Seigneurie Encadre Les Paysans

flanc oriental Juste 3 évêchés en Lorraine : Metz, Verdun, Toul Sud : Roussillon, Perpignan, Espagne Grand poids de l’Espagne qui est proche de l’empereur austro-hongrois (Habsbourg). Il faut sécuriser les frontières. Espace hétérogène 50 000 seigneuries, lois différentes suivant les provinces, espace vécu (local, dialecte, coutumes). Il faut rationaliser, organiser le royaume Monarchie absolue théorie de juristes royaux formulée début XVII et inculqué définitivement par Louis XIV. Le pouvoir du

celle des terre avec les concessions imbriquées, et qui repose sur un lien personnel, le lien de vassalité, et un lien réel, la concession d’un fief au vassal est complètement déréglé. Enfin il règne un climat d’insécurité permanant en dehors des seigneuries qui se traduit par une autarcie de celle-ci. Cependant, à partir du XIème siècle, des mouvements prenant leur racine dans une nouvelle conception de la société qui est la ville apparaissent. Il est donc légitime de se demander si ces mouvements

Seigneurs locaux qui prétendent pouvoir exercer le Droit de BAN. C'est l'apparition de la SEIGNEURIE BANALE. Le cadre de la vie juridique est resserré autour du château et les nouveaux seigneurs deviennent les nouveaux acteurs du Droit . Ces nouveaux Seigneurs aggravent les anciennes contraintes et en ajoutent de nouvelles, c'est l'apparition des COUTUMES. Les nouveaux acteurs du droit -la Seigneurie est en révolte contre le Roi -Au 11eme siècle, face à cette révolte, le roi de France Henri

apparaissent : 1. Les oratores (ceux qui prient) = Membres du clergé. (illustration) 2. Les bellatores (ceux qui se battent) = Seigneurs, chevaliers, nobles (illustration) 3. Les laboratores (ceux qui travaillent) = L’ensemble du monde paysan (illustration) Ce mouvement d’indépendance de l’Eglise entraîne des réformes dans le clergé et le monde des laïcs. 2°) Réformer le monde du clergé et des laïcs : Le mouvement de réforme entamé au XIe siècle par les papes visent aussi directement

mauvais cheval » (à distinguer du latin classique equus), dont les mots « cavalerie » et « cavalier » sont aussi dérivés. Le terme sous-entend une forte distinction entre les chevaliers, combattants professionnels d'élite montés à cheval, et les paysans et les bourgeois, souvent considérés comme médiocres combattants, qui fournissaient la masse de l'infanterie, et, plus tard, de l'artillerie. La chevalerie a peu à peu développé ses valeurs et ses coutumes propres, sous l'influence notamment de

traditions guerrières ils vont la communiquer aux vaincus, aux gallo-romains. Désormais, la frontière sociale qui sépare civils et soldats disparaît. La société qui se forge est à tous les niveaux dominée par la violence, elle repose sur la force. Les paysans barbares s’adaptent vite aux travaux sédentaires de la terre, tout en introduisant un peu plus d’élevage. Dans cette société en formation, on voit se constituer une aristocratie. Ce sont les héritiers des anciennes aristocraties gallo-romaines

qu’est la seigneurie apparait comme une organisation complète sur tous les plans (politique, administratif, économie et social). De plus, c’est un territoire autonome mais qui noue des relations avec les autres, s’organise et s’ordonne (Chapitre 1). D’autre part, cette société voit une grande variété de manifestation de solidarité qui s’exprime à tous les niveaux et répond à la recherche de l’appui d’un groupe (Chapitre 2). CHAPITRE 1 : L’ORGANISAITON ECONOMIQUE ET SOCIALE DE LA SEIGNEURIE CHAPITRE

de l'église (toutes les heures) ça servait surtout pour les paysans. La paroisse est le cadre de vie du croyant, là où il est baptisé et où tout le monde est baptisé. Le croyant va s'y marier, faire sa communion( = recevoir le corps du Christ après s'etre confessé pour communiquer ac Dieu. Dans la chrétienté occidentale, tout le monde est catholique, on est enterré dans un cimetière, et on reçoit l'extreme-onction. Le clergé encadre la société a) le clergé céculier : prêtre qui enseigne

au morcellement territoriale on observe une montée de la violence que le roi est incapable d'endiguer. Cette violence est particulièrement sensible là où l'autorité est défaillante : en Aquitaine. Face à cette violence endémique dont souffre les paysans et l'eglise, les autorités ecclésiastique décident de prendre les choses en mains. A l'initiative des évêques d'aquitaine, se développe la Paix de dieu. Ce mouvement part de l'Aquitaine, un premier concile (synode) local en 987 se réunit au Puy-en-Velay

vie économique. De nouveaux intermédiaires Les agents de cette activité se diversifient ; ce ne sont plus quelques spécialistes juifs et italiens, mais des intermédiaires chargés par les seigneurs d’écouler des surplus agricoles, des fils de paysans et des bateliers à toutes les aventures pour sortir de leur modeste condition. De plus, l’Orient musulman aux grandes villes luxueuses (Bagdad, Alexandrie, Damas) manque de matières premières : bois, fer, étain et main-d’œuvre. Cette demande incite