Strategie De Croissance Pechiney

1. Stratégie d'impartition a. Définition L’impartition peut se définir comme une politique de coopération entre plusieurs partenaires disposant de potentiels complémentaires et désireux de concrétiser une synergie latente, réalisée sous forme de mise en commun de leurs compétences propres. b. Modalités Les techniques d'impartition sont de plusieurs ordres ; sous-traitance, franchise, concession, cession de licence. - La sous-traitance Une entreprise (le donneur d'ordres) fait exécuter par une

entrainé l’expansion des firmes transnationales (FTN). Le mouvement s’est acceléré Une société multinationale : firme ou société qui contrôle, de façon directe ou indirecte, des filiales situées à l’étranger, et qui est en mesure d’élaborer une stratégie industrielle et commerciale mondiale. SRTUCTURE : Les sociétés multinationales (ou Firmes multinationales FMN), produisent donc une part plus ou moins grande des biens et services qu’elles commercialisent à l’étranger, c’est-à-dire hors de leur

production industrielle Disparition d’un actif sur 10 ; naissance de classes creuses LA CRISE DES FINANCES PUBLIQUES : Dettes aux EU, pas de retour des emprunts russes, peu de réparations versées par l’All Financement de la reconstruction et de la croissance : épargne, ms déjà bcp utilisé pendant la G LA CRISE MONETAIRE ET LE FRANC POINCARE : Cours du dollar : 11 francs en 1919 ; 5 francs en 1914 Déficits publics, hausse des prix (sauf 1921-22 déflation) Franc = monnaie fragile, mise en péril

Ce qui est nouveau c’est la place des groupes dans l’économie. Entre 1945 et 2000 il y a eu 5 phases : - 1945-1958 : période de reconstruction, on cherche à retrouver le niveau de production et de vente d’avant-guerre. Redémarrage de la croissance, protectionnisme, grande stabilité des structures industrielles. - 1958-1965 : début de la réouverture de la France sur le monde (essentiellement axée sur l’Europe), baise du protectionnisme. Course poursuite vis-à-vis de l’extérieur. Renforcement

: Modalités de développement stratégiques 1. COMPOSANTES DE LA CROISSANCE DES ENTREPRISES La croissance correspond à une augmentation des dimensions de l'entreprise ainsi que par le changement des caractéristiques de l'entreprise (technologie, financement, ressources humaines, organisation). La croissance est donc un processus quantitatif (dimensions) et qualitatif (changement de structures). La dimension quantitative de croissance se repère à l'aide de 3 types d'indicateurs : le volume des facteurs

Allemagne Paris, mardi 14 mai 2002 Les alliances stratégiques et la croissance externe : La constitution d’Alliances stratégiques ou la Croissance externe sont des solutions impérieuses pour la prise de parts de marché. Dans un environnement aussi concurrentiel et aussi tendu que l’Allemagne, elles permettent d’ambitionner une part de marché réelle à court terme, tout en limitant les risques de rejet. Le manque de croissance actuel induit une lutte féroce pour la conservation des parts de marché

concurrentielle, étudiée précédemment, rend bien compte de cette dimension de la stratégie. Mais une entreprise n'est pas réductible à ses caractéristiques commerciales. Elle appartient à un secteur d'activité au sein duquel la dynamique industrielle rend compte des stratégie différentes des firmes en présence. En outre elle dispose au sein de son secteur d'activité d'un potentiel des ressorts de sa stratégie. Pour fonder une stratégie globale, l'analyse concurrentielle des produits et des marchés doit donc

position, l’industrie de l’emballage sait « se faire consommer »par tous les secteurs, par principe « tout s’emballe ». La demande mondiale montre de réel signe de progression avec un chiffre d’affaire en 2009 de 564 milliard de dollar avec une croissance annuelle moyenne de 4.50% Généralement, les consommations en contenant et produits d’emballage faites par les manufacturiers évoluent au même rythme que les livraisons manufacturières. Cependant, les types de conteneur privilégiés par les grands

Le lecteur, soucieux d’accéder aux sources et à une description complète des différents cas, peut se reporter à N. Berland [1999]. Tableau 1 - Les entreprises étudiées Sociétés Archives Documents Période publics étudiée EDF-GDF 1946-1965 Oui Oui Pechiney 1929-1960 Oui Oui Saint-Gobain 1930-1965 Oui Oui Total-CFP Non 1930-1965 Oui Le Printemps Non 1930-1950 Oui Alsthom Non 1930-1965 Oui Electricité de Non 1930-1935 Oui Strasbourg PLM Non 1930-1935 Oui La méthodologie utilisée emprunte d’abord à l’histoire

Stratégie d’entreprise par Luc Boyer 2009 Sommaire Introduction et définition Environnement général de la firme Les agrégats Application aux pays Les acteurs Diagnostic et modèle d’analyse La segmentation Le cas Swatch La stratégie en action Les stratégies dans un segment Les stratégies de développement Les manœuvres stratégiques Les évolutions récentes 2 La stratégie n’est pas affaire de seuls spécialistes. Tout cadre, employé, par son action au quotidien, son comportement