Socrate Et Présocratiques

de ces deux termes (philosophiques et théologiques) nous permettra d’exposer notre approbation sur la question posée. A. Définition et objet de la philosophie. A.1.- Sa naissance avec les pionniers comme Thales, Anaximandre, Anaximène et Socrate. La Philosophie comme étant la mère de toutes les sciences, vient de deux mots grecs : philos qui signifie ami ou amour et logos qui signifie étude, discours. Elle se définit comme l’ami ou l’amour de la sagesse. Cette définition n’est pas toujours

peine de chercher. Argument sceptique : pas de possibilité de recherche intellectuelle soit quand on est ignorant soit quand on est savant. Mais Socrate nous dit c’est éristique mais ne correspond pas à la recherche intellectuelle : on est dans un état médian. Argument sophistique très formel mais qui ne résiste pas à l’expérience. Réponse de Socrate à cet argument est étonnante  car se réfère à l’appel des devins ou aux prêtresses. Donc se réfère à des autorités religieuses et traditionnelles

d’où vient le corps. Pour Aristote, il y a 4 causes essentielles et il présente ensuite dans le 2ème § et ce qui suit les insuffisances des philosophes matérialistes. Aristote assimile les matérialistes aux naturalistes, il fait référence au présocratiques, ceux qui sont qualifiés de naturalistes physiciens (école de Milet) parce qu’il recherche les causes premières, les premiers principes dans l’ordre naturel, donc dans les corps. Ensuite, le matérialisme se renforce avec l’école d’Abdère notamment

des prémisses qui l’instaurent. La Grèce antique, où elle prend racines, de surcroit considérée comme le berceau de la Démocratie, jouit encore de nos jours d’une aura culturelle primordiale. Or, s’il est indispensable de se référer à certains Présocratiques (négligés, oubliés parfois même méprisés) qui s’émancipèrent des mythologies antérieures (à partir du milieu du VIIe siècle av. l’ère chrétienne) en substituant l’observation de la nature et la logique (astronomie, origine et reproduction de la

des causes aux guerres (plus une vengeance divine). Historien grecque : Hérodote (484-424 A.J.C.) : Science de la médecine (Hippocrate, île de Cos, 460 A.J.C). Expliquer la maladie et la santé de manière naturelle. Socrate. P. 81 Avant Socrate (470-399 A.J.C.), on parle de présocratiques (philosophes de la nature en rupture avec la conception mythique du monde). Ce n’est plus l’étude de la nature mais l’étude de l’homme et sa place dans la société. Chez les Athéniens, il est nécessaire de maîtriser

a changé d’horizon. Elle est dans le discours, le logos, parole et raison à la fois, qui s’oppose au muthos, le conte. Comme toujours, il faut en revenir au Timée (29c): « Car ce que l’Etre est au devenir, la vérité l’est à la croyance. Si donc, Socrate, en beaucoup de points, sur beaucoup de questions concernant les Dieux et la naissance du Monde, nous ne parvenons pas à nous rendre capables d’apporter des raisonnements (logous) cohérents de tout point et poussés à la dernière exactitude, ne vous

la philosophie est-elle née là-bas et à ce moment-là ? I – Des facteurs favorables A/ La situation géographique d’Athènes Athènes est située au cœur d’un carrefour ce qui permet l’échange, la confrontation d’idées. HERACLITE, penseur présocratique au VIe siècle avant J-C a affirmé « Le conflit est père de toutes choses » B/ La hiérarchie de la société L’esclavagisme est développé à Athènes. Cette hiérarchie permet de dégager du temps pour la réflexion philosophique. C/ La démocratie

la détenons. Sans ce souci de rechercher la vérité sans en faire un duel, la rencontre avec l'altérité sera stérile. En apparence, cela ne fait pas beaucoup de différences, mais en réalité cela change tout. C'est sur cette idée que revient souvent Socrate, particulièrement dans le Gorgias, lorsqu'il oppose la rhétorique, dont le but affiché est de persuader tous les auditoires d'à peu près tout, à la pratique du dialogue tel qu'il l'entend, à savoir où on a autant de plaisir à réfuter les autres qu'à

antique il faut retourner vers les présocratiques ce sont des penseurs qui vécurent entre le 7ème et le 4ème siècle avant notre ère, et qui ont basé toute la philosophie du droit dans une philosophie de la nature, sur la contemplation et l’exigence de rationalité. Avant cela ont basé notre savoir sur les légendes et les fables et donc à l’inverse basé nos connaissance juridique sur la raison a été un tournant très important. Section 1 : Le droit chez les présocratiques : L’apparition du droit chez la

vérité est non-sens est vrai, d’où l’opposition du vrai et du faux. C’est la catégorie la plus basse du discours et la réflexion immédiate du langage sur lui-même. C’est le discours du maître contre le parler divaguant des hommes (les penseurs présocratiques: la forme, la cause, l’Etre sont vrais tandis que l’informe, l’effet sans la cause, le non-être sont faux ; il y a l’un vrai et le multiple faux, veritas index sui et falsi). la certitude : le vrai est ce qui nie mais ne subit pas la négation