Titrisation

l'industrie du crédit . Pourquoi les marchés boursiers des banques et des assurances sont-ils atteints ? Les secteurs des banques et des assurances sont particulièrement touchés car ils ont investi dans ces subprimes part l'intermédiaire de la titrisation de ces crédits à risque. Les acteurs boursiers ayant perdu confiance, les banques ne trouvent plus d'investisseurs pour entrer dans ces fonds adossé aux crédits hypothécaires. Les investisseurs sont inquiets, ils ne connaissent pas l'exposition

ménages peu solvables, moyennant, pour tenir compte de ce risque, un taux d’intérêt révisable (ou variable) et d’une prime de risque (le subprime). 1. genèse de la crise 1.1Pourquoi et comment les choses ont capoté ? Tout d’abord, la titrisation a éloigné le banquier de l’emprunteur. Là où dans un crédit hypothécaire normal, le banquier prend soin de juger de la solvabilité du client, dans le subprime, le banquier sait qu’il va « titriser » puis revendre sa créance. Il devient moins regardant

limitées: elle ne peut pas prêter ce qu’elle n’a pas. Ensuite, les banquiers ont eu recours à la titrisation afin de limiter les risques des « subprimes ». La titrisation consiste à transformer les « subprimes » en titres négociables sur les marchés boursiers. Lorsque un individu doit rembourser sont prêt pour l’achat d’un bien et qu’il ne peut pas le payer, le titre n’a plus aucune valeur. Cependant, la titrisation est l’acteur principal de la chute de la bourse car toutes les banques étrangères ainsi que

subprimes dépassait 15% contre 5% en moyenne pour l’ensemble des crédits hypothécaires aux Etats-Unis, chiffre lui-même record depuis 1986. Sources :Datastream et Natixis. 4. La titrisation : Pour tenter de limiter les risques de ces crédits d'un nouveau genre, les banquiers ont eu recours à la titrisation. Ils ont transformé ces emprunts en titre sur les marchés boursiers. Ce sont ces montages financiers complexes qui expliquent la chute de la bourse car toutes les banques étrangères, notamment

d’Asphyxie financière ». -Les risques liés aux instruments financiers n’ont pas été bien pris en compte dans le calcul des ratios. Ainsi, les banques n’ont pas convenablement mesurées les risques qu’elles prenaient en initiant des opérations de titrisation ou de dérivés de crédit ( : crise des subprimes). Des efforts sensibles ont été fait depuis 2007, Bale III fait donc partie de ces progrès , il est certes un élément principal et crucial mais pas unique d’un vaste programme qui sous la direction

positive de la mondialisation des marchés de capitaux, nous allons maintenant étudiez ses limites. la mondialisation des marchés de capitaux comporte aussi certaines limites avec la titrisation, les comportement mimique des opérateurs ainsi que la propagation d'une crises nationales en crise mondiale La titrisation est une opération qui permet aux banques de vendre sur un marché des actifs qu’elles détiennent, le plus souvent des créances qui sont la contre-partie des crédits qu’elles ont accordés

réagir les autorités. Le secrétaire au Trésor Henry Paulson a dû agir vite et nationaliser les deux agences, pour un coût qui pourrait atteindre 200 milliards de dollars (150 milliards d’euros). 4/ Quel est le rôle de la titrisation dans cette crise ? Michel Aglietta La titrisation est une technique financière consistant à mettre en pools des crédits individuels et à émettre en contrepartie des titres structurés en tranches selon un principe de subordination, de sorte que les tranches de risque plus

d’hypothèque aux sociétés de crédit hypothécaires (Fanny MAE, Freddy MAC). A cause de cela, les sociétés hypothécaires vont mettre les biens récupérés sur les marchés, or, peut de demande. Baisse des prix de l’immobilier. Il y a eut un phénomène : la titrisation : revente des crédits. Tous les porteurs de crédit subprimes ont été exposés. Or, l’ensemble des créances de l’économie a été considéré comme toxiques. Crise systémique à cause de la revente des crédits des subprimes. Illusion de l’argent facile

l’économie, elle suscite des interrogations sur les nouvelles règles fonctionnement qui pourraient être envisagées dans les domaines monétaire et financier. 1ère partie : les causes a les causes immédiates : la crise des subprimes et la titrisation l’événement déclencheur : les subprimes Les ménages modestes américains (2 à 3millions) ont emprunté à la limite de leurs capacités financières à taux variables pour acquérir un pavillon. Lorsque la FED (Banque centrale des Etats-Unis) a remonté

internationale des commissions de valeur, sans oublier le conseil de stabilité financière. Ce dernier propose des mesures visant à sécuriser les activités du SB : Les liquidations massives sur les fonds monétaires seront limitées L’activité de titrisation, qui permet d’améliorer la liquidité du bilan d’une entreprise, sera encadrée, l’activité de prêt également. L’engagement fort du sommet du G20 de Brisbane datant de mi-novembre, porte sur la régulation financière ré et sur la transparence