Réalisme Et Dimension Symbolique

et l’étude de l’œuvre : 3e chapitre du programme: «L’espace, l’œuvre et le spectateur dans la culture artistique et l’histoire des arts…l’espace culturel de l’œuvre dans ses dimensions sociales et politiques: symbolisation, engagement de l’artiste, œuvre de commande, œuvre publique, mécénat.» A) Arts et contestation (dimension politique et sociale de l’œuvre): 1) Pablo Picasso, Guernica, 1936, huile sur toile. Au 20e siècle, les artistes affirment leurs positions sur les plans social et politique

raffole sa sœur Camille au point de se déguiser en Japonaise, et dans sa sculpture LA VAGUE, de rivaliser ( de façon supérieure) avec le peintre Hokusaï ; Claudel journaliste, peintre de l’exotisme (mœurs, paysages, religion). Donc une part de « réalisme » : récits, portraits, paysages, tableaux, scènes… 2-Auto-portraits (en filigrane) : a)-son tempérament violent, sauvage : ex. le PORC, le BANYAN ; b)- sa solitude, nostalgie ( même s’il en souffre moins que Du Bellay), même s’il est anti-romantique ;ex

course est marquée dans le premier paragraphe par un ensemble de procédés qui placent le lecteur dans une position d'attente. Au-delà de l'aspect purement dramatique, il est important de noter que la description dépasse le simple réalisme pour atteindre une dimension épique. La réalité est totalement transfigurée, amplifiée, démesurée. Plusieurs procédés contribuent à cet effet. On relève la présence de nombreuses hyperboles comme des adjectifs hyperboliques (« chose superbe », « furieuse audace

schémas du rêve. Il n’y a pas toujours un souci de réalisme, en effet, la durée du message nous renvoi à l’idée de compression du temps. Quand on est dans le domaine du rêve on parle de condensation, quand on rêve reviennent de notre mémoire des situations et scènes prises a différents moments de la journée et donc juxtaposent et forment un scénario complètement loufoque. On projette dans l’avenir et donc il y a une importante utilisation de la symbolique. On peut dire que la publicité agit sur nous comme

partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique (celle du sang) mais aussi pour sa valeur symbolique ; dans notre culture le rouge symbolise en effet le violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier que dépeint Otto DIX : une guerre qui se déploie dans la boue et la crasse et qui répand

[I - Le théâtre n'exprime pas le réel concret] [A. Des intrigues éloignées du réel] La première preuve que le théâtre ne cherche pas à être une copie conforme du réel réside dans les intrigues. La plupart d'entre elles méprisent le réalisme. Shakespeare a su rester à travers les siècles un des dramaturges les plus fameux ; or ce n'est ni dans le fantôme d'Hamlet, ni dans les sorcières de Macbeth, ni dans les fées du Songe d'une nuit d'été que l'on trouvera l'expression du réel. Même

rien dire EX: Molière pas de didascalies= en costumes? Faux costumes mais c’est une vision historique alors. ==pas de perso mais un discours de l’hypocrisie, du faux semblant pour Tartuffe Il n’y a que la fidélité au texte = ca va de soi== dimension idéologique esthétique, philosophique psychanalytique. P97 : grille du perso 3 colonnes : horizon= textuel 2eme scénique 2) voir si codé Signes individualisant= marque / discours inconscient

de vue. (La route de la Baie James) Marc Lainé a fait lui aussi ce voyage dans le nord du Québec et a aussi fait la connaissance des cris, dont la culture chamanique l’a inspiré pour cette histoire. On retrouve ainsi dans Vanishing Point une dimension fantastique propre aux légendes amérindiennes. Il n’est donc pas étonnant que des apparitions ou des fantômes sortent de ce paysage mystique… Par exemple, sorti de nulle part, à travers un épais nuage de fumée dû aux gaz d’échappement de la tentative

i:ilffiï:îjr,1ri;!Lî,i:,,:riili;;"#î:i",,î:iï:*,, Premtère sous-partie Idée lbcemple Le théâtre présente nécessairegrent |action et res personnages dans un cadre limité' d'un point de vue spatial et temporet: le spectacle s,inscrit dans les dimensions de la scène et dans le temps de la représentation. Les personnages, dont on ne connalt que les dilcours et res gestes, n'ont pas ra profondeur des personnages de roman ; irs sont souvent réduits à des types.llninsi, maîtres et varets rioppor

directement à l’imaginaire du lecteur qui n’oppose aucune résistance, tout peut être envisagé. Dans un mythe, le récit se déroule sous l’égide des Dieux qui imposent aux héros leur influence, infligeant des obstacles, manipulant ainsi leur destin. La dimension divine est une réponse suffisante aux tentatives d’interprétation réaliste du mythe. Ainsi Roger Caillois, sociologue et Mythologue présente t’il le fantastique comme une évolution du merveilleux. Il explique que si le féerique s’ajoute au monde