Sujet Liberté

à exister en tant que sujet. Or autrui tente de résister à cette tentative de subordination. Ce qui ouvre une véritable lutte des consciences, dans laquelle je ne peux être reconnu par autrui que si je parviens à l’objectiver. Sartre a donc une vision conflictuelle des relations entre consciences. Huis clos illustre parfaitement la difficile coexistence des consciences, le fait qu’autrui est ce qui m’aliène et m’enferme dans une nature donnée, ce qui me prive de ma liberté.

volontaire. A l’inverse, le désir ou le souhait témoigne de la subjectivité : le monde tel que nous nous le représentons ou l’imaginons, dimension fantasmatique ou illusoire dans laquelle le sujet projette son désir et modèle le réel selon son gré. En outre, contrairement au choix qui fait intervenir la liberté de la volonté, le souhait témoigne plutôt d’un affect d’une passion que l’on subit sans en connaître l’origine ni les chances de succès. Par conséquent, si on peut se tromper dans ses choix

l'objectivation de chacun par le regard de l'autre n'est ressentie comme pénible que parce qu'elle prend la place d'une communication possible. Le regard d'un chien sur moi ne me gêne guère. Le refus de communiquer est encore un mode de communication. La liberté protéiforme, la nature pensante, le fond inaliénable, l'existence non qualifiée, qui en moi et en autrui marque les limites de toute sympathie, suspend bien la communication, mais ne l'anéantit pas. Si j'ai affaire à un inconnu qui n'a pas encore

circonstances, excitations et impulsions Dans cette phrase, Hegel énonce l’opinion de la majorité qui décrit la liberté et la volonté, « on dit ». Cette opinion est placer au début pour montrer d’où nous venons, sur quel fait nous nous nous basons. La majorité pense que la volonté est définie selon les circonstances, l’excitation et l’impulsion qui sont le résultat d’un désire incontrôlable ou la liberté est absente. Cette formule implique que je me suis comporté de façon passive. Mais, en réalité

Sujet : Peut-on penser par soi-même ? La nécessiter de penser remonte à toujours, mais est indispensable de nos jours. Lorsqu'il s'agit de se prononcer sur ce qui semble vrai, faux, bien ou mal, dès qu'une personne à une maturité quelconque, elle est mise face à différents avis sur ce qui l'entoure. Après, peut-on penser par soi-même ? Sans oublier pour autant que l'humain est un personnage influençable sous différent points, comment savoir si l'emprise extérieur n'a pas d'empreinte sur la pensée

"Les qualités intrinsèque à l'Intelligence, comme la liberté, la capacité d'apprendre, la faculté de percevoir, l'intégrité, etc. ne sont actives que dans le moment présent. L'Intelligence n'est pas un but qui pourrait être atteint, de façon qu'une fois atteint nous pourrions nous détendre et aller dormir à nouveau. Voir avec Intelligence est action. Cette action est toujours dans le moment présent, qu'il s'agisse d'un travail difficile, ou bien d'être calme. C'est la vision de ce qui est à ce

conscience, n'accède pas à ce dont je suis seul à être conscient: l'assertion est fausse, il y a intention de le tromper. Si on avait voulu cette signification on aurait demandé: peut-on se mentir à soi même? (Voir l'aide N°76 Peut-on mentir? sur ce sujet). -Si peut-on signifie doit-on, le problème moral est posé (que dois-je faire?). Est-ce juste de mentir à autrui? Peut-on faire à autrui ce que nous ne voulons pas qu'il nous fasse? On peut donc prendre le deuxième sens. => Recherche des

métropolitaine Sujet difficile car mettant en comparaison deux problématiques : la connaissance d'autrui, la connaissance du soi et les mettant en balance. Qu'est-il plus facile ? Une erreur dans le traitement du sujet serait de traiter la connaissance d'autrui puis la connaissance de soi pour ensuite les réunir dans un troisième paragraphe. Cela constituerait un hors-sujet sur les deux premières parties car il s'agit bien de mettre en face les deux questions. La formation du sujet met en parallèle

Sujet : Puis-je penser ce que je veux ? Intro Cette première partie va répondre de façon affirmative à la question posée, en mettant en avant la relation qui existe entre conscience et liberté. Avant de pouvoir penser ce qu’il veut, le sujet doit prendre conscience de sa liberté, et l’expérimenter pour une première fois. L’accès à la pensée libre doit donc passer par l’expérience de la conscience. A l’inverse de l’acte machinal, ou de l’acte répété, un acte réfléchi sera donc pensé, afin

Disserte en dix phrases Sujet posé 1- La maladie de Chloé est liée à la perte de la liberté du personnage principal. Idée principale 2 2- Vian critique cette perte de la liberté en nous démontrant que Colin fait face à des réalités puisqu’il doit affronter la misère que la maladie lui inflige. 1ere idée secondaire 3- La première réalité à laquelle Colin fait face est la mort. Même s’il met de l’effort à sauver Chloé, elle fini tout de même par mourir. 2e idée secondaire 4-