Syndicalisme

la loi Auroux du 28 octobre 1982, a donné de nouveaux moyens aux syndicats dans l'entreprise. B/ Organisation En 1884 le droit de coalition est reconnu. La loi Waldeck-Rousseau, en affirmant le droit à la création, rend désormais légal le syndicalisme. Les syndicats ont vite été assez nombreux. Ils avaient l’habitude de se réunir entre eux dans un local, « la bourse du travail ». Premier mouvement : 1886 : Création de la fédération nationale des syndicats et groupes corporatifs de France

augmentation de la part de la valeur ajoutée redistribuée aux salariés, à travers l’augmentation des charges du personnel, soit d’une augmentation des impôts, taxes et versés assimilés à l’Etat. Comme le laisse entrevoir la théorie monopolistique du syndicalisme (néoclassique), la présence syndicale est en partie responsable de la réduction du ratio de rentabilité économique. Certaines études, dans le contexte français, mettent en évidence des gains salariaux de l’ordre de 3 à 5 % dans les établissements

Marx mais peu à peu idées libertaires et anarchistes continuent d’influencer une partie du mouvement ouvrier. Méfiance de la politique. 1884 : reconnaissance du droit syndical. 1895 : création de la CGT 1906 : Charte d’Amiens = indépendance du syndicalisme vis-à-vis du socialisme. Donc différence entre le socialisme français et la social-démocratie de l’Europe du Nord. Mouvement ouvrier : adhère u fond commun républicain ( grandes lois républicaines). 1905 : union du socialisme en 1905 avec

prennent peur de cet homme politique devenu très fort et mobilisent leurs partisans à l’occasion d’une grande manifestation anti-péroniste. Mais Perón jouit du soutien de la masse, et des syndicats qu’il a réussi à unifier, créant ainsi le début d’un ”syndicalisme péroniste”. Perón s’est appuyé sur la classe ouvrière pour asseoir son pouvoir mais il a aussi permis au mouvement syndicaliste de se renforcer. Ce lien entre Perón et la masse suscite des craintes dans le reste du gouvernement militaire qui le

l’organisation du travail, la prolifération des nouvelles formes d’emploi, l’internationalisation de la production et des services et la quête de flexibilité par une mise en concurrence des milieux de travail transforment la topographie organisationnelle du syndicalisme et modifient l’équilibre, les coûts et les bénéfices de l’action collective. Pour renforcer à la fois son pouvoir de négociation et son influence politique, l’acteur syndical développe de nouvelles coalitions, des stratégies de recrutement et d’organisation

affaiblissement des syndicats et une nouvelle légitimité managériale. Elles entraînent une nouvelle forme de management dit « participatif » qui va à contrario de la forme partielle d'espace public crée avec la force des mouvements sociaux et l'influence du syndicalisme d'affrontement. Avec sa structure communicationnelle, le marketing a pu se propager de la sphère marchande à l'ensemble des secteurs sociaux et institutionnels et a ainsi rassemblé des technologies de gestion du social disparates. Avant

✓ Parcellisation des taches ✓ Formation des salariés (un effet d’apprentissage) ✓ Exploitation des capacités maximale des salariés ▪ Développement de la taille des organisations ▪ Syndicalisme croissant ⇨ Csq : C’est l’apparition du service au personnel Fonction de l’époque est de recruter, repartir les tâches et développer les performances. α Avant 1914 : Dans certains romans on nous parle de certaines

droit du travail : le droit du travail se complexifie. En mars 1919, une loi établit que le personnel peut négocier ses conventions collectives. Donc, il faut mettre une personne qui s’occupe de ces négociations. • Montée en puissance du syndicalisme (ou acteur syndical ?) (syndicat depuis 1884) : pour négocier il faut la aussi désigner un chef du personnel. =>La mission recrutement se fait par les « tests psychologiques ». Ce recrutement s’instrumentalise avec des outils de l’armée américaine

majorité, des salariés. Or, sur ce point, force est de constater que les conditions qui légitimaient jadis le mode de conclusion des accords ont désormais disparu avec la faiblesse de l'audience et l'éparpillement du mouvement syndical. a) Un syndicalisme éclaté Il n'appartient pas à votre rapporteur d'analyser les causes de l'éparpillement progressif du mouvement syndical. Tout juste se contentera-t-il d'observer que la possibilité juridique offerte à un seul syndicat, même minoritaire, de conclure

femmes, 60% de la population active travaille dans les services/ Le taux de syndiqués en France est de 8%, en Suède ce taux est de 80%. L’histoire syndicale française est un affrontement idéologique entre 4 grands courants : - anarcho-syndicalisme (révolutionnaire) - marxiste - socialiste réformiste - chrétien catholique Organisations syndicales : elles sont légales depuis la loi du 21 mars 1884. C’est à partir de 1860 que des syndicats sont crées dans diverses branches