Snecma

d’une loi du 31 décembre 1991 qui n’est que la transcription d’une directive communautaire de 1989. La doctrine fait apparaître une obligation générale de sécurité qui est à la charge de l’employeur. Cette obligation est d’origine légale. L’arrêt SNECMA du 5 mars 2008 où le juge peut suspendre une réorganisation du travail dans l’entreprise lorsque cette réorganisation compromet la santé et la sécurité des salariés de l’entreprise. Peu à peu, on a vu apparaître une véritable politique de prévention

de Suez de 1991 à 1996, président d’ISM (crédit-bail immobilier et foncière) filiale de Crédisuez de 1996 à 1998, puis Directeur délégué chargé de mission auprès du Directoire de Suez-Lyonnaise des Eaux de 1998 à 1999. Il est entré dans le groupe Snecma en 1999 comme Directeur général adjoint des affaires économiques et financières et, lors de la création de Safran en 2004, en est devenu Secrétaire Général et membre du Comité Exécutif jusqu’au 1er juillet 2009. Nombre d’actions Sodexo détenues :

informationnels. Deuxième partie : Cas pratiques (11 séances) Cette année, le cours s’intéressera aux stratégies de consolidation : Suez, Gaz de France, EDF, Montedison, BNP Paribas, BNL, Caisse d’Épargne, Banque Populaire, Thalès, DCN, TPS, CanalSat, Safran (Snecma/Sagem), Sanofi, Aventis… Chacun des cas étudiés sera présenté par le président ou l’un des directeurs généraux de ces entreprises. Période : Automne 12 blocs – 24 heures – 1 ECTS Patrice Allain-Dupré 102 Promotion 05 HSS 511F N

de la distribution spécialisée et de l’informatique, l’auteur fait plusieurs constats : - l’inconfort généralisé des évaluateurs face aux attentes fortes des DRH et des salariés (évalués) ; 54 Interview de Xavier Baron, ancien DRH de la SNECMA : « L'évaluation de la performance : un indispensable simulacre d’objectivité », mai 2008. On voit que les conclusions du chercheur et les constats empiriques de vétérans de la fonction RH se rejoignent… 55 « L’évaluation individuelle des salariés

l’assurance, de la distribution spécialisée et de l’informatique, l’auteur fait plusieurs constats : - l’inconfort généralisé des évaluateurs face aux attentes fortes des DRH et des salariés (évalués) ; 54 Interview de Xavier Baron, ancien DRH de la SNECMA : « L'évaluation de la performance : un indispensable simulacre d’objectivité », mai 2008. On voit que les conclusions du chercheur et les constats empiriques de vétérans de la fonction RH se rejoignent… 55 « L’évaluation individuelle des salariés

L.E.N.A.50. De tels partenariats existent dŽjˆ depuis longtemps, essentiellement entre europŽens et amŽricains. Nous avons relevŽ dans notre introduction l'exemple de Corning Glass et Saint-Gobain. Citons Žgalement ATT et Olivetti (Italie), GE et SNECMA (France), Honeywell et Ahlstrom (Finlande), Corning Glass et Siemens (Allemagne) ou Ciba Ceigy (Suisse). Ces accords concrŽtisent, en quelque sorte, une nouvelle Žtape dans l'Žmergence d'une triade, c'est-ˆ-dire d'une tripolarisation de l'Žconomie

nationalisations à partir de décembre 1944: On commença le 14 décembre naturellement par les bassins houillers, qui étaient la base de tout redressement, puis on nationalisa Renault le 26 décembre 44 puis d'autres suivent en 45: 1945, Gnome et Rhône (SNECMA) en mai, la radiodiffusion et les transports aériens (Air France) en juin. Les mesures de nationalisation prises à partir de décembre 1944 sont dans' la ligne du programme établi par le CNR ; elles sont de nature politique car les partis de gauche

4121-1 du Code du travail, l’employeur a une obligation d’évaluer et de prévenir le risque. Cette obligation de sécurité et de résultat vise la prise de mesures adaptées. L’obligation de sécurité s’étend à la santé mentale du salarié. Par un arrêt Snecma rendu le 5 mars 2008, la chambre sociale de la Cour de cassation (N° 06-45888) a estimé que l’employeur devait s’abstenir de mettre en place une organisation « de nature à compromettre la santé et la sécurité des travailleurs concernés ». Il s’agit

emparées du sujet comme d’un enjeu de santé des travailleurs, et s’appuient sur 3 arrêts pour dénoncer certains dispositifs d'évaluation : l’arrêt Mornay du 31 mars 2007, qui oblige à consulter le CHSCT avant la mise en place de l'évaluation, l’arrêt Snecma du 5 mars 2008, qui marque une nouvelle étape dans l'obligation de résultat en matière de sécurité au travail, et la décision du 5 septembre 2008, sur Wolters Kluwer France, qui sanctionne le dispositif d'évaluation au motif de certaines notions trop

engagés à cofinancer une étude de faisabilité sur deux ans d’un coût total de 120 millions de livres (145 millions d'euros). L’étude est confiée au groupe français Dassault Aviation et au britannique BAE Systems, qui travailleront avec les motoristes Snecma (Safran), Rolls-Royce et avec les groupes d’électronique Thales et Selex. « Nous allons rester à la pointe des technologies de défense en investissant 120 millions de livres ensemble dans la phase de faisabilité d’un engin de combat sans pilote