Rousseau Freud Dieu Religion

prospérité tant qu’il est l’interprète des Dieux. Société monothéiste : Dieu a créer toutes les règles et si les uns sont dominés les autres dominent c’est parce que dieu l’a décidé donc c’est normal. Le roi s’il vient de Dieu peut-il tout faire ? Tout pouvoir vient de Dieu à travers le peuple. Cette conception peut aboutir à la théocratie qui est un système politique dans lequel ce sont les religieux qui commandent au nom de Dieu. L’explication, du contrat social XVIIème sc -> apparition du

Au-delà du désespoir et La Cinquième Cavalière. Dans ma thèse de doctorat transformée en essai intitulé le complexe de Dieu, je révèle ce que je crois être la cause profonde de ce déchirement entre le besoin de sens et le sentiment de l’absurde chez l’homme moderne. (cf citation de Camus sur Kirilov) Tout se passe comme si le projet absurde de l’homme moderne de prendre la place de Dieu l’avait conduit à la perte du sens suite à son échec pathétique… Comme l’a parfaitement montré le philosophe

des instincts ou des puissances de la vie, souvent liés à la nature corps de l’homme. Mais, et c’est là que se situe la découverte de Freud, l’inconscient peut-être conçu comme une entité psychique à part entière, ayant sa propre structure et son propre fonctionnement, et n’ayant donc  pas moins « droit de cité » dans le système psychique que la conscience. Freud établit en 1900 sa première topique, composée de trois systèmes : l'inconscient, duquel émanent les désirs/fantasmes, et qui contient

philosophie. B. Les problèmes métaphysiques : La connaissance suppose deux réalités : l’esprit et la matière. Quelle est donc la nature de l’esprit ? Celui-ci, considéré comme la première réalité humaine selon Descartes, nous ramène à l’existence de Dieu, garant suprême de notre connaissance et de l’existence du monde. Cet esprit serait-il une lumière divine dans le monde humain ? « Leibniz »,se pose la question suivante : Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? En fait tous humain se demandent

Sous le monde réel, il existe un monde idéal, qui se montre resplendissant à l’œil de ceux que des méditations graves ont accoutumés à voir dans les choses plus que les choses. Victor Hugo (1802-1885), préface des Odes (1822) Les bêtes sont au bon Dieu; Mais la bêtise est à l'homme. Victor Hugo, La coccinelle, Livre premier – Aurore - Les contemplations La pensée est un vin dont les rêveurs sont ivres Victor Hugo, Paroles dans l'ombre, Livre deuxième – L'âme en fleur - Les contemplations

possèdent encore la liberté d'avoir parlé ". André Guillois.  " Le visage de mon prochain est une altérité qui ouvre l'au-delà. Le Dieu du Ciel est accessible sans rien perdre de sa transcendance, mais sans nier la liberté du croyant. ". Emmanuel Lévinas.  " Liberté efflanquée vaut mieux que gras esclavage ". Thomas Fuller. "Pour promettre l'Eternité, les religions restreignent les libertés ". Jacques Attali.  " La liberté, ce n'est pas de pouvoir ce que l'on veut, mais de vouloir ce que l'on

exclut la conscience et même lui résiste. C’est donc ce qui ne peut devenir complètement conscient car des processus tels que le refoulement ou la résistance s’y opposent. On reconnaît ici la conception de l’inconscient dans la psychanalyse de Sigmund Freud. Résumons donc : l’inconscient se dit en deux grands sens comme adjectif, c’est une absence de conscience et comme substantif, c’est une réalité psychique ou une dimension de l’esprit humain. Quels sont maintenant les grands problèmes que pose la

réflexion, et il a écrit que la réflexion est égale pour tous les hommes. La philosophie est liée à la théologie. * Institution : ordre social et/ou politique, religieux = pouvoir Spinoza lui a une vision panthéiste de Dieu et Descartes va démontrer l’existence de Dieu La conscience nous confert le pouvoir d’exercer la raison. Elle nous confert la vérité. Les deux voies de la vérité sont la science et la philosophie. La liberté d’agir ou la liberté morale et politique Etre libre

fonction d’unir la communauté. Mais, particularité, le bouc émissaire est également celui qui apporte la solution au problème, par son sacrifice même; une fois la haine sublimée, il sera donc traité en héros, voire divinisé. Girard pense que chaque dieu d’un panthéon polythéiste est le reflet d’une violence sacrificielle passée, dont le souvenir se serait transposé dans la mémoire collective à travers les mythes. Dernier grand point de sa théorie (et là, il faut se rappeler que René Girard est chrétien

fait particulière dans l’univers, dans la mesure où il est il est doué de conscience. C’est pourquoi nous avons tendance à penser que la connaissance de soi est une évidence. « Passant ma vie avec moi-même, je dois me connaître » affirme d’ailleurs Rousseau, grand philosophe du 18éme siècle, dans sa première lettre à M. de Malesherbes. Pourtant, la conscience permet seulement à l’Homme de savoir qu’il est un sujet : savoir que je suis est-ce savoir qui je suis ? Avoir conscience de soi