Scene Comique

Une scène d’exposition sert avant tout à introduire la pièce, à introduire l’intrigue. Molière, dans cette pièce, L’Ecole des Femmes, utilise le comique. On peut donc se demander : En quoi cette scène d’exposition utilise-t-elle le registre comique afin d’évoquer l’amour? Afin de trouver la réponse à cette question on étudiera d’abord les informations que la scène d'exposition nous apporte puis l’utilisation du comique pour évoquer l’amour. Molière utilise la scène 4 de l’acte 1 comme scène d’exposition

LECTURE ANALYTIQUE 1 : (L'Illusion Comique : Acte I, Scène 1, vers 1 à "me confondre") Contextualisation : - Le début de ce texte est sous l'influence de la pastorale (genre romanesque du XVIIème siècle, roman gigantesque avec pleins de péripéties, se passe à la campagne, il y a souvent un prince charmant, des bergers et un magicien, comme exemple type il y a l'Astrée d'Urfé). Le début de l'Illusion Comique fait penser au genre de la pastorale car il y a des éléments merveilleux. - "étrange

Lecture Analytique 4 L'illusion comique de Corneille Acte V, Scène 5 I/ Situation L'extrait proposé à mon étude est la scène 5 de l'acte V de L'illusion Comique de Corneille. Pridamant cherche désespérément son fils disparu depuis maintenant dix ans. Pour l'aider, il demande au magicien Alcandre. Ce dernier va lui montrer la vie de son fils à travers une mise en scène. Clindor, le fils de Pridamant est au service de Matamore, un fanfaron, qui est secrètement amoureux d'Isabelle, que Clindor

Introduction Cette scène de L’illusion Comique est une scène d’exposition : deux personnages sont présents : Pridamant, qui a perdu son fils, et Dorante, qui connaît le magicien. Un personnage est absent : il s’agit d’Alcandre, le magicien que Pridamant s’apprête à rencontrer. On passe du réel à l’illusion et on est mis au courant de la quête du père. I - Une scène d’exposition Cette scène pose les deux personnages, qui ne sont pas très importants, et les éléments qui justifieront

Pierre Corneille, L’Illusion comique (1636) Acte II, scène 5 CLINDOR, ISABELLE CLINDOR Jugez plutôt par là, l'humeur du personnage. Ce page n'est chez lui que pour ce badinage, Et venir d'heure en heure avertir Sa Grandeur, 480 D'un Courrier, d'un Agent, ou d'un Ambassadeur. ISABELLE Ce message me plaît bien plus qu'il ne lui semble : Il me défait d'un fou pour nous laisser ensemble. CLINDOR Ce discours favorable enhardira mes feux A bien user d'un temps si propice à mes vœux. ISABELLE

Comment la mise en scène d'un texte théâtral peut-il en atténuer ou en révéler le comique ? Le théâtre est un genre littéraire assez singulier puisque il harmonise à la fois littérature et spectacle. Toujours vivant et en évolution constante ; même si ce n'est pas son but premier ; il permet dénoncer les problèmes de la société à travers certains genres dont la comédie, qui se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant » d'après Molière. Ainsi on en vient à se demander dans

L'illusion Comique, Corneille (1636) Lecture analytique - a la gloire du theatre Dans cet extrait qui est la seconde partie de la scene 6 de l'acte 5 (vers 1765 A la fin de la piece) on peut lire un plaidoyer pour le theatre préparé par toute la piece. "Mon fils Comedien!" s'exclame Pridamant, c'est que du jeune homme au service d'un maitre un peu fantasque (Matamore) a l'amant d'une princesse (Clindor jouant)

 Tout d'abord, le comique de la scène est dû à la complicité du public entre Araminte et le public. En effet, à la ligne 3 : "Il ne sait pas ce qu'il fait, voyons si cela continuera" l'emploie de la première personne du pluriel à l'impératif (donc "nous") du verbe voir invite le lecteur à partager, observer Dorante avec elle. Aussi, à la ligne 15 : "Est-ce qu'il ne parlera pas ?" l'emploie de cette question rhétorique relance l'intérêt du lecteur. Par ailleurs, cette scène de comédie commence

Lecture analytique numéros 1 : extrait de l'acte 1 scène 2 vers 121-162 Introduction : Pierre Corneille est auteur dramatique français, né en 1606 à Rouen et mort 1684. → qualifie L'illusion comique d' « étrange monstre » → Pour celui qui s'imposera par la suite comme le maître de la tragédie classique la pièce est assez déroutante et ne semble respecter aucune règle, ni de genre ni de vraisemblance. → Premier acte : Pridamant, conduit par Dorante, vient consulter le mage Alcandre

Illusion comique : Acte II, scène 8 et 9 Scène 8 : le discours d'une femme jalouse. Le premier vers commence par une métonymie (Clindor est représenté par un trait de caractère) qui met en avant le caractère supposé par Lise : « L’arrogant » . L'expression « tenir ville gagnée » et familière et repose sur une métaphore guerrière (c'est un cliché pour désigner la séduction). Le discours de Lise souligne son origine sociale : c'est une servante : « c’est pour son nez » Le thème de l'arrogance