Scalaire

… variable .%TYPE ; … BEGIN TYPES DE DONNEES COMPOSITES TYPE DE DONNEES TABLES PL/SQL Il s’agit de tableau à un dimension, avec une clé primaire de type BINARY_INTGER et une colonne de type scalaire qui stocke les éléments du tableau Déclaration d’un tableau PL/SQL TYPE nom_type IS TABLE OF type_scalaire [NOT NULL] INDEX BY binary_integer ; identifiant nom_type ; Exemple :

BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE I VECTEURS ET ANALYSE DIMENSIONNELLE I. GRANDEUR SCALAIRE- GRANDEUR VECTORIELLE……………………………..7 II- VECTEUR…………………………………………………………………………………7 II.1. Vecteurs II.2. Propriétés II.3. Intensité – Module II.4. Mesure algébrique III. OPERATIONS ELEMENTAIRES SUR LES VECTEURS……………………………..10 III.1. Addition vectorielle III.2. Soustraction vectorielle III.3. Relation de Chasles III.4. Produit d’un vecteur par un scalaire IV. SYSTEME DE COORDONNEES CARTESIENNES…………………………………..11 IV.1. Système

REPONDRE 1. Le vecteur AV, se construit en reportant le vecteur V, au point P., puis Vopposé du vecteur V, a l’'extrémité du vecteur V,. 2. Le systéme est soumis a l'action de la Terre et a l'action de lair. 3. Ecrire la relation vectorielle puis scalaire entre AV, et X F. Réaliser Uapplication numérique en faisant attention aux unités et en respectant le nombre de chiffres significatifs. 4. Schématiser SF, le poids P etla force de freinage F et en déduire la relation liant l'intensité de ces forces

il n'y avait plus au sérieux par un scientifique de génie aujourd'hui oublié. Tesla n'a jamais révélé le secret de ces grandes inventions. Américains d'aujourd'hui selon laquelle les Soviétiques ont longtemps découvert que l'utilisation des ondes scalaires Tesla. Temps interpréter le fait que les Soviétiques étaient en pourparlers sur SEL en 1975, de manière inattendue a proposé de limiter le développement de nouvelles armes "plus effrayant que tout ce que l'homme peut imaginer." L'une de ces armes

cycles que l'on a dans un mètre parcouru par l'onde. Ainsi, le SCALAIRE du vecteur d'onde donnera directement le nombre d'oscillations par mètre parcouru par l'onde dans un milieu donné, mais permettra aussi de connaître la vitesse en fonction de la fréquence. Rappel : un vecteur peut-être décrit soit dans un plan vectoriel (purement algébrique ; on associe alors un SCALAIRE (=nombre) au vecteur), soit dans un plan géométrique (par une droite ou deux points

son ensemble à l’instant t. On définit en chaque point du système − les grandeurs : µ(x, y, z, t), P (x, y, z, t) ; →(x, y, z, t) etc...Ainsi, à un instant t, on peut représenter v c Jimmy Roussel 1.2. Description d’un fluide 9 les champs scalaires (µ et P ) à l’aide d’iso-surface (iso-bares et iso-densité), et les champs vectoriels (vitesse et accélération) à l’aide des lignes de champ. Notion de ligne de courant : Une ligne de courant est une ligne de champ du vecteur vitesse c’est-à− dire

des puissances d’une e matrice. 19 3.4 Espaces euclidiens, g´om´trie euclidienne, espaces hermitiens e e Cette partie est organis´e autour de quatre objectifs : e – Consolider les acquis de la classe de premi`re ann´e sur le produit scalaire, les espaces vectoriels euclidiens et e e la g´om´trie euclidienne du plan et de l’espace. e e ´ – Etudier de nouveaux concepts : somme directe orthogonale de sous-espaces vectoriels ; dans un espace euclidien, adjoint d’un endomorphisme, r´duction

Opérations sur les matrices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1.2.1 Addition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1.2.2 Multiplication par un scalaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1.2.3 1.3 1 1.1.1 1.2 Les matrices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Multiplication matricielle . . . . . .

la notation multiplicative et on dit « somme de , on écrit et et on dit « produit » de ; et . Les L.C.E. sont notées généralement par la notation multiplicative , on écrit (ou par simple juxtaposition ». ) et on dit « produit de par le scalaire 1.4 Exemples de lois de composition  Les opérations usuelles l'addition et la multiplication sont des L.C.I. sur et  La soustraction exemple : Semestre III est une L.C.I. sur mais et mais elle ne l’est pas sur (contre ). Session :

d’une matrice >>A=[1,2,3;4 5 6] Pour obtenir un e´ l´ement d’une matrice : 1.2 D´efinir un scalaire Un scalaire est par d´efinition une matrice de dimensions 1 taxe est : ou >>a=[3.23] ✄ >>A(2,3) ans = 6 1 la syn- Pour obtenir une ligne ou une colonne : >> A(:,3) >> A(1,:) ans = ans = 3 1 2 3 6 Ces commandes permettent aussi d’extraire des e´ l´ements en les r´eorganisant : >>a=3.23 Les scalaires sont tous a priori des r´eels (pas de distinction explicite entre nombres entiers et nombres