Théories De Démotivation

BLOC I : ÉVOLUTION DES THÉORIES DE GESTION ---------------------------------------------------- Chapitre 3 L’école des relations humaines & les théories de la motivation Au milieu des années 1930, on s’est rendu compte qu’il y avait de « l’humain » dans l’entreprise. On a parlé de la « découverte du facteur humain ». Cela montre combien la vision liée au modèle de la machine était tenace. La découverte du facteur humain s’accompagne de l’émergence du courant de « pensée behavioriste »

= les producteurs se regroupent ensemble pour vendre (ex : Yoplait)  Capitaliste = société à but lucratif Avantage : management simplifié : toutes les décisions proviennent du siège social. Inconvénient : peu d’autonomie donc possibilité de démotivation. B. Le commerce associé Commerce associé = indépendance juridique des magasins par rapport au siège social (ex : Leclerc). Il y a 3 formes de commerce associé :  Chaînes volontaires  Groupements horizontaux de détaillants = commerçants

visant à apporter de la cohérence en intégrant les différentes formes de communication. -La communication au cœur de la politique générale de l'entreprise : Les rapports entre structure et communication : La communication est au cœur de la théorie de l'organisation. Plus de 70 % de l'activité des managers consiste à faire de la communication avec les opérateurs internes ou les cibles externes à l'organisation. L'entreprise actuelle n'assimile plus son personnel à un facteur de production et

est une des composantes de la performance au travail. Selon David McClelland la motivation s’appuie sur trois besoins : le besoin d’accomplissement ou de réussite, le besoin de pouvoir et le besoin d’affiliation. En 1943, Abraham Maslow publie sa théorie selon laquelle tout individu au travail ressent des besoins qui sont sources de motivation. Il propose l’existence de besoins répartis en cinq catégories, qu’il est possible de hiérarchiser et de classer dans une pyramide : les besoins physiologiques

texte choisi pour ce travail de problématisation est issu de la revue « Objectif soins : la revue de management des cadres de santé » du mois de novembre 2010.Vincent Xavier, consultant-formateur en psychosociologie du travail y expose les diverses théories de la motivation au travail qui se succèdent et se complètent ou s’opposent de 1880 à nos jours. Pour mener à bien ma réflexion, je me suis appuyé principalement sur deux ouvrages. Le premier de ces ouvrages écrit par la psychologue Claude Lévy-Leboyer

être la discrimination liée au genre. I. LES ENJEUX DE LA REMUNERATION A/ Les enjeux économiques : Dans la macroéconomie les salariés représentent les ménages, leurs rôles est important dans l’équilibre du circuit économique cette théorie élaborait par John Maynard Keynes et la base de l’économie moderne, d’une partie les salariés vont consommer des biens et des services produisaient par les entreprises ainsi de payer des impôts pour l’état et tous ça présente une phase importante

l’Etat, concerne au plus près le peuple qui limite sa liberté individuelle au profit d’une vie en communauté régie par l’Etat si l’on s’approche de la théorie de Hobbes, mais il s’agit surtout d’un peuple qui possède le pouvoir souverain garantie par la Constitution. 1 – Le contrat entre le peuple et Léviathan par Hobbes Le pouvoir selon la théorie de Thomas Hobbes est confié à Léviathan, monstre créé par le peuple et pour le peuple, qui limite volontairement sa propre liberté individuelle pour

d'intervention. Structuré par thèmes, ce livre poursuit une progression : - 1) Le travailleur social avec la population : les acteurs : un tiers social face aux besoins de la population ; la personne et sa fonction ; le rôle dans une société en mutation : théories et pratiques.- 2) La pratique et ses questions : la communication et le marketing social ; le partenariat et le travail en réseaux ; l'action collective et les projets ; les situations difficiles et " l'aide à la personne ". - 3) La conduite de l'action

largement les industries, qui ont une vision très mécaniste du travailleur : le salaire est la seule motivation de l’ouvrier qui ne doit qu’appliquer sans réfléchir les règles et méthodes définies par la hiérarchie. Mayo ne rejette pas cette théorie mais trouve que cette conception est fortement réductrice. Selon lui, le travail effectué dépend du fonctionnement humain qui est beaucoup plus complexe : le bien-être du personnel est primordial pour qu’il soit productif dans son travail. Mayo

structure organisationnelle ? En s’appuyant sur l’analyse de Woodward, il serait tentant de démontrer que les TIC déterminent une structure organisationnelle. Bien que les TIC exercent une influence, les études empiriques menées ne valident pas les théories du changement organisationnel induit ou favorisé par les TIC. Cas d’entreprise GGB FRANCE modifie son organisation Dans son usine d’Annecy, le sous-traitant automobile a transformé l’organisation pour améliorer la performance et la motivation. 1