Superflu Et Bonheur

dépendre le bonheur ? Le corpus est composé de quatre textes, d'auteurs et d'époques différents. Tout d'abord, nous avons un extrait des Pensées, de Pascal (1670). Ensuite nous avons une fable, « Le Philosophe scythe », de La Fontaine (1693). Puis nous avons un poème, « Le Mondain » de Voltaire (1736). Et pour finir nous avons un extrait la « Cinquième promenade » dans les Rêveries du Promeneur solitaire (1776-1778). Nous nous demanderons de quoi chaque auteur fait dépendre le bonheur. Tout

et enfin croisé du vers 15 a 20 puis elles redevient plates a partir du vers 20, on peut dire que les vers sont isométrique. Dans le mondain , voltaire fait l'éloge de son temps en s'appuyant sur un contre exemple : l'âge d'or. Quelle vision du bonheur défend voltaire ? I- ( Je veux montrer que) voltaire fait l'apologie de l'époque moderne a) car il fait l'éloge de l'âge de fer. -v1 à 12 : c'est la prise de position du poète car il est mis en relief par le « moi » v 5 -V13 à 21:c'est l'éloge

Ecriture d’invention Lui: Je n’ai pas de vision spéciale concernant le bonheur, du moment que j’arrive à assouvir mes désirs et mes envies, je ne me soucie guère des envies d’autrui car le fait de savoir s’ils sont heureux ou non m’importe peu. Moi: Vous insinuez donc là que vous ne portez aucun intérêt au bien collectif et que ce qui vous importe c’est seulement le bien-être de votre petite personne? Lui: Exactement. Je ne vois pas quel intérêt particulier je devrais porter à des personnes

satisfaire ce besoin, la personne en question peut choisir de manger de la viande ou des fruits. Ce n’est ici pas son corps qui lui impose mais bien son bon-vouloir, son désir du moment. On a rapidement tendance à penser que l’objet du désir est superflu, dispensable lorsque celui-ci n’est pas l’objet de notre désir. L’idée disant que l’on peut se passer de ce que l’on désire et que cet objet n’est qu’une machination de plus de la société de plus de la société afin d’accélérer la consommation est

|Vers 1 à 43 sur 129 | |● |Problématique et Thème |Le superflu chose très nécessaire. |Les thèmes sont le luxe de l’époque et le | | | |Quel est le bonheur que Voltaire expose dans ce |rapprochement avec l’âge d’or. | | | |poème et qui est le sien ?

heureux. Pour l’homme le bonheur est un désir essentiel. Certains diront qu’on peut vivre malheureux mais à force de vivre ainsi on perd le goût et l’envie de vivre, l’esprit devient malade et perturbe les désirs les plus fondamentaux du corps. C’est ainsi que certaines personnes en arrivent à désirer la mort ce qui est totalement contre nature. Le bonheur est donc un autre désir essentiel pour l’être humain mais pas aussi instinctif que manger ou boire. Le désir du bonheur est un désir certes toujours

dont l'harmonie charme, ils répondent en ces termes: "Ces peuples sont bien malheureux d'avoir employé tant de travail et d'industrie à se corrompre eux-mêmes! Ce superflu amollit, enivre, tourmente ceux qui le possèdent: il tente ceux qui en sont privés de vouloir l'acquérir par l'injustice et par la violence. Peut-on nommer bien un superflu qui ne sert qu'à rendre les hommes mauvais? Les hommes de ces pays sont-ils plus sains et plus robustes que nous? Vivent-ils plus longtemps? Sont-ils plus unis

sujet qui désire et l'objet qui est désiré. Il faut alors tenir compte du fait que l'objet désiré, le sujet en est privé car selon lui : « le désir est l'expression d'un manque ». (citation) 2 : Pour Aristote, l'objet le plus désiré doit être le bonheur considéré comme souverain bien. L'Homme par nature désire donc d'être heureux. 3 : (citation) « Tout les hommes désirent naturellement savoir » ( Aristote ), l'auteur se rattache à la conception philosophique classique selon laquelle l'ignorance

mélioratifs «  ciel doux » (l.1),  « tiède » (l.5), « tempérée » (l.6) qui font référence au champ lexical de la douceur, les habitants vivent donc en pleine harmonie. Ainsi, le champ lexical du bonheur installe un sentiment de quiétude chez le lecteur avec ses termes « heureux hymen » (l.8), « heureux » (l.14) et « bonheur ». Tous ces éléments prouvent que grâce à l’imagination un monde meilleur est possible. La beauté de cette nature est l’argument des habitants de la Bétique pour revendiquer leur société

d’échapper à la censure + intention de ne pas focaliser le lecteur sur des cas particuliers mais de l’amener à réfléchir sur les valeurs de l’Homme en général - phrases qui ressemblent à des vérités générales, à des proverbes : Peut-on nommer bien un superflu qui ne sert qu’à rendre les hommes mauvais ? (l. 25-26) - énumération de défauts humains qui sont ceux des hommes en général : “l’ambition” (l. 29), “la crainte” (l. 29), “l’avarice” (l. 29) ; à noter les articles définis généralisants 2. Une critique