Socrate Justice

langages qui sont répétés dans discontinuité. Voir schéma CHAPITRE I – Généralités I. L’Ethique dans l’Histoire a. Origine de l’éthique Ce mot en formé dans l’entourage de Socrate (Platon et Aristote). C’est donc Socrate qui serait à l’origine de l’Ethique. ➢ Formule célèbre de Socrate : « Connaît toi toi même » : Homme, occupe toi de l’Homme > Etudie ton comportement, ta conduite. L’éthique est donc une étude des mœurs et des coutumes pour savoir quelles sont les bonnes

rapport en première personne 4.1.2 Courant de conscience 4.2 Conscience du monde extérieur 4.2.1 Structure phénoménale de la conscience 4.3 Conscience morale 4.3.1 Représentations allégoriques de la conscience 4.3.2 La conscience comme forme de justice 5 Fonctions de la conscience 6 Les théories de la conscience 7 Bibliographie 8 Notes et références 9 Voir aussi 9.1 Liens internes 9.2 Liens externes Introduction[modifier] Il est important de distinguer : La conscience en tant que

occurrences chez les penseurs présocratiques2 Héraclite, Antiphon, Gorgias et Pythagore, mais aussi chez d'autres penseurs contemporains de Socrate, comme Thucydide ou Hérodote. D'après un écho d’Héraclide du Pont, Pythagore serait d'ailleurs le premier penseur grec à s’être qualifié lui-même de « philosophe3 ». Toutefois, c'est la pratique qu'en fait Socrate, dans les dialogues de Platon, qui fixera le type de recherche et de questionnement en quoi consiste encore aujourd'hui la philosophie4.

Revenus, qui est divisé en quatre grands chapitres. Ici nous analysons les paragraphes 1 à 7 du chapitre II qui portent sur les métèques à Athènes. Xénophon est né en 430 avant JC à Athènes, Xénophon est le fils d’un noble athénien. Ancien disciple de Socrate, il est surtout connu pour avoir fait parti, en 401 av. J.-C., d’une armée de mercenaires grecs recrutés par Cyrus le Jeune, prince perse. Après ses aventures à l'étranger, il retourne en Grèce en 394 av. J.-C. dans l’entourage d’Agésilas II, roi

indépendance ; et je ne les conserverais point, si je me fâchais. » X. CE qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les opinions qu'ils en ont. Par exemple, la mort n'est point un mal, car, si elle en était un, elle aurait paru telle à Socrate, mais l'opinion qu'on a que la mort est un mal, voilà le mal. Lors donc que nous sommes contrariés, troublés ou tristes, n'en accusons point d'autres que nous-mêmes, c'est-à-dire nos opinions. XI. ACCUSER les autres de ses malheurs, cela est d'un

même pour tous et tout le monde se doit de la respecter sous peine d’être puni. Pour d’autres auteurs comme Pascal, la question d’existence de loi « injuste » ne se pose même pas car la notion de loi est automatiquement assimilée à la notion de justice. Il affirme « [qu’] ainsi toutes nos lois établies seront nécessairement tenues pour justes » En effet, comme nous l’avions vu précédemment, le juge est le seul à pouvoir juger un litige. Il se doit alors d’être juste et pour cela il doit s’appuyer

mais il est inconscient de son ignorance, il croit savoir. Le philosophe débutant ne sait rien mais il est conscient de son ignorance, il sait qu'il croit. Cela creuse en lui le désir de la vérité en ce sens pour bien penser il faut aimer! Socrate disait je sais que je ne sais rien. Pour bien comprendre comment commence l'acte de philosopher voir l'aide N°19 Peut-on être à la fois ignorant et sage? et l'aide N°43 Croire et savoir 2) Peut-on ne pas vouloir rechercher la vérité? Vous pouvez

présente dans sa définition même : ainsi, pour Socrate, la philosophie est une entreprise qui nous enjoint à prendre conscience de nos préjugés, et par là, à pouvoir mieux nous connaître, nous et le monde qui nous entoure. Philosopher, c’est prendre conscience de .. afin de se rendre maître de soi. Nous allons voir que la philosophie attache un sens spécifique à la notion de conscience, qui va bien au-delà de la conscience "critique" découverte par Socrate, et cela, à partir de Descartes. Mais avant

Philosophie est, et restera Socrate (faisant suite à Pythagore) pour son travail fournit. Il fut ensuite suivit de Platon, qui bénéficia de ses enseignements (il écrivit d’ailleurs « L’apologie de Socrate » pour redorer le blason de son mentor, condamné à tort quelques années auparavant). Aristote continua sur la même voie que ces prédécesseurs, et fut, quelques années plus tard, suivit par Descartes, Spinoza, Marx, Kant..etc qui ont pris pour certains la suite de Socrate et Platon, et pour d’autre

Le bonheur existe dans nos vies et existe depuis toujours. Dans la philosophie ancienne, un savoir théorique et pratique, on considère le bonheur comme eudaimonia. Ce qui est une notion fondamentale qui a pour but de rendre l’homme heureux. Selon Socrate, le bonheur semble pour lui s’identifier à vie vertueuse. La vie vertueuse, c’est ce qui porte à l’être humain de vivre dans le bien. «L’important n’est pas de vivre, mais de vivre dans le bien.» Un autre philosophe antique, Aristote semble avoir