Situation D Enonciation

d’abord nous pouvons dire que le texte théâtral ou l’échange théâtral fondé sur la double énonciation est source d’invraisemblances acceptées par tous. Le théâtre est détaché de la réalité, il n’est qu’un divertissement. La double énonciation correspond au fait que lorsqu’un personnage communique avec un autre personnage sur scène, il s’adresse aussi au public. De ce fait, nous pouvons dire que la double énonciation permet de faire passer un message tout en le divertissant. L’illusion comique de Corneille

souhaitée, mais comme dans Huis clos il n’y a plus d’avenir (puisque l’avenir serait un présent constamment renouvelé), la parfaite liberté des individus devient inutile. Le tragique sartrien provient donc de l’inutilité d’une liberté totale dans une situation déjà faite et dans l’incapacité des personnages à modifier leur passé et leur avenir inexistant.  L’extrait qu’on va se proposer d’étudier se situe à la fin de la pièce, à savoir à la fin de la scène 5 du seul acte. On assiste ici à la prise de

à la fois à convaincre et à persuader Des arguments qui critiquent la barbarie des pratiques dénoncées+ pathétique L’injustice de ces pratiques, le racisme sous-tendu par ces pratiques 2/des différences dans la stratégie argumentative utilisée -énonciation :Diderot seul à utiliser l’argumentation indirecte dialogue fictif entre 2 locuteurs un esclave et son oppresseur. Je= esclave Il laisse la parole aux préjugés colonialistes Condorcet lui lettre adressée aux esclaves noirs Je/Vous mais indirectement

gestes et situation. On retrouve ici le comique de mots dans l’accent du personnage gascon joué par Scapin. Les transformations dans l’écriture des mots faites par Molière tels que « vonne hure » pour bonne heure font rire le spectateur . Le caractère comique se retrouve dans l'attitude de Scapin qui parvient à donner des coups de bâton à Géronte, tout en se faisant passer pour son plus dévoué serviteur. Ce caractère est renforcé par La crédulité de Géronte . Le comique de situation de la scène

• Énoncé-énonciation : une double information Lieu privilégié du langage, le théâtre met en oeuvre à la fois l'énoncé et renonciation pour le spectateur : — l'énoncé renseigne sur le personnage dont on parle (sur Tartuffe, par exemple) ; — l’enonciation renseigne sur le personnage qui parle et qui se révèle dans son énoncé, comme Mme Pernelle. • La double communication théâtrale La situation de communication au théâtre est particulière, car elle repose sur une double énonciation : — le personnage

« Ne pas fumer » est une interdiction car nous baignons dans un interdiscours, un ensemble immense d’autres discours, qui vient étayer cette interdiction. L’ancrage dans la situation d’énonciation : la plupart du temps les phrases sont porteuses de marques de temps et de personne, des marques qui les ancrent dans la situation d’énonciation. « Ici, hier, je, tu… » ne sont interprétables que si l’on sait à qui, où et quand l’énoncé est dit. 3. Les contextes  Le cotexte : c’est le contexte linguistique

rapportés au style direct Énumération ; répétition Lettre situation d énonciation Hyperbole  comparaison/métaphore Eloge <-> mélioratif superlatifs, texte poétique Champs lexicaux : amour, orient et beauté portrait Descriptif aux passages narratifs Valeur argumentative Temps verbaux : imparfait, futur simple, subjonctif passé , présent. Axes: I) Portrait élogieux de la destinatrice de la lettre. a) L être énonciation destinataire. b) Portrait éloge c) Poésie

plus bas, dans le fond…") décrit le décor. La didascalie ne dit rien de plus que ce le spectateur peut deviner ou voir. Or, le but d'une didascalie est d'ordinaire de d'assumer dans la première énonciation (de l'auteur au metteur en scène et aux acteurs) ce que le texte ne peut pas dire en deuxième énonciation (de personnage à personnage), c'est-à-dire de répondre à un besoin de précision ou d'information exceptionnel. Ce qui explique que dans la tradition classique, les didascalies soient certes nombreuses

début et a la fin du poème, ce qui montre que la situation est la même au deux moments de l'histoire . Cette anaphore marque le fait que ce poème est une histoire et montre la ressemblance entre la situation initiale et la situation finale de l'histoire. La chute présente dans les 2 derniers vers donne une morale a l'histoire. Celle-ci est que c'est souvent les gens les plus gentil qui sont rejeté ou qui subissent le désintérêt de la société. Énonciation : Durant tout le poème, l'auteur ne parle jamais

| |3 - Pour ou contre le progrès : | |4 - Pour conclure : faire un double schéma de la communication (double énonciation) | |5 - Pour prolonger : étude d’un groupement de textes | 1 - Lecture méthodique du premier chapitre |Questions : qui ?