Titrisation

financière comme le conseil financier, l’investissement en titres (elles achètent des titres et les revendent pour créer des liquidités), la gestion des portefeuilles des valeurs mobilières ou encore la transformation des crédits en titres financiers (titrisation). On assiste à la mobiliérisation des bilans bancaires (financiarisation) : du coté du passif, les banques tentent de compenser les dépôts qui diminuent par l’émission de titres, et du coté de l’actif, les banques tentent de compenser les prêts

sont crées et émis. Ce marché a connu un développement considérable depuis les réformes successives que les titres ont connu. - le marché secondaire: il s'agit du marché des titres déjà crées sur le marché primaire. La technique anglo-saxonne de titrisation est utilisée aux Etats unis depuis 1970, LE BUDGET DE TRESORERIE Le budget de trésorerie est un tableau prévisionnel des recettes et des dépenses de trésorerie, qui présente les soldes des périodes sur la durée de la prévision. Son objectif est

manière subtile, les banques sont passées d’un crédit instable que personne n’aurait voulu, à des titres devenus beaucoup plus sûrs et qui pouvaient s’échanger librement, comme n’importe quelle action, sur les marchés financiers. Ce phénomène de la « titrisation » est génial pour tous les acteurs financiers qui prennent de l’argent à chaque étape, depuis les courtiers qui démarchent les clients, jusqu’aux plus grosses banques aux noms devenus célèbres, comme Lehman Brothers. Le procès imaginé par Jean-Stéphane

nombreuses institutions ne disposaient pas non plus de réserves suffisantes pour faire face à une crise de liquidité. Dans ce contexte, le système bancaire s'est révélé incapable d'absorber les pertes intervenues d'abord sur les produits structurés de titrisation et d'assumer ensuite la ré-intermédiation d'une partie des expositions de hors-bilan. Au pire de la crise, les incertitudes pesant sur la qualité des bilans, la solvabilité des banques et les risques liés à leur interdépendance (le défaut d'une

Désormais, les banques vendent des assurances et des plans de retraite, tandis que les assureurs et les fonds d'investissement achètent des prêts bancaires grâce au développement de marchés secondaires de prêts, ce que les experts appellent la "titrisation" et qui revient à faire circuler les risques entre les acteurs financiers. Les frontières entre institutions financières s'estompent, ce qui rend de plus en plus difficile de savoir qui fait exactement quoi et, surtout, qui a pris quels risques

Dans la première phase de la crise, il s’agit de l’émission de titres liés à la dette immobilière des ménages américains. Ceux-ci ont été émis par les institutions financières pour couvrir les risques liés aux emprunts à taux variables. Cette titrisation à outrance a conduit au développement de nombreuses autres innovations. L’émergence de ces contrats dérivés sur défauts de crédit est l’innovation majeure de ces dernières années. La deuxième phase de cette crise débute en septembre 2008 avec la

visent des ménages moins solvables et ça coûte plus cher. De plus, on autorise un délai de remboursement du crédit : les ménages remboursent deux ans après. Mais ces crédits sont peu sûrs, alors les banques titrisent au maximum. De plus, cette titrisation permet de répartir au mieux la faible sûreté des crédits. Comme les titres circulent très bien, les banques font leurs bénéfices, et la machine tourne. Le problème de ce système vient lorsque les débiteurs ne peuvent plus rembourser. Dans un

économique (ex : PME/PMI, montage de transactions…). 25) De quoi résulte le tarissement du crédit depuis fin 2008 ? Le défaut de paiement de quelques emprunteurs américains dans le secteur immobilier, via la dissipation de leurs dettes par la titrisation, a contribué à une défiance générale sur les marchés financiers. Le découpage des dettes et leur restructuration dans des montages financiers sophistiqués, ont fait perdre aux agents financiers toute visibilité des risques. Aussi cela se traduit

ratio rendement / risque financier, ou plutôt rendement / volatilité (Markowitz et Sharpe), d'où la floraison d'instruments de marché considérés ad hoc. Cela a conduit au développement de divers outils financiers (marché à terme, contrat dérivés, titrisation). Ces outils servent non seulement à l'apport de capitaux, mais aussi à la répartition et au transfert des risques entre agents économiques. C'est l'entrée, notamment avec le développement des marchés de contrats dérivés, des principes de l'assurance

 l’économie  des  pays.   Le  premier  produit  financier  inadapté  qui  a  été  la  cause  principale  de  la  crise  financière  en   2008,  est  le  mécanisme  de  titrisation.  La  titrisation  a  été  inventée  en  1970  aux  Etats-­‐Unis,  ce   mécanisme   consiste   à   transformer   des   crédits   ou   des   assurances,   loyers…   en   titres   dans