Socrate Et Les Sophistes Dans La République

Platon défend la thèse, dans la République, selon laquelle les "meilleurs" doivent gouverner, c'est parce qu'il conçoit la politique comme une sorte de rédemption, d'éducation. Celui qui gouverne doit éduquer le peuple, ignorant, au bien, et cela, parce que seul, il a la connaissance du bien. La tâche première du politique n'a donc rien à voir avec la gestion des affaires communes. Il s'occupera avant tout de rendre les hommes meilleurs, il cherchera à convertir la cité humaine aux valeurs transcendantes

deux sens. D'abord désigne les droits de citoyenneté, ensuite la constitution/l'organisation de la cité (le régime politique). Cela montre que pour la Pensée grecque, une cité-Etat comprend des citoyens et des régimes d'états/politiques. N.B: La République de Platon se nommer Politéia en grec. Le mot politès est formé sur le mot politesse, son dérivé politikos signifie "celui qui est spécialiste de la politeia". Aristote écrit politika, La Politique. Le mot rhétorique a été crée sur le mot rhètor

Platon, La République, Livre VI Dialogue entre Socrate et Glocon Admis au dialogue précédent : "sont philosophes ceux qui sont capables de s'attacher à ce qui est toujours identiquement dans les mêmes termes", contrairement à ceux qui "errent parmi les choses multiples et variables en tout sens". -> Nouvelle question : lesquels doivent être chefs de la cité ? (c'est à dire ceux qui seront capables de garder les lois de la cité et les fonctions qu'on y exerce) Ceux que nous instituerons

d’année) et une nouvelle élite va apparaître, celle des sophistes qui maîtrisent mieux que les autres, l’art du discours et imposent leur point de vue à l’ensemble des hommes libres. Les Sophistes : font croire aux autres qu’ils connaissent la vérité dans tous les domaines alors qu’ils ne détiennent qu’un savoir-faire, un pouvoir de persuasion sur autrui. Platon critiquera dans la plupart de ses œuvres la façon dont les sophistes utilisent la parole pour dominer autrui et non pas pour

mauvaises fréquentations » (comme le dira Platon dans La République, IV), est peu à peu devenu incapable de leur commander, en sorte qu'il est à présent comme l'esclave de lui-même : le désir ordonne et il obéit. On comprend alors pourquoi dérèglement et tempérance sont les deux possibilités de la vie humaine : soit c'est la raison qui commande aux désirs, soit c'est l'inverse, sans qu'il y ait d'autre solution possible. Or, selon Socrate, c'est dans la tempérance que l'homme vit de façon ordonnée

recherche de la connaissance Opposition avec les sophistes qui se proclamait savant possesseur de la vérité, qui manipulait la rhétorique et faisait la moral aux gens. Donneurs de leçons toutes faites, prêtes à penser. Rhétorique : qui sait persuader Persuader : c’est faire accepter une idée à autrui par les sentiments = passivité intellectuel Socrate : 1er philosophe (SPA : Socrate Platon Aristote). Socrate a été obligé de boire du poison par les sophistes car il pensait trop. Il a été accusé de corrompre

technique ou de l’utilité qui domine dans les sociétés industrielles dites « de consommation » semble peu en accord avec les exigences et le cheminement d’une discipline dont le propre est le désintéressement (Les juges ne reprocheront-ils pas à Socrate, lors de son procès, de ne pas se faire payer pour ses « leçons » ?), le goût pour les questions plus que pour les réponses, le souci des « jeux de langage » (concept de Ludwig Wittgenstein)... Si l’on affirme, selon la formule prosaïque, que

l’ignorance sans intermédiaire. Pourtant, une telle approche nécessite tout de même de s’interroger plus précisément sur le savoir. En effet, l’ignorance n’est peut-être pas nécessairement absence de savoir. Ici, vous pouvez penser à la célèbre formule de Socrate lorsqu’il dit « je ne sais qu’une chose c’est que je ne sais rien ». La reconnaissance de l’ignorance devient un savoir. Le savoir n’est plus conçu comme la possession d’une somme de connaissances, il est un savoir sur soi, un rapport à soi. Il faudrait

démocratie s’apparente à être la garante des libertés de chacun en tendant vers une république. Par la suite nous observerons, que la démocratie contient nécessairement un risque de tyrannie et de division du peuple. Pour finir, nous verrons que les démocraties sont finalement des outils pour permettre à la population de mieux vivre en cohésion. I) La démocratie tend vers le modèle de la république a) La spécificité de la démocratie face aux autres modèles

Parménide). Puis Aristote, Socrate et Platon révolutionne le système philosophique en imposant une justification et une démonstration a toutes pensées. C’est ce qui les différencies principalement des philosophe évoqués précédemment. Aristote invente la logique. La logique : Etre capable de distinguer dans un raisonnement la forme qui peut être utilisé, dans un exemple particulier. Euclide est l’inventeur des maths. Hippocrate est l’inventeur de la médecine. Sophiste, Rhéteur : Très habile dans