Superflu Et Bonheur

 Quelle est votre conception du luxe ? (En prenant appui sur le texte de Thierry Paquot) Chacun possède une certaine vision du luxe, pour certains, le luxe est un privilège, ceux-çi le definisse comme un accés certain au bonheur, un tremplin pour l'épanouissement du "moi", pour d'autres, le luxe n'est justement qu'un aveuglement, un obstacle à l'assouvissement des réels besoins de l'homme, je partage cette idée qui se developpera en trois grands points: tout d'abord je discuterai

à l’opposé de ce mode de vie. De plus, cette formulation avec « pas seulement » et « que » vise, en quelque sorte, à nous rabaisser. Lorsqu’il est question de faire un sacrifice comme dans les Lettres persanes, celui-ci est « tendre » et pour le bonheur des autres. C’est une des manières d’exprimer le fait qu’il faudrait prendre exemple sur la philosophie altruiste de cette communauté imaginaire. Nous pouvons donc dire que ces trois auteurs du XVIIIe siècle ont écrit un récit divertissant pour le

la thèse soutenue dans le texte? Quels sont les arguments apportés par l’auteur ? 2-Comment le narrateur vise-t-il à convaincre et à persuader ses lecteurs ? RÉFLEXION PERSONNELLE : Sujet: Dans ce texte, Rousseau s’interroge sur la réalisation du bonheur. Réfléchissez sur ce thème à l’aide de vos connaissances personnelles. Fabiana Gargia Classe 4^G - A.S. 2014-15 Lycée Linguistique International Aristosseno Tarente Docenti : prof. Sergio Mulas-Sabine Scheck RÉDACTION DU COMMENTAIRE DIRIGÉ QUESTIONS

Autres remarques : c'est un poème, rimes embrassées, croisées et plates, écrit en octosyllabes.Problématique : En quoi ce texte oppose deux visions du bonheur? I La conception voltairienne du bonheura) la richesse"j'aime le luxe" : Définition du luxe : syn. de richesse et de ce qui est superflu NB : la P1 + le caractère affirmatif de cette proposition"les arts de toute espèce / la propreté, le goût, les ornements" v10

conformiste, le bonheur tient dans le respect des traditions, et non dans le désir de chacun. ● Utilisation de proverbes "tout en sera bon, dans cet homme-là, l'utile et l'agréable, tout s'y trouve" l.15-16, "y" renvoyant curieusement à l'amant, "endroit" supposé de plénitude et de bonheur et non personne ⇒ montre une réflexion limitée, et une argumentation fondée sur des principes. 3. Une vision du monde superficielle ● Jeu antithétique entre "superflu" et "nécessaire" dans "ce superflu-là sera mon

temps des peuples européens, et les estiment « bien malheureux d'avoir employé tant de travail et d'industrie à se corrompre eux même » quand on leur parle d'art, des minerais précieux, de parfum ou toute autre sorte d'art qu'ils qualifieraient de « superflu ». La longue énumération au début du deuxième paragraphe rappelle la cour de Louis XIV : « bâtiments superbes » et « meubles d'or et d'argent » qui rappelle la somptuosité de Versailles, « parfums exquis » qui évoque l'étiquette de la cour, « mets

nous pouvons l’assouvir. Cependant sous quelles raisons est il légitime de transformer son rêve en une réalité. Tout d’abord un nous pouvons définir un désir naturel. Il l’est si il est conforme au besoin mais ne nous apporte rien de plus que du bonheur. Dans ce cas là on peut dire qu’un désir naturel à le mérite d’être satisfait. Ensuite nous devons nous demander si ce n’est pas contraire à notre culture mais c’est un désir donc il est au dessus et dois être exécuté. Finalement il faut s’imaginer

''Sommes nous dignes de mépris [..] besoins superflus'' → cela évoque le mépris que les européens pour les tahitiens. Le vieillard aussi se moque de leur façon de pensée (besoins superflus) Il dit "ce que tu appelles" en parlant des valeurs européennes, il veut donc les dénoncer en tant que fausses valeurs. Il marque d'ailleurs son idée avec un vocabulaire primitif: "troquez". Bougainville dénonce le superflus avec de nombreux oxymores. - l 19: "besoins superflus" - l 25: "biens imaginaires" - l 30:

pour ne pas devenir leur esclave. La satisfaction des désirs est associée au bonheur. Le « ne...que » présuppose que nous désirons en principe ce que nous estimons bon. Mais peut-être pas seulement cela ? Estimer, c'est évaluer, attribuer une valeur. Mais avec une connotation d'approximation : on ne sait pas si la chose est bonne ou non, c'est une opinion. « Bonnes » en quel sens ? Nécessaire à la survie ? Nécessaire au bonheur ? Nécessaire à la vertu (moralement bonnes) ? La morale est est elle conciliable

différence irréductible. Le besoin serait de l'ordre de la nécessité, essentiellement biologique, de la survie, tandis que le désir lui serait de l'ordre du superflu ou viserait des fins qui sont très au-delà de la survie, comme le plaisir ou le bonheur, choses sans lesquelles il est possible de vivre. On a besoin du nécessaire, on désire le superflu. Toutefois, il est tout aussi courant d'employer indifféremment le mot besoin et le mot désir relativement aux mêmes choses. On peut dire qu'on a besoin