Superflu Et Bonheur

J :Tu sais, l’argent ne fait pas le bonheur, on peut vivre sans ça, moi je pense personnellement qu’il suffi d’aimer et d’être aimé pour avoir l’impression de baigner dans le bonheur. P :D’accord aimer, mais il n’y a pas que ça. Tout ce qui est matériel, comme une maison ça peut aussi jouer sur le bonheur. J : Oui, mais moi je te parle du bonheur a long terme, une maison, ou même ce qu’il y a l’intérieur ne fournira pas un bonheur énorme. Certes un bonheur, mais il sera limité, tu ne peux pas

naturellement associé à la richesse qui permet des investissements qui visent le pur agrément et non le profit. Dans le luxe, l'abondance s'associe au superflu pour conférer un sentiment de grande aisance matérielle et de raffinement du goût. Au xviiie siècle, cette sensation particulière a été fixée par Voltaire dans une formule un rien paradoxale : « Le superflu, chose très nécessaire. » (poème Le Mondain, 1736). Le luxe s'exprime dans tous les domaines où le plaisir importe puisqu'il y contribue par un

Le luxe (lat. luxus) désigne le mode de vie consistant à pratiquer des dépenses somptuaires et superflues, dans le but de s'entourer d'un raffinement fastueux ou par pur goût de l'ostentation, par opposition aux facteurs ne relevant que de la stricte nécessité. Par extension, le luxe désigne également tous les éléments et pratiques permettant de parvenir à ce niveau de vie. Cet aspect d'inutilité est si marquant qu'il est à la base de l'expression péjorative « C'est du luxe ! » qui condamne un investissement

caractère superflu ? Mais quand bien même nous désirerions des choses superflues, le désir est-il en lui-même superflu ? On peut dénoncer, comme le fait Rousseau, les progrès des hommes et l'engrenage de la perfectibilité, qui, raffinant les besoins, les dénature et les rend superflus à mesure qu'il les satisfait (cf. 2° Disc.) en alléguant qu'ils s'en sont passés pendant des siècles. Mais il ne s'agit pas encore de luxe. On peut en parler à partir du moment, où non seulement le superflu s'affirme

Chaque homme sur terre a une conception différente du bonheur, et ce corpus de texte nous le démontre bien. Ces quatre textes traitent de la recherche de celui-ci, comment l’atteindre, et sous quelle forme le trouver. Même s’ils datent tous du XVIIIème siècle, siècle des Lumières, on remarque que les idées de ces philosophes, sur ce thème, sont différentes. Le texte de Montesquieu ainsi que celui de Rousseau sont tout deux basés sur un bonheur dans la simplicité. Dans les Rêveries, l’homme s’exile

concerne tous, quelque soit notre classe sociale : le bonheur, « ma » conception personnelle du bonheur. La plupart des personnes se dit : « Je n’ai rien fais aujourd’hui ! », je vous réponds : « Si, vous avez vécu. ». Donc pour moi le bonheur est de vivre positivement quelque soit le moment présent. A chaque instant, nous pouvons choisir d'activer une émotion positive. Encore faut-il "renoncer" à nourrir nos sentiments négatifs, à ôter le superflu comme le sage de la fable de La Fontaine. Tout d’abord

objet encore plus désirable. Le désir est alors la source d'une satisfaction matérielle, voire futile. Les désirs de l'Homme ne visent pas l'utilité, mais plutôt le confort, quelque chose de superflu. D'ailleurs, Bachelard, évoque ce désir du superficiel dans La Psychanalyse du feu : «  La conquête du superflu donne une excitation spirituelle plus grande que la conquête du nécessaire. » Ainsi, nos désirs nous conduisent dans une quête perpétuelle du plus que ce qu'il nous est nécessaire pour vivre

dans ces extraits . En effet, celui-ci est mis en évidence par une abondance de ressources illimitées, voir superflues. En effet, dans l'Utopie, l'auteur nous fait part que « […] la population continuellement active, n'exerce que des professions utiles, et produit en peu de temps une masse considérable d'ouvrages parfaitement exécutés. » l.3-4 et que « ce travail produit l'abondance et le superflu. » l.25-26, nous montrant que les ressources sont inépuisables et parfaites; dans Candide, Voltaire nous

faibles, savants, ignorants, sains, malades, de tous pays, de tous les temps, de tous âges et de toutes conditions. [...] Qu'est-ce donc que nous crie cette avidité et cette impuissance, sinon qu'il y a eu autrefois dans l'homme un véritable bonheur, dont il ne lui reste maintenant que la marque et la trace toute vide, et qu'il essaie inutilement de remplir de tout ce qui l'environne, recherchant des choses absentes le secours qu'il n'obtient pas des présentes, mais qui en sont toutes incapables

poème lyrique sur le bonheur : a) Voltaire souligne sa volonté de prendre position par l’omniprésence du « je ». Il exprime ses sentiment également grâce à l’insistance « moi je » ainsi que les adjectifs possessifs « mes », « mon »… La présence de verbe exprimant le sentiment, comme « j’aime » (V. 9), insiste sur la singularité de son auteur. Il exprime ainsi son enthousiasme pour une conception épicurienne du bonheur.