Seigneurie Encadre Les Paysans

agricoles, de nouveaux villages sont construits, ainsi que de nouvelles églises et chapelles. l'habitat dispersé est alors minoritaire et les paysans tendent à se regrouper en nouveaux villages. Dans les régions du sud, proches de la frontière du monde musulman et exposées aux menaces d'attaques, les villages se construisent et sont investis pas les paysans qui peuvent posséder leur propre terre. Plus au nord de l'Europe, on voit se développer des villages-rues ou des villages organisés en cercle

qui travaillent (les paysans) et les chevaliers (les seigneurs). Réciprocité entre ces 3 ordres, chacun ayant des responsabilités. I. Les relations entre seigneurs et paysans Ce sont les grands seigneurs qui ont assuré la protection de leurs hommes sur leur terre car les rois n’exercent plus leur autorité sur leur royaume. Les GS possèdent de vastes territoires. Donc lien d’homme à homme où les plus faibles se mettaient sous la protection d’un plus puissant. Ainsi les paysans se mettent sous la

l’Eglise, les combattants, puis les paysans. Alors que la vie du plus grand nombre reste rythmée par les travaux des champs, une minorité aristocratique, soudée par des liens féodaux, dirige les travailleurs et peut se consacrer à la guerre ou aux loisirs. Examinons comment la féodalité permet d’encadrer et de hiérarchiser une partie de la société médiévale dans l’occident chrétien. La seigneurie est un rapport dominant et dominé. Ce système social encadre la communauté villageoise, et avant de

deviennent peu à peu de grands propriétaires terriens et s'éloignent de leur vocation des débuts (y compris les cisterciens). Ils ont des seigneuries, perçoivent la dîme, font travailler des paysans… Leurs abbés sont des nobles qui se rapprochent du pouvoir politique. Le nombre de fondation de monastères baisse au xiiie siècle. II. Des fidèles de plus en plus encadrés 1. Un monde croyant • Au xie et xiie siècles, les populations européennes sont très croyantes. Cependant, la manière de concevoir la

pouvoirs publics : chacun va exercer des pouvoirs autonomes dans son intérêts des pouvoirs que l'on attribue normalement à l'état. De cette double hiérarchie, ressort un morcellement des pouvoirs publics. Ce sont des principautés qui seront des seigneuries et cela s’accompagne avec une faite de l'autorité public car chacun veut s'accaparer des prérogatives régaliennes. Donc monde féodal dominée par une aristocratie militaire qui va développer son propre mode d'organisation sociale, son propre mode

CAPETIENS (987-1322) dernières années du 10ème, modifie la conception du pouvoir, des règles de la monarchie et s’impose au-dessus des seigneurs, et donc au sommet de l’ordre féodal Ordre féodal : Articulation hiérarchiser de seigneurs et de seigneuries au sommet de laquelle se trouve le roi qui a des rapports avec des grands seigneurs, qui on a leur service d’autres seigneur plus local avec un nombre incalculable de terres. Système royal basé sur la vassalité Vassalité : La Vassalité, qui est

au système féodal que l’on surnomme aussi «seigneurie». Ce système maintenait la paix et la justice dans un certain territoire, et cette forteresse s’entourait d’un groupe de combattant professionnels qui aidait à maintenir l’ordre et à exploiter, pour prix du service qui leur rend, les habitants de la seigneurie et les passants. Vers le début de sa création, on distinguait le chevalier par sa prouesse. Au tout début, ceux-ci combattait pour leur seigneurie mais, par malheur, ils ont développés au

gothique. Abbaye => richissime : exemption d’impôts Seigneuries dépendent de l’abbé de st Denis => enrichissement de l’abbaye Bassin parisien = territoire fertile. Paysans doivent payer la dîme (1/10 récolte) Serf(quand paysans ne peut plus payer la dîme) ne peuvent plus quitter la terre du seigneur. c) L’encadrement des fidèle Paysans encadrés par le seigneur. Au <3 du village = église *si religieux=seigneur => paysans soumis à l’Eglise Photo livre. Vallée agricole dominée

des seigneuries, perçoivent la dîme, font travailler des paysans… Leurs abbés sont des nobles qui se rapprochent du pouvoir politique. Le nombre de fondation de monastères baisse au xiiie siècle. • Cette situation ne convient pas à certains clercs : des ordres mendiants prônent l'idéal de pauvreté et critiquent les relations entre le pouvoir et la religion. C'est le cas des franciscains (« frères majeurs ») et les dominicains (« frères mineurs »). II. Des fidèles de plus en plus encadrés 1. Un

La seigneurie banale Droit de banc (> banum) : pouvoir que possède le seigneur d’encadrement, de contraindre, de punir. Il appartenait avant au roi mais au cours de la dégradation de la M carolingienne, il a été transféré. Il s’exprime par des manifestations de domination du seigneur sur l’ensemble de ses dépendants (petits vassaux, paysans appelés les manants). On trouve aussi le nom de seigneurie justicière. Ces droits s’appliquent sur les châteaux, les maisons fortes… Le droit de ban est d’abord