Réalisme Et Dimension Symbolique

Rose-Croix qui recherche les forces spirituelles gouvernant l’Univers. L’activité d’Yves Klein est donc gouvernée par une cosmologie qui fait du monde le principal acteur de l’art. C’est cette idée du monde comme œuvre que Klein apporte au Nouveau Réalisme. Néanmoins, la finalité de sa démarche reste pleinement artistique : ses théories aussi bien que ses innovations sont à interpréter comme des contributions majeures à l’évolution de l’art contemporain dont l’artiste avait clairement conscience

et la pureté et la naïveté qui caractérisent un enfant de cet âge. De plus l’utilisation de masques fige l’expression faciale des personnages ce qui résulte en un théâtre très gestuel, très caricatural qui laisse de côté le réalisme pour aller vers un théâtre plus symbolique. Finalement il y a une référence à la création du cinéma à l’époque avec des personnages maquillés en blanc et noir illuminés avec une lumière clignotante, donnant l’impression de voir un film ancien. Cela permet d’ancrer l’action

tous les détails présents dans le livre dans le but de bien rendre la violence sanglante du réalisme que Zola décrit dans le livre. La fosse du Voreux, cette sorte de beffroi qui contient les câbles des cages d’ascenseur, va ainsi devenir, comme dans le roman, un personnage à part entière, une véritable bête humaine, un monstre qui avale les hommes et les recrache en loques ou en bouillie. Il prend une dimension fantastique de bête vorace et sa cheminée fait penser à une corne menaçante. Enfin, il y

les divers tons et les divers degrès de lumière sont repartis avec un certain choix; voilà son être intime". Selon Aurier, qui illustre parfaitement le point de vue de Denis, l'oeuvre d'Art devait être "idéiste" parce que son idéal est l'Idée, "symbolique" parce qu'elle exprimait cette idée au moyen de formes, "synthétique" parce que l'objet n'y était jamais conçu comme objet, mais comme le signe d'une idée conçue par un sujet. Elle devait donc être décorative, comme chez les Egyptiens, et sans doute

soleil « le frappe comme une gifle »=> agressivité de la chaleur qui va être un élément dominant dans la suite du récit. INFLUENCE CHALEUR/SOLEIL SUR LE MONDE ET SUR MEURSALUT : l’amène progressivement à lui faire commettre le meurtre SUR LE MONDE : dimension spatiale, le sable « chauffait » « soleil tombait sur le sable » « chaleur de pierre » => verticalité de la chaleur. Elle limite le monde »éclat sur la mer insoutenable » »écrasait » »se brisait en morceaux  sur mer/sable », lumière => élément quasi-palpable ;

travail de son père. A une époque d’industrialisation, brutale et face au bouleversement sociaux, en particulier sur les terre de l’ancienne Volhynie, se forme un regard critique sur le monde industriel et urbain. Le «retour à la terre» fonction symbolique d’antidote idéaliste à l’industrialisation agressive des villes russes, excroissance violemment techniciste et matérialiste à laquelle symbolistes, nabis, expressionnistes et autres dadaïstes répondaient avec les accents messianiques d’un idéalisme

volonté d'objectivité. Frères Goncourt, chefs de file du réalisme voir Germinie Lacerteux. Dans cette préface ils se livrent à une clinique de l'amour. Mme Bovary en est aussi une à travers la peinture de la médiocrité du quotidien. Elle marque la reconnaissance littéraire de Flaubert due notamment au procès. ZOLA dans Flaubert et ses œuvres annonce que c'est une « reproduction exacte de la vie ». Ce qui rapproche Mme Bovary du réalisme ce sont les thèmes de la province, de l'ennui de la médiocrité

lexical de la passion : « son âme s’égarait », « il aimait avec passion, il était aimé » → image d’un Julien capable des plus grands exploits.MAIS ironie du narrateur en filigrane : utilise style indirect libre et insère dans les pensées du héros une dimension ridicule → ambition hyperbolique.→ Scène romantique qui contient en germe la critique de celui-ci. Stendhal montre que le rêve n’est que provisoire.II) Une scène réaliste : le retour à la réalité des hommes· Intervention du narrateur qui brise le

part entre les situations vécues et leur récit et d’autre part entre émission et réponse. De même que Paul Scarron qui, par le biais de son œuvre : Le Roman comique, propose le récit de la vie d’une troupe de théâtre, ancrant ainsi son œuvre dans un réalisme reflétant une humanité parfois dérisoire et grotesque. De plus, celui-ci de par une multiplication des intrusions ironiques du romancier-narrateur, entame une entreprise de démystification du roman lui-même. Enfin, l’horizon du roman historique retraçant

l’avenir de ses personnages. Le premier face à face qui unit deux héros en couple principal dans un roman s'inscrit d'abord dans un contexte et des circonstances particulières définis par l'auteur. Le lieu par exemple a souvent un caractère symbolique. Ainsi, dans le roman de la Princesse de Clèves, la rencontre entre le duc de Nemours et la Mlle de Chartres a lieu lors du bal des fiançailles entre le duc de Lorraine et Claude de France. Ce lieu illustre le luxe et la galanterie, il fait par