Syndicalisme

LA GREVE Observateur du champ social et du syndicalisme français, Guy Groux est directeur de recherche au CNRS. Ses travaux portent sur les régulations sociales et politiques en lien avec les mobilisations collectives et syndicales. Il a participé à Le réformisme assumé de la CFDT : enquête auprès des adhérents. Jean Marie Pernot, est chercheur à l'Institut de Recherches Economiques et Sociales, auteur de Syndicats, lendemains de crise ? Réédité chez Gallimard, Folio en 2010. L’étude du texte

construit : drapeau rouge, chants révolutionnaires (L’Internationale, 2 p 46), des lieux spécifiques de manifestation (République, Bastille à Paris), … - par la naissance d’une législation sociale Sous la pression des luttes ouvrières, du syndicalisme, des mouvements socialistes, des chrétiens sociaux, des médecins, etc., les Etats adoptent une législation sociale. Ex : l’évolution de la législation sociale en France ( encadré de l’ED, chrono p 50) ( les grands traits : • réglementation

l’organisation du travail, car cela équivalait à collaborer avec le patronat et pour ces syndicalistes révolutionnaires, le plus important est que les salariés soit traité dignement. Ce n’est pas la même chose dans tous les pays où, en règle générale le syndicalisme ouvrier révolutionnaire est beaucoup plus faible). 3/ Les institutions européennes se sont demandées si un travail de qualité était un travail assuré. Il n’y a pas eu de consensus sur cette question. La définition (plutôt française), reliant

C- Déclin ou renouvellement de la conflictualité ? La dim de l'usage de la grève, la désindustrialisti°, la crise du syndicalisme, l'affaiblissemnt du mvt ouvrier laisse penser à un déclin de la conflictualité depuis les 70's Mais, en fait, les conflits ont pris de news formes, on assiste à un renouvellement de la conflictualité(ils n'ont pas remplacer les anciens conflits)

grève au 20ème siècle sans un éclairage sur les fondements idéologiques de celle-ci et plus précisément de ceux qui en on fait une arme juridique, les syndicats. Fin 19ème- début 20ème siècle, on assiste à la naissance et l’affirmation du syndicalisme révolutionnaire qui a pour ambition de régir par lui-même la société dans son ensemble et qui considère la grève générale comme l’instrument le plus approprié de la révolution sociale (Cf : adoption de la charte d’Amiens par la CGT en 1906). La

Jaurès introduit des innovations : « Ce que les ouvriers reprochent à l’armée, c’est d’être aux mains de la bourgeoisie l’instrument des répressions intérieures et des aventures extérieures. À vrai dire, elle n’est qu’un instrument. [...] Avec le syndicalisme révolutionnaire, le parti, imprégné de pacifisme, jure de faire «la guerre à la guerre». La montée vers la guerre est inéluctable. La SFIO se positionne alors clairement contre la guerre et refuse de voter les crédits de guerre. De son leader

Matignon sous la présidence du conseil de Léon Blum entre la CGPF et la CGT en 1936. Comme à l'hôtel Matignon, à l'hôtel du Châtelet les salariés ont eu l'opportunité d'obtenir des acquis sociaux durables (temps et conditions de travail, avancée du syndicalisme etc.) qu'ils ont su saisir. Les accords de Grenelle - qui n'ont, par ailleurs, jamais été signés - avaient pour but de mettre à plat les revendications des travailleurs afin que les lois soient promulguées sous peu. Il faut savoir qu'en eux-mêmes

obtenus par la lutte soient réservés aux seuls participants. De telles considérations ont conduit à l'adoption de pratiques de closed shop ou d'union shop (*) , encore en vigueur dans certains Etats américains, ou plus largement au développement d'un syndicalisme de services où les organisations fournissent diverses prestations à leurs membres. Toutefois, contre cette limitation à leur dimension matérielle, plusieurs auteurs ont proposé une conception élargie des motivations militantes, incluant gratifications

------------------------------------------------- LA REPRESENTATIVITE SYNDICALE * DISSERTATION : La réforme de la représentativité syndicale dans l’entreprise. Dans un contexte de crise du syndicalisme, qui se traduit par une chute constante des effectifs, la question de la représentativité syndicale revêt une importance particulière. Le droit français a fait le choix du pluralisme syndical qui a pour effet de situer côte à côte des organisations égales en droit mais inégalement

l’évolution du monde ouvrier de 1830 à la fin des Trente Glorieuses ; on étudie la constitution d’une sociabilité et d’une culture ouvrières. On présente la formation d’une conscience de classe à travers les luttes sociales et politiques (grèves, syndicalisme, partis) et le processus d’intégration républicaine. Les sujets d’étude sont tous obligatoires. Pour chaque sujet d’étude, on retient au moins une situation parmi celles indiquées et on garde la liberté d’en traiter d’autres tirées de la liste