Sens 5' vers 3'

.....................3 1 Luc PLAMONDON, Monopolis .........................................................................................6 2 Didier DAENINCKX, Le Jeu-Mystère ...............................................................................9 3 Collin HIGGINS, Jean-Claude CARRIÈRE, Harold et Maude........................................13 4 Arthur RIMBAUD, Les effarés .........................................................................................18 5 LE MONDE, La fracture

celui-ci immédiatement vers la pourriture, en montrant une Mort insensible aux inégalités sociales... En ce sens, nous allons pouvoir étudier le sujet à travers le choix de deux poèmes: Stances funèbres de Jean Auvray, et des sonnets de Jean Baptiste Chassignet, faisant partie de son recueil Mépris de la vie et consolation contre la mort dont le plus sollicité pour notre étude sera "Mortel pense quel est dessous la couverture...". En ce sens, dans le cadre d'une étude

persuadé que seul le poète peut percevoir intimement le monde sensible, cela fut sa première source d’inspiration. Il souhaite nous montré le rapport entre le monde spirituel et le monde matériel, d’après lui seuls les artistes savent déchiffrer le sens des analogies qui permettent de passer du monde des perceptions à celui des idées. Le poète utilise la méthode de la synesthésie pour nous décrire cela. Cette méthode nous est montrée grâce aux nombreuses comparaisons et métaphore. Baudelaire a opté

deux (ou plusieurs) vers est identique, quels que soient les phonèmes qui la suivent : Nu / dur sourire / mutine Comme la rime institue une identité des fins de vers, elle est apparue comme une marque spécifique qui délimite la fin du vers. a) Espèces de rimes Il existe des rimes féminines et des rimes masculines. Les premières ont la dernière syllabe sonore suivie d’un e muet (rivage/sauvage ; née/année ; gloire/croire). Quelle que soit la disposition des rimes, dans les vers réguliers les rimes

aucune…………………., Et ne voudrais pas même à ce prix un…………………..." Cela dit, maître loup s'enfuit, et court ……………………….(1) . Jean de La Fontaine (1621 - 1695), Fables, I, 5, 1668 (1) Les poètes s'autorisent la suppression du E muet de ce mot soit pour obtenir (comme ici) une rime masculine soit pour gagner un pied dans le vers (comme dans le vers 34 : Mais encor ?) Le Loup et le Chien Jean de La Fontaine 2L2 Objectifs : compréhension / acquisition, vocabulaire / Grammaire

Tableau-synthèse Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet. |« Le dormeur du val », de Rimbaud | |Réseau de sens | |Procédés thématiques |Preuves textuelles

LECTURE ANALYTIQUE Séance n°3 Étude du sonnet de Louise Labé LECTURE ANALYTIQUE Séance n°4 Travail sur la phrase complexe avec les textes de Labé et Hugo LANGUE Séance n°5 Exercices de grammaire (Manuel) + Récitation d’un poème au choix LANGUE ORAL Séance n°6 Synthèse sur le lyrisme (histoire littéraire) cf. fiche LECTURE Séance n°7 Les figures de styles : observation, définition. Cf. fiche de travail LANGUE Exercices d’écriture de quelques vers « à la manière de », avec une

ostentatoire et représentative Refus d'une poésie de l'apparence, de l'icône (= image), de l'idole (= image), qui paraît dans le mot « ostensoir » (v. 9), de « ostendeo », exhiber, faire voir, et le participe « étalant » (v. 5) ; d’une poésie du clinquant (« étincelant », v. 3, « ruisselant », v. 6), d'un artifice désuet qui se complaît dans la représentation d'images consacrées, de clichés, comme le vitrail avec « la Sainte », le missel ; d’une poésie de l'illusion (vitrine), purement décorative

notamment au vers 14 « je ne vous ose aimer » et au vers 11 « je ne puis ». Dans ce dernier vers, on retrouve également un verbe modelisateur « pouvoir » qui là encore indique la présence directe du poète. Le vocabulaire subjectif est lui aussi très présent et souligne le point de vue engagé de Du Bellay. On peut citer par exemple l'adjectif « beaux » que l'on rerouve au vers 1 mais qui est réemployé à plusieurs reprises dans le poème, ainsi que « précieux » au vers 5 et « divines » au vers 13. On peut

quasi Tristes sous leurs déguisements fantasques4. 5 Tout en chantant sur le mode mineur5 L’amour vainqueur et la vie opportune6, Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau, 10 Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d’extase7 les jets d’eau, Les grands jets d’eau sveltes8 parmi les marbres9. Note complémentaire : construction syntaxique des vers 2, 3 et 4 : • Les trois participes présents « charmant