Rousseau Intérêt Et Désir De Distinction

d’abord une affaire de pulsion. On peut préciser que c’est une pulsion de groupe, « être comme les autres », être en conformité avec le groupe . Les mœurs expriment pour Nietzsche une morale du troupeau. Elles sont relatives au désir d’obéir, de suivre, d’être commandé. Le bien est ce qui est normal ; le mal est ce qui anormal, non ordinaire. Parler de pulsion de groupe signifie qu’il y a une force qui pousse le groupe à accomplir des actions qui vont

sens, aucun être humain ne peut posséder un droit divin de diriger la France. C’est à la Nation que doit revenir le pouvoir de gérer le pays, et non à un groupe restreint de privilégiés. Cette volonté de répartir le pouvoir va effacer toutes les distinctions faites sous l’Ancien Régime: il n’y aura plus que des citoyens, égaux en droit. Les citoyens ne seront plus soumis à l’arbitraire royal, mais ils disposeront de droit à faire valoir à l’encontre de l’Etat, pour sauvegarder leurs libertés. Ces droits

quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant)

quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant)

et en est le gd architecte. Pr lui , Dieu s'est retiré de la création du monde et a laissé l'homme libre de ses actions et de ses pensées. Le déisme de Rousseau est différent et emprunte bcp au christianisme : il met en avant la bonté du créateur. Pr lui, Dieu, est un roi bon et tolérant, guidé par la raison. Cette conception permet à Rousseau de critiquer les textes évangéliques. Qq fois la foi des Lumières, ils contestent la religion catholique, l'église. On voit le danger de remise en cause de

tous enfants de Dieu et donc égaux devant lui : on voit bien ici l’influence de ce courant de pensée sur la Déclaration elle-même. Une autre idée des Lumières présente dans ce texte est la notion de « contrat social », promulguée par Jean-Jacques Rousseau, philosophe des Lumières et artisan de la Révolution française. Ce concept sépare l’état de nature de l’homme et son état social, créé par lui en passant un contrat à travers lequel il sacrifie certaines de ces libertés pour jouir de la société.

BERNARD MANIN PRINCIPES DU GOUVERNEMENT REPRÉSENTATIF Des démocrates athéniens à Montesquieu, d'Aristote à Rousseau, personne ne songeait à faire de l'élection l'instrument démocratique par excellence; démocratie n'équivalait pas à gouvernement représentatif, c'est le tirage au sort qui paraissait le mieux apte à respecter l'égalité stricte des candidats. Que s'est-il passé au tournant du XVIIIe siècle, en Europe et aux États-Unis, pour que se renverse cette conception multiséculaire et

aussi par le biais de tout un tas de coutumes, de rites et de valeurs qui imprègnent ces sociétés là. On note le poids important de la discussion du groupe lui-même. L'existence d'un pouvoir séparé, d'une autorité centrale est donc inutile. La distinction gouvernants/ gouvernés n'existe pas dans les sociétés primitives. Pour P. Clastres, c'est l'essor d'un pouvoir politique centralisé qui entrave un droit particulier, le droit de la société à s'auto-gouverner. Ces sociétés ne sont pas uniquement

Chapitre II : Le Désir Philosophie : le désir introduction : Position du problème : le désir est à la fois la sensation douloureuse d'un manque et ce qui nous pousse à agir. En effet, lorsque l'on désir quelque chose on a la sensation douloureuse, anticipation de la douleur, qui nous pousse à agir. On peut dire que le désir est toujours l'expression d'un manque, et que pour combler ce manque nous cherchons à agir en pensant que la satisfaction de nos désir nous permettra d'atteindre

Le désir Introduction 2 1. Désir et raison 2 2. Désir et besoin 3 3. Désir et volonté 3 4. Désir et aversion 4 I. L’objet du désir 4 A. Une multiplicité d’objets 4 1. Le présupposé de la question 4 2. Le désir vise le plaisir 5 B. La vie 5 1. Approche phylogénétique (Darwin) 5 2. Conséquences existentielles (Schopenhauer) 5 3. Toute chose s’efforce de persévérer dans son être (Spinoza) 6 4. Tout est volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort