Titrisation

créances. 4- la titrisation des créances permet à la banque d’intervenir sur le marché des capitaux, il s’agit de transformer des crédits bancaires en titres négociables. Ces titres peuvent qui être vendus aux investisseurs sur le marché secondaire, les banques n’ont plus besoins de soucier de la solvabilité des emprunteurs puisqu’elles peuvent vendre les créances transformés en titres négociables. Le mécanisme de titrisation permet aux banques de limiter leurs pertes, la titrisation entraîne une spéculation

Diffusion et promotion de meilleurs pratiques bancaire et de surveillance Promotion et coopération international en matière de contrôle prudentiel Constat failles de Bâle I à savoir : • • • non prise en compte des risques hors bilan (dérivés, titrisation et caution) insuffisance de finesse dans l'analyse de la complexité insuffisance de la différentiation des risques liés au crédit II- Bâle II Intro : La crise financière de 2007a révélé la nécessité de renforcer les dispositifs prudentiels

au monde entier et ce en grande partie à cause des facteurs de transmission qui sont essentiellement : la transmission par titrisation des prêts hypothécaires et la transmission par les fonds d'investissement. 2. Les mécanismes de transmission : 1. La transmission par titrisation des prêts hypothécaires : Comme vous savez, titrisation est un mécanisme adopté par les établissements financiers accordant des prêts hypothécaires à risque élevé. C'est une opération

dollars (29,2% du total), contre 28,8 milliards de dollars pour les banques (41,3% du total). La crise financière de 2007-2008 est le résultat d’un enchaînement de causalités, de l’extension déraisonnable des crédits hypothécaires subprime à leur titrisation sans discernement dans des tranches de plus en plus risquées de dérivés de crédit, sans oublier les effets de la hausse des taux d’intérêt américains. Mais l’acquisition massive de CDO ou d’ABCP de la part des hedge funds, dans un climat d’euphorie

éditeur 2010 J. Devèse, A. Couret, G. Hirigoyen, Droit du Financement, éd. Lamy 2011 Ch. Gavalda et J. Stoufflet, Droit bancaire, 8ème éd., Litec, 2010; P. Le Cannu, Th. Granier et R. Routier, Droit commercial – instruments de paiement et de crédit, titrisation, 8ème éd., Dalloz, 2010 ; S. Piedelièvre, Instruments de crédit et de paiement , 6ème éd., Dalloz, 2010 ; S. Piedelièvre et E. Putman, Droit bancaire, Economica, 2011 2de partie : J. Bonnard, Droit des sociétés, Hachette, Les fondamentaux, 8e éd

titres : Ginnie Mae avait inventé la « titrisation » ! Pendant ce temps, Fannie Mae, qui était alors privatisée, se spécialisa dans le rachat des crédits non garantis par l’Etat. Et en 1970 fut créée une autre société, Freddie Mac (Federal Home Loan Mortgage Corporation), dont l’objectif était d’exercer une saine concurrence face à Fannie Mae. Cette nouvelle entité tira tout de suite profit de l’innovation de Ginnie Mae et se lança aussi dans la titrisation, mais à partir de crédits immobiliers classiques

par des pratiques de financement critiquable puisqu’il a été accordé des crédits à des ménages dont les capacités de financement étaient douteuses. C’est aussi en partie à cause de la titrisation, technique financière qui consiste à transformer des créances, en titres financiers négociable. Etant donné que la titrisation à une croissance forte et rapide, les emprunteurs sont de moins en moins capable de rembourser leur emprunt. En effet, quand une personne ne pouvait plus payer son bien, elle pouvait

Europe s'expliquent par la titrisation des créances hypothécaires à risque qui consiste pour une banque à les revendre sur des marchés spécialisés à des investisseurs, lesquels émettent et revendent ensuite des obligations adossées à un "paquet" de créances. Le risque induit par le prêt initial se trouve ainsi transmis successivement à différents investisseurs, tandis que les "paquets" de crédit conduisent à mélanger des niveaux de risque différents. L'effet de la titrisation est de mieux répartir les

l’ombre de 1929 sur la situation actuelle, tout en employant des termes actuels peu rassurants : Subprimes, titrisation, hedge funds, paradis fiscaux, etc., ce qui ne favorise guère la sérénité. Revenons donc sur la crise actuelle en résumant ses causes, ses conséquences et les remèdes proposés de façon à démystifier quelque peu le sujet. Les origines : crédit Subprime et titrisation Les prémices de la crise sont apparus durant l’été 2007 avec la crise du crédit Subprime. Le Subprime est

période d'expansion des subprimes a commencé début 2004 et s'est arrêtée à la mi-2007. Les deux grands dérivés de crédit (ABS et CDO) qui ont ouvert un débouché aux subprimes ont tous deux connu une croissance très rapide, à la même époque. La titrisation des créances consistait à les regrouper par paquet (plus de 1 000) provenant de plusieurs États américains, de façon à permettre en théorie une diversification du risque, ou décorrélation, en une obligation appelée Asset-backed security (ABS) revendue