Théatre Didactique

lumière sauf celle venant du feu (ennemi des pantins) et celle venant des fenêtres (peut être manière d’exprimer des spectateurs qui regardent le spectacle : mise en abyme ?). Ce monde clos a déjà été annoncé dans une double page où l’on voit le théâtre sous un chapiteau à l’intérieur même d’une place plutôt renfermée et étroite. Sara Fanelli illustre cette aliénation par les fils des pantins même s’ils ne sont pas directement décris dans le texte de Collodi. Arlequin page 44-45 est celui qui a

: le théâtre Le théâtre renaissant : une scène en transition Introduction Le foisonnement anarchique des genres dramatiques et la coexistence des formes traditionnelles et nouvelles (seconde moitié du siècle) caractérisent le théâtre français de la Renaissance. La réapparition de la tragédie et de la comédie est en effet parallèle à l’épanouissement des formes dramatiques médiévales. Mais cette distinction révèle surtout un divorce entre public cultivé (voire humaniste, dans le cas du théâtre néo-latin)

(conte philosophique, nouvelle…) Les textes du corpus sont représentatifs d'un ou de plusieurs objets d'étude au programme : la poésie ; convaincre, persuader et délibérer : les formes et les fonctions de l'essai, du dialogue et de l'apologue ; le théâtre : texte et représentation ; le biographique ; et pour les séries littéraires, les réécritures et l'épistolaire. Lire activement le corpus Il s'agit de définir : - l'auteur, le titre, la date et le contexte (en vous aidant du paratexte, c'est-à-dire

scolaires. Qu’en est-il pour le théâtre ? Dans un extrait d’article des Cahiers Pédagogiques, N°37, 1995, intitulé « le théâtre à l’école, qu’est ce que ça fait ? », Jean-Claude Lallias aborde l’entrée du jeu théâtral à l’école tout en mettant en garde contre des dérives de l’institutionnalisation du théâtre. Freddy Zucchet, dans Oser le théâtre, CRDP Grenoble, 2000, identifie les apports du jeu dramatique pour l’enseignant et pour l’enfant. Enfin, Patrick Pierron, dans « Théâtre : changer nos représentations »

LE THEATRE AU XVIe SIECLE Contextualisation historique 1ère moitié du siècle : survivance des formes médiévales (mystère, farce, sottie) Contexte : 1494-1559 : Guerres d’Italie / 1498-1515 : Règne de Louis XII / 1515-1547 : Règne de François Ier / 1534 : Affaire des Placards / 1547-1559 : Règne de Henri II / 1559-1560 : Règne de François II Jusqu’en 1548, les Mystères attirent encore beaucoup de spectateurs. Que sont les mystères ? Ce sont des représentations de la vie du Christ ou des vies des martyrs

merveilleux, place à l’imagination - brièveté du conte, des chapitres - éléments caractéristiques : « Il était une fois » - personnages stéréotypés, schématisés - côté hétéroclite/disparate : il se passe trop de choses pour un seul homme - portée didactique, objectif : dévaluer l’optimisme, montrer que dans la société, tout va mal Pendant tout le récit, les personnages sont confrontés à la réalité du mal. L’accent est tout d’abord mis sur les malheurs humains, ceux causés par la nature, les institutions

adolescents, il s’agirait plutôt des contes de Voltaire, des contes philosophiques avec par exemple Candide ou Zadig, qui sont des contes plaisants avec des actions mouvementés et ou l’on peut en tirer une leçon morale ou philosophique. De plus, le théâtre est un autre moyen pour toucher le public, ou généralement la satire est exprimée, l’humour, le pathétique… Le roman généralement vise à critiquer la société, la lutte des classes, la révolte sociale avec par exemple Germinal d’Emile Zola ou se trouve

inventés, à des apologues, souvent destinés à forger leur vision de la vie ou à les édifier. Les adultes oublient un peu ce goût du récit, considéré comme moins sérieux que les autres formes d'argumentation, mais le retrouve et le satisfait par le théâtre, le cinéma ou le roman. On peut alors se demander si une œuvre de fiction est efficace pour inciter à réfléchir sur l'homme et sur le monde. Cela revient à s'interroger si l'invention est utile pour transmettre une vision de l'homme et du monde. Avant

Une messe spectaculaire Alors que l’Église chrétienne a vivement combattu le théâtre au début du moyen-age, c'est elle, paradoxalement, qui le réanime en Europe sous la forme du "drame liturgique". Afin d'étendre son influence, elle réhabilite des fêtes d’origine païenne et folklorique, dont beaucoup s’apparentent au théâtre. Au Xe siècle, les offices religieux sont proches de représentations dramatiques. La procession du dimanche des Rameaux est désormais célébrée par des manifestations théâtrales

consacrée, après la relecture de l’acte trois, à reconnaître le jeu comique hérité de la farce et d’établir au vu des différences, les éléments qui caractérisent la comédie. Il sera intéressant de s’interroger aussi sur le monologue final et comment le théâtre permet de faire triompher le rire. Une deuxième séance fera l’objet d’un repérage des procédés comiques utilisés par Molière en soulignant le rôle des didascalies et des apartés. La troisième séance présentera une séance d’étude de la langue sur