Ne désirons nous que les choses qui nous semblent bonnes?
Nécessaire à la vertu (moralement bonnes) ? La morale est est elle conciliable avec le désir, ou bien sommes nous aussi attirés par ce qui est mal perçu par la conscience?
Tout d'abord, nous désirons les choses que nous estimons bonnes.
On peut entendre « quelque chose de bon » comme quelque chose de vitale, quelque chose qui est indispensable à notre bonheur. Ce peut être une question de confort ou bien de nécessité. Le désir s'oppose à la fois au besoin et à la volonté. Le besoin est lié à une nécessité vitale. L'objet du désir n'est pas lié à la survie. Le vouloir est conscient et contrôlé. On ne choisit pas ses désirs et les désirs ne sont pas toujours conscients.
Par exemple, le désir de se nourrir ou bien de boire, cela reste une envie, mais c'est un besoin vitale. Si on ne se nourrit pas, ou bien si on ne boit pas, cela peut nuire à notre survie. Selon cet exemple, désirer une chose ne fait donc pas obligatoirement référence à vouloir une chose du simple fait que celle-ci soit bonne. Selon Aristote « L'objet le plus désiré doit être le bonheur considéré comme souverain bien. L’Homme par nature désire donc d'être heureux. »
Le bonheur est une chose désirée par tous. On peut considérer le bonheur comme