Taylorisme Rendement Maximum

le profit. Sur le plan historique, l’organisation du travail a d’abord pris la forme dominante du taylorisme (A) et du fordisme (B). Mais la crise de ce dernier conduira à la mise en place de nouvelles formes d’organisation du travail, dont le toyotisme est un exemple, plus conformes aux transformations du système économique contemporain (C). A. Le principe de la division du travail et le taylorisme 1) La division du travail Le principe de la division du travail et celui de la spécialisation

le film : 2. Identifier les tâches externes (ligne en marche) et internes (ligne arrêtée) 3. Convertir des tâches internes en externes 4. Mettre en parallèle des tâches Les acteurs améliorent le processus : 5. Diminuer au maximum la durée de chaque tâche 6. Supprimer au maximum les réglages et essais 7. Réitérer plusieurs fois les opérations 1. à 6. 46 • Les services de la production - Le bureau des études : conception technique des produits A partir de cahiers des charges clients, d’analyses

qu'ils renforce progressivement leur capacité de production c) L'industrialisation au XX ème siècle : • Taylorisme : Fréderick Wilson Taylor, ingénieur et économiste américain, propose une nouvelle théorie sur l'organisation du travail, qu'il nomme "taylorisme". Cette théorie cherche à définir le "The One Best Way" ( la meilleure façon de produire), permettant le rendement maximum. Elle fait débat nottament lors de son application dans l'industrie Henry Ford et marque un réel tournant

On en déduit que les inventions sont les centres d’intérêt d’Edison. 3- Henry Ford a inventé en 1908 le Fordisme, ce principe accorde une large place à la mise en œuvre des nouveaux principes d'organisation du travail (OST)  instaurés par le Taylorisme. Le Fordisme ajoute d’autres principes comme notamment le travail des ouvriers sur convoyeur (qu'Henry Ford dit avoir découvert lors de la visite d'un semblable dispositif déjà à l'œuvre aux abattoirs de Chicago). Les tâches étaient divisées (parcellisation

flexibilité : les leçons de l’évolution Les principes du taylorisme caractérisés par une rigidité extrême ne semblent plus être en phase avec un environnement de plus en plus incertain , turbulent et imprévisible , d’ailleurs ces même principes qui ont assuré son succès surtout durant la période des 30 glorieuses où il a connu son apogée , ont par la suite entrainé sa déclinaison . En effet malgré les grands apports du taylorisme au niveau de l’organisation, des point faibles sont à relever

Europe centrale) (Ruine des agriculteurs b)nouvelle révolution industrielle liée -a l’apparition de nouvelles énergies (pétrole, électricité) -a de nouvelles techniques de production de masse (travail a la chaîne, taylorisme (cherche la meilleure façon de produire pour un rendement maximum) ( développement de l’automobile et de l’aviation, de l’industrie chimique, des appareils ménagers, du téléphone et de la radio. c)des désordres monétaires : on assiste a une inflation terrible dans beaucoup de

difficile pour être réalisée par le personnel de production. Celle-ci définira les processus opératoires les plus économiques. - Un système de salaire au rendement Ce système fondé sur des primes de productivité au travail, cherche à développer la motivation de l’homme au travail. Outre une standardisation des tâches poussée à son maximum, Taylor souhaitait l’établissement du salaire à la pièce, censé constituer une motivation importante pour les ouvriers qu’il considérait comme des agents rationnels

en un nombre déterminé d’opération, un nombre minimum d’équipiers chargés de ces tâches, et un temps maximum à ne dépasser sous aucun prétextes. Et pour cause : « les produits ne peuvent être stockés que 10 minutes avant d’être jetés ». Ce cahier des charges implique de fortes contraintes qui sont de 3 formes : Industrielles : normes de production horaires ou quotidiennes, hausse du rendement par l’accélération des cadences et la diminution des temps morts. Marchandes : dépendance immédiate

faire de l'ouvrier, sans contrôle sur son rythme de travail autre que sa conscience professionnelle. Le travail est organisé par un chef d'atelier qui est l'ouvrier le plus ancien, celui qui a le plus d'expérience. la phase B qui correspond au taylorisme/fordisme (XXe siècle et surtout des années 1920 aux années 1970). La machine est spécialisée pour une opération, actionnée par un ouvrier lui même spécialisé (OS), incapable de la régler ou de l'entretenir. Celui-ci ne possède pas de métier, il

travailler à un poste de travail tous les jours. L’horaire est flexible autant que le code vestimentaire est absent. Cette méthode de gestion assure la loyauté, la motivation ainsi que la satisfation des employés sur le plan humain. Quand au Taylorisme qui prône la division du travail, « il contribue à l’aliénation des hommes au travail et par le fait même au désintéressement de ceux-ci. Cette conception du travail néglige les composantes psychologiques et sociologique du travail. D’une part,