Situation D Enonciation

double énonciation • La situation d’énonciation est particulière : sur la scène, des personnages se parlent (premier niveau d’énonciation), mais ce n’est qu’un jeu dont le véritable destinataire est le spectateur (second niveau d’énonciation). • Une des premières conséquences est que le spectateur en sait plus que les personnages : il assiste à toute l’intrigue, alors que les personnages ne sont pas censés savoir ce qui se passe quand ils ne sont pas présents sur scène. • La double énonciation joue

| | |L’écoute de la chanson |leur demande d’identifier cinq verbes, le mode et le |identifie les verbes et les temps verbaux | |Le video-projecteur | | |. Enonciation des |Le professeur demande aux élèves d’analyser la phrase| | | | | |objectifs à atteindre et |de la chanson et d’identifier les temps

arriver :  « leur envoyé arrive. » De plus, ils ne s'aiment plus l'un l'autre : l.24 « Pâris ne tient plus à Hélène. Hélène ne tient plus à Pâris » répétition + chiasme, situation fixée, sans issue de secours → Hector dont on entend l'approche, il revient d'une guerre : l.11-12 « il arrive ! Tu entends assez ces trompettes... » c.Une situation encore très équilibrée (infos recueillies par le spectateur) équilibre montrée par la jeune servante → le chœur populaire antique son optimisme est montré par

: ce sont les mots dont le référent dépend de la situation d'énonciation, comme les pronoms "je" et "tu" (ou "nous" et "vous") qui désignent l'émetteur et le récepteur du propos, les adjectifs démonstratifs et possessifs qui y renvoient, les adverbes de lieu ("ici" et "là"), les adverbes de temps ("maintenant", "aujourd'hui" ou "hier")… ÉNONCIATION : c'est l'acte de production d'un énoncé par un locuteur qui présente des traces de son énonciation, et peut mettre en scène, de façon plus ou moins

l’écriture théâtrale de Marivaux reste encore à faire. Entre le marivaudage qui semble réduire le fait langagier à un jeu verbal subtil et raffiné et l’option inverse du « réalisme » qui semble s’en désintéresser pour ne privilégier que l’étude des situations et des personnages, la place réelle du langage dans le théâtre de Marivaux constitue un champ d’exploration encore mal circonscrit. Or, ainsi qu’en témoignent des travaux récents, d’orientations théoriques diverses, cette place est à l’évidence

successifs de l’action : • L’exposition, qui informe le spectateur sur les circonstances de l’action, les personnages en présence et le conflit potentiel ; • Le noeud de l’intrigue, la situation du conflit marqué par des oppositions des obstacles à surmonter et des péripéties (renversements de situation) ; • Le dénouement, qui résout le conflit, par l’échec ou par le sucés, et qui fixe le sort des personnages (mort, mariage, couronnement…) II) La tragédie : a) Les héros. Les héros

malséant IE va à l’encontre des bienséances. Tonalité tragique avec vers emphatique ou lyrique (isolexisme) – (début de vers) qui donne une tournure pathétique au personnage mais aussi comique entre le registre employée et la situation qui est là. Echo au comique de situation car Arnolphe responsable du mal dont il souffre. Insistance mise en place par le parallélisme qui suggère que cela est rien et qu’Arnolphe craint qch « quelque » = dét indéfini ce qui participe au non dit. « caresse » a un sens

périlleux au cours duquel il est obligé de donner au spectateur les ingrédients de la pièce. Lié au titre, tout tient dans la façon de susciter auprès du spectateur l’envie de connaître la suite. Il faut donc, non pas proposer, comme dans le récit une « situation initiale », mais poser l’intrigue, présenter les personnages, susciter à la fois la curiosité et l’intérêt du spectateur. Ainsi, quatre scènes d’ouverture, tirées de pièces couvrant la période du XVIIIème à la fin du XXème siècle illustreront les

essentielles suffisamment éloignées les unes des autresafin d’éviter des répétitions d’arguments. La rédaction d’une partie répond généralement aux règles suivantes. Ce sont desrègles à respecter de manière identique pour chacune de vos parties. • Enonciation de votre idée essentielle : vous devez exposer dès la 1ère phrasevotre première idée essentielle sous forme d’une affirmation qui vous estpropre. • Argumentation (votre 1ère idée secondaire) : votre idée essentielle peut êtredivisée en plusieurs

ludique plaire et instruire (théâtre divertissement a la base), fonction morale (corrige mœurs par le rire = castigat ridendo mores), critique (dénonce ses cibles par satire) FONCTION CRITIQUE EX liberté de l'auteur à caricaturer les événements, situations, traits de caractères des personnages pour dénoncer * Aristophane Vème siècle avant JC, désacralise mythes en se moquant de leurs personnages (héros ou dieux). S’attaque violemment perso contemporains (ecrivains/philosophes/hommes politiques