Superstition Et Progrès Scientifique

acharnée au fanatisme, à l'intolérance, en tournant en dérision la hiérarchie, les dogmes, les cultes de l'église catholique. Il les rend responsables des querelles religieuses. 14) La devise de Voltaire, « Écrasons l'Infâme » signifie d'écraser la superstition, le fanatisme, et l'intolérance religieuse mais aussi juridique : c'est à partir de l'affaire Calas que Voltaire mena une intense campagne : écrits, lettres qui font bouger toute la France et l'Europe. Il signait ses lettres en abrégé : Ecr. L'inf

la science apportait la certitude. Aujourd'hui, nous savons que les sciences apportent des certitudes locales mais que les théories sont scientifiques dans la mesure où elles sont réfutables, c'est-à-dire non certaines. Et, sur les questions fondamentales, la connaissance scientifique débouche sur d'insondables incertitudes. Pour Marx, la certitude scientifique éliminait l'interrogation philosophique. Aujourd'hui, nous voyons que toutes les avancées des sciences raniment les questions philosophiques

dernière fois. C'est bien là le progrès du xixe siècle! Et pourtant, à moins que je ne m'abuse, les siècles passés avaient, et ont encore, des pouvoirs qui leur étaient propres et que le « modernisme » ne peut pas tuer » — p 86 En s'exprimant ainsi, Jonathan Harker met en exergue une des pistes de lecture du roman. L'Angleterre de la fin du xixe siècle est le lieu du triomphe des deux révolutions industrielles, le lieu où se développe pleinement l'idée du progrès. Cet aspect est largement repris

avec la nature et avec l'humanité toute entière. Enfin, le romantisme poursuit la libération de l'art, le drame rejette les règles de la tragédie classique, tout devient sujet pour la poésie, qui peut s'exprimer en prose comme en vers, rejetant la superstition du langage noble et prenant ainsi une vigueur nouvelle. Des liens étroits unissent les écrivains et les poètes aux artistes inspirés du même idéal. En 1819 Gericault présente avec son radeau de la méduse un véritable manifeste romantique mais

tenir pour vrai la modalité de la créance : le tenir pour vrai seulement parce qu’on a entendu le dire c’est croire mais non savoir. Ainsi la vérité d’une croyance n’en fait pas un savoir et la connaissance par ouïe dire n’est pas une connaissance scientifique. Cette distinction est différente donc de la distinction du vrai et du faux : tout le monde croit savoir que la terre tout autour du soleil mais qui le sait vraiment ? Le savoir lui au contraire suppose qu’on comprenne les raisons pour lesquelles

Introduction : 1°) L’esprit des Lumières et le projet de l’encyclopédie Définition : Les Lumières : courant philosophique européen qui traverse toute l’Europe au XVIIIe siècle. Idée que la raison doit l’emporter sur la superstition et la religion ; prône la liberté de pensée, la capacité de l’homme à réfléchir par lui-même. Métaphore « lumières » : « lumières » = facultés intellectuelles > éclairer les esprits, faire qu’on puisse penser par soi-même, lutter contre l’obscurantisme. Et idée

contemporains : sciences, religion, éducation, politique, droit... Contexte historique • • • • • Mutations importantes de la mort de Louis XIV au début de la révolution (1789). Opposition politique et morale, recul de l’analphabétisme, progrès de la presse, échanges internationaux. Meilleure condition des écrivains, assurés d'avoir un public. Ils bravent la censure et abordent librement tous les sujets → prestige moral immense. Salons et cafés. Science moderne : Newton, Lavoisier... interrogation

DISSERTATION Le siècle de Lumières est un siècle de progrès et d'avancés, c'est un mouvement intellectuelle, culturel et scientifique. Le siècle de Lumières est dans un courant de pensée et de sensibilité. Le sujet est extrais de L'esquisse d'un tableau historique de l'esprit humain de Condorcet. Nous nous demanderons en quoi cette évocation des philosophes du XVIIIe siècle reflète-t-elle les caractéristiques de l'esprit de Lumières. Nous verrons pour cela dans un premier temps différentes valeur

qui est né en France dans la première moitié du XIX siècle. Le terme positivisme fut crée en France par Saint-Simon (1760-1825), (ancêtre du socialisme). Ce terme a été introduit en philosophie par Auguste Comte pour désigner non seulement l’état scientifique du savoir par opposition aux deux états précédents, l’état théologique et l’état métaphysique mais aussi et surtout pour désigner un projet de reforme sociale fondée sur une reforme intellectuelle et spirituelle. Le positivisme a connu une importance

Les sentiments de probité entrent autant dans la constitution mécanique du philosophe que les lumières de l'esprit. Plus vous trouverez de raison dans un homme, plus vous trouverez en lui de probité. Au contraire, où règnent le fanatisme et la superstition, règnent les passions et l’emportement. Le tempérament du philosophe, c'est d'agir par esprit d'ordre ou par raison. Tome XII, 1765. Époque : 18 ième Oeuvre dont est tiré le titre : Encyclopédie Commentaire : Dumarsais : ENCYCLOPEDIE : Article