langue Au début, tout était fait pour que chacun reçoive tout dans sa langue, et chacune était tolérée. Cependant, toutes ces langues, patois régionaux empêchaient l’unification et maintenaient

d’intertextualité. Les programmes de la classe de première intègrent d’ailleurs cette notion comme un objet d’étude à part entière et spécifient qu’« il importe d’aider les élèves à interroger et comprendre les textes et à réfléchir sur les similitudes et les différences entre les œuvres littéraires » dans une perspective intertextuelle et précisent que « la réécriture couvre trois domaines proches : l’imitation, la transposition ou adaptation, et enfin la parodie et le pastiche ». Les programmes de collège de la

dynasties ou la répartition des rôles a été stabilisé. Il faut être prudent avec l’adjectif politique car souvent les sociétés n’ont rien de spécifiquement politique. Ces sociétés ne s’appuient pas vraiment sur des politiques mais plutôt sur des différences liées au sexe, à l’âge. La nature de ces différents pouvoir a fait l’objet d’une querelle académique dans les années 70 cette querelle résume les rapports complexes entre la science politique et l’anthropologie. Le premier pierre claste qui a publié

pas les caractères généraux et impersonnels) La différence entre Droit, Morale et Religion peut créer des conflits dans leur application : · Entre D/M : la règle juridique de la prescription extinctive (perte de nos droits) -> solutions contraires à la morale pour le bien de la société· Entre D/R : Le divorce, accepté par la règle de droit mais pas par la religionLes ressemblances en D/M/R· Mais il peut y avoir des ressemblances entre la règle de droit et M/R : la finalité sociale ne permet

émanation de l’individu, et une activité sociale se fait lorsque cette activité entre en connexion avec un autre individu. A partir de cette structure de base que sont les individus, Weber développe toutes les organisations sociales. En effet, à la différence de Durkheim, une structure sociale n’est pas une entité propre, qui ainsi exercerait de manière autonome une influence pour les individus. Tout ceci n’est que le fruit d’individus, de connexion entre les individus et d’influence entre les individus

par ouï-dire ou expérience, répétition, quelques cas, opinions, préjugés. Liée à crédulité, manque de réflexion critique. Croyance de nature religieuse née de l’habitude, de la culture familiale Foi, conviction délibérément choisie et assumée Différence entre croire et savoir, entre raison et foi: Les oppositions entre croire et savoir: Les vérités de la religion sont des vérités révélées, présentes dans les livres saints, elles constituent la parole divine. Les vérités de la connaissance

Ils donnent à connaître des événements qui se déroulent dans un univers assez différent (et parfois très différent) de celui dont le lecteur a l’expérience directe, ou qu’il sait être la réalité d’autres hommes, en d’autres lieux. L’essentielle différence de cet univers-là, c’est qu’il est à venir, c’est qu’il est pour demain ou pour après-demain. Mais ce qui s’y passe est soumis aux lois scientifiques, s’explique par des innovations techniques, quand ce n’est pas par des évolutions dont on peut

A. CHAUOU -–Lycée de Kerichen – Pôle CMC DEMOCRATIES ET TOTALITARISMES DANS L’ENTRE-DEUX-GUERRES (1919-1939) L'entre-deux-guerres est caractérisé par une double mise en cause : celle du régime politique (la démocratie), par de nouvelles formes politiques nées après la Première Guerre mondiale (le communisme d'un côté, les « fascismes » de l'autre) ; celle du régime économique (le libéralisme), par le recours au dirigisme et à l'interventionnisme étatique. Le début des années 1920 inaugure

discuter la recevabilité d’une comparaison de ces deux formes de totalitarisme. Il est vrai que certaines similitudes des systèmes bolchevique et nazi tendent à orienter la réflexion sur l’analyse des points de convergences. C’est ce qui a amené, dans les années 1950, les politologues américains Carl Joachim Friedrich et Zbigniew Brzezinski à proposer un « modèle général » dans lequel ils ont listé six signes systémiques du totalitarisme (cette étude prenait en compte également le fascisme italien)

mettre en évidence une pensée sans cesse en devenir. « Je suis moi-même la matière de mon livre » annonce-t-il dans sa préface. Il nous livre donc dans ses Essais un autoportrait plutôt indulgent. En parlant de lui, il prend conscience de sa ressemblance avec les autres hommes. Il porte en lui « la forme entière de l’humaine condition » et son expérience pourra être profitable à tous les lecteurs. Montaigne jette un regard lucide sur son époque instable (violence des guerres civiles) et il constate