Somme des diviseurs

L'intérêt I= C x t /100 x n Va = C + C x t/100 x n " Si nous plaçons une somme d'argent aujourd'hui, combien recevrons-nous demain ?" Cela s'appelle capitaliser . Vérification I = 10 000+ 8/100 x 3 = 2 400 dh Va = 10 000 +10 000 + 8/100 x 3 ou 10 000+ 2 400 Va = 12 400 C - Etude de chacun des éléments de la formule de l'intérêt simple 1 - Capital Il s'agit du montant de la somme placée à une date déterminée Exemple : Un capital placé au taux annuel de

expression de la forme ua + vb, o` u u ∈ Z et v ∈ Z, en particulier il divise a + b et a − b ; 2. si c|b et b|a alors c|a ; 3. si a|b et b|a alors a = ±b ; 4. 1|a ; 5. a|0. D´ efinition 1.1.3. On dit qu’un entier naturel n > 1 est premier si ses seuls diviseurs positifs sont 1 et lui-mˆeme. Th´ eor` eme 1.1.4. Tout entier a > 1 s’´ecrit de mani`ere unique a = pα1 1 pα2 2 . . . pαk k o` u les entiers pi sont premiers et v´erifient p1 < p2 < · · · < pk les entiers αi sont strictement positifs Th´ eor` eme

rémunéré, c’est la date à partir de laquelle une somme créditée au compte porte intérêt lors d’un encaissement et la date à partir de laquelle une somme débitée au compte cesse de porter intérêt lors d’un décaissement • Appliquée à un compte à vue c’est la date à partir de laquelle une somme créditée en compte peut être retirée sans que le titulaire ait à payer d’agios débiteurs lors d’un encaissement et la date à partir de laquelle une somme débitée en compte devient indisponible lors d’un

CREATION MONETAIRE EST-ELLE EXOGENE OU ENDOGENE ? 3.1 L’offre de monnaie exogène : le multiplicateur du crédit 3.1.1 Le principe du multiplicateur du crédit 3.1.2 Le calcul du multiplicateur 3.2 Les limites du multiplicateur et l’approche par le diviseur CHAPITRE 4 : THEORIES MONETAIRES IMPACT DES VARIATIONS DE QUANTITE DE MONNAIE 1 LA VISION CLASSIQUE : LA MONNAIE PASSIVE 1.1 La dichotomie classique 1.2 L’équation quantitative de la monnaie 1.3 La théorie quantitative de la monnaie 1.3.1 La demande

(milliard €) Actifs | Passifs | Créance non résidents : 220.5Créances sur les admins publiques : 2225.3Créances secteur privé : ? | M3 : 6143.5 | Notion de base monétaire : La base monétaire correspond à la monnaie BC, cad il s’agit de la somme des billets et des réserves des banques en monnaie BC. Vous avez là toutes les clés. Réponse de Nicoco : « Ca fait donc un trousseau ». Un établissement de crédit crée de la monnaie, mais est confronté à des fuites hors de son réseau. * Premier

que a et b soient de entiers naturels vérifiant a < b et ppcm(a ; b) = 440, c’est-à-dire tel que (a, b) soit solution du système   a 0 par Sn = p 3 . On se propose de calculer, pour tout entier naturel p=1 non nul n, le plus grand commun diviseur de Sn et Sn+1 . 1. Démontrer que, pour tout n > 0, on a : Sn = n(n + 1) 2 . 2 2. Étude du cas où n est pair. Soit k l’entier naturel non nul tel que n = 2k. b. Calculer PGCD (k ; k + 1). a. Démontrer que PGCD(S2k ; S2k+1 ) = (2k + 1)2 PGCD k 2

moteur asynchrone 12230 V (tension entre une phase et le neutre). 4 A (en couplage étoile, le courant consommé par un enroulement correspond au courant de ligne). Les pertes collectives sont les pertes autres que les pertes par effet Joule. C’est la somme des pertes mécaniques et des pertes fer. Les pertes collectives se mesurent à partir d’un essai à vide. Fréquence de synchronisme : f (Hz) 50 p= = =3 n S ( tr / s) 1000 60 nS = 1000 tr/min 3-1 3-2 4-1 Fabrice Sincère http://perso.orange.fr/fabrice

t/100 x n Va = C + I " Si nous plaçons une somme d'argent aujourd'hui, combien recevrons-nous demain ?" Cela s'appelle capitaliser . Vérification I = 10 000+ 8/100 x 3 = 2 400 dh Va = 10 000 +10 000 + 8/100 x 3 ou 10 000+ 2 400 FOAD LES MATHEMATIQUES FINANCIERES I LIVRET 52 Page 3 FOAD – LES MATHEMATIQUES FINANCIERES I Va = 12 400 C - Etude de chacun des éléments de la formule de l'intérêt simple 1 - Capital Il s'agit du montant de la somme placée à une date déterminée Exemple : Un capital

travaux pratiques Arithmétique commerciale OFPPT/ DRIF 4 III.2 Calcul du taux moyen résultant de plusieurs placements. III.3 Calcul du taux effectif de placement. III.4 Calcul de l’intérêt global par la méthode des Nombres et des diviseurs communs III.5 Calcul du capital. III.6 Calcul des capitaux et des intérêts correspondants. III.7 Calcul du capital et de la première durée de placement. III.8 Calcul des capitaux. III.9 Calcul du taux et de la valeur acquise. III.10 Calcul

aires lorsqu’on bricole et que la connaissance des pourcentages et de la proportionnalit´ peut servir pour e calculer l’impˆt qu’on devra payer ou les int´rˆts d’un prˆt bancaire. o ee e Certes, et tout cela utilise des math´matiques, mais, somme toute, ase sez peu. En fait, des math´matiques beaucoup plus ´labor´es sont pr´sentes, e e e e mais de mani`re cach´e, dans la vie de tous les jours. Lorsque vous regare e dez les pr´visions m´t´o ` la t´l´, elles sont derri`re, avec aussi