Sémantique Générale

Une fois disposés par le texte, ils contribuent à dessiner une forme figurative (ou discursive) du contenu. Pour la lecture, il s’agira de repérer comment le texte dispose et articule les acteurs, les lieux, le temps et de décrire les structures sémantiques ainsi constituées. - le niveau narratif : tout texte raconte quelque chose, organise, dans une succession, des situations et des actions, des rôles et des fonctions. Il est possible de décrire ces successions d'actions, et les rôles (ou les fonctions)

fidèle aux valeurs des Lumières a. Souci explicatif du texte : texte qui relève d’un article de dico - parenthèses ( ) = arbre des connaissances - 1re phrase : déf. de la cour Tournure emphatique « c’est » (présentatif) Présent de vérité générale « est » Adverbe de temps « toujours » = caractère de vérité Souci d’exhaustivité et d’objectivité  énumération des titres avec effet de gradation « souverain ; princes, princesses, ministres, officiers » (hiérarchie sociale et pô). On retrouve

L’analyse componentielle (L’analyse sémique) Introduction : L’analyse componentielle est une pratique qui vient de l’école structuraliste. Il existe des traits sémantiques (sèmes) ou « composants » (qui vient de l’anglais « components ») de sens définissant les unités d’une langue. Cette pratique structuraliste s’inspire des méthodes (d’oppositions distinctives/oppositives) adoptées en phonologie. Cette démarche a été utilisée en particulier par Pottier et Greimas en Europe et par Katz et Fodor

jeune/jeûne ; la cote (de la mer)/ le côté (partie latérale) En conjugaison sur le « i » et le « u » dans la conjugaison du passé simple (1ère et 2ème per du pl), de l’imparfait du subjonctif et du plus-que-parfait du subjonctif (3ème per sg) RÈGLE GÉNÉRALE : pas d’accent sur une voyelle suivie d’une consonne doublée ou d’un « x » (ex : interrogation)//on écrit : réglementer-règle, empiétement, événement Il existe 4 signes orthographiques L’APOSTROPHE vient marquer l’élision de « a-e-i » La CÉDILLE

La memoire sensorielle : ce type de memoire ne dure que quelques milisecondes Memoire a long terme (MLT) : Ce type de memoire dure des heures des jours voir des années. Il y a trois types de MLT Sémantique : système mnésique par lequel l’individus stocke les connaissances générales Épisodique : Processus par lequel on se souvent des éléments vécus avec leur contexte Procédural : porte sur les habilitées motrices Mémoire a court terme : L’attention permet a l’information de passer le la mémoire

de polyphonie. Avant de poser les différences essentielles entre les diverses formes de discours rapporté (2 ), et de voir en quoi consiste l’orchestration des voix par le discours rapporté (3), quelques rappels sur l’énonciation et le phénomène général du discours (1). 1° Producteur vs récepteur : il convient d’abord de rappeler que l'énonciation est l'acte de produire un ensemble de signes linguistiques constituant un tout de signification, à savoir l'énoncé, qui est le produit, le résultat de

Initiation au HTML  et à DreamWeaver M. DIENG Abdoulaye Mars 2015 Objectif général Concevoir la structure sémantique du contenu d’un site web  2 Les objectifs opérationnels ¾ Publier du texte ¾ Lister du contenu ¾ Lier des contenus et des services ¾ Afficher une image simple ou cliquable ¾ Établir un tableau ¾ Présenter un formulaire ¾ Prendre en main DreamWeaver 3 Le sommaire 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Présentation de DreamWeaver Interface de DreamWeaver Paramétrer un site local

SÉMANTIQUE ET LINÉARITÉ DU TEXTE, LA PLACE DU RYTHME EN SÉMANTIQUE DES TEXTES Christophe GÉRARD Université de Toulouse Le Mirail SOMMAIRE : 1. Problématique du rythme et du sens 2. Une double définition du rythme 2.1. Structure et structuration 2.2. Combinaisons binaires 2.3. Combinaison ternaire 3. Rythmes sémantiques : illustrations 3.1. Forme tactique et structure rythmique 3.2. Périodicité et mouvement 4. Constitution du sens et linéarité du texte 4.1. La description morphosémantique

basé sur l’utilisation de la musique et du chant. Ce concept a été développé durant plusieurs années d’études et de recherches. La découverte fondamentale est que le son musical est un agent qui contribue à la consolidation de la compréhension sémantique des connaissances linguistiques et leur assimilation idéale dans la mémoire. Les études de n’importe quelle langue sont possibles si basées essentiellement sur la musique. M. Hiestand (photo bas de page) a fondé, il y a 50 ans, l’Institut Supérieur

liens entre l'E.P.S. et la maîtrise de la langue, le document donne quelques exemples d'activités mises en place dans les classes. Il y en a bien d'autres… Ces activités s'appuient sur une pratique de l'E.P.S. organisée autour des quatre compétences générales des programmes 2002, cette pratique est mise en œuvre grâce aux APS de référence qui donnent du sens aux apprentissages et permettent une programmation équilibrée sur l'année, dans le cycle. Il s'agit bien là d'une volonté réaffirmée dans ces programmes