Rousseau Contre Locke

montre pourtant qu'il n'en est rien. Les grands théoriciens de la représentation sont Hobbes et Locke. Chez l'un comme chez l'autre, en effet, le peuple délègue contractuellement sa souveraineté aux gouvernants. Chez Hobbes, cette délégation est totale. Or, elle n'aboutit nullement à une démocratie : son résultat est au contraire d'investir un monarque d'un pouvoir absolu (le « Léviathan »). Chez Locke, la délégation est conditionnelle : le peuple n'accepte de se défaire de sa souveraineté qu'en

D’où la nécessité d’une distinction : a. Philosophie du droit et théorie générale du droit : L’expression « théorie générale du droit » est apparue à la fin du XXème siècle, sous l’influence du « positivisme » et de l’ « empirisme » et en réaction contre la philosophie du droit qui se pratiquait jusqu’alors. Les tenants de la théorie générale du droit critiquèrent la philosophie du droit classique pour son caractère spéculatif. Les questions classiques dont elle traitait : « qu’est-ce que le droit 

Claudine à L’Ecole (1900), Chéri (1920), La Maison de Claudine (1922), Le Blé en Herbe (1923), et Gigi (1944). Rousseau : Rousseau est un philosophe du siècle des Lumières, né à Genève en juin 1712 , et décédé à Ermenonville en juillet 1772. Il est l’un des pères de la Révolution Française. Il est le précurseur du romantisme. Ses influences sont Plutarque, Machiavel, Hobbes, Descartes, Locke et Malebranche. Il est l’auteur des Confessions (entre 1766 et 1769). Il a également écrit deux essais : Le

refusent la Terreur (guerre civile, guillotine… : l’expression vient de Robespierre, qui voulait instaurer « la terreur et la vertu ». François Furet voulait que la Révolution devienne « un objet froid », car au 17ème, on est viscéralement pour ou contre la Révolution (encore aujourd’hui des gens se passionnent pour la Révolution). 2° analytique La Révolution française a connu différentes phases, qui ont intéressé certains groupes politiques qui s’y reconnaissaient : la monarchie constitutionnelle

Dans ses Lettres philosophiques il traite presque tout: physique, religion, art, politique, économie, le problème de l’âme etc. Figure emblématique de la France des lumières, chef de file du partie philosophique, son nom reste attaché à son combat contre «l'Infâme», nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. -Buffon (1707-1788) Participant à l'esprit des Lumière, parallèlement à l’Encyclopédie, il est à la fois académicien des sciences et académicien français

anglais avec Locke. Les thèmes des Lumières sont l'esprit critique, la raison, la démarche scientifique fondée sur le raisonnement logique et les hypothèses, la Métaphysique (discipline qui voit au delà du monde matériel, pour observer la société, la religion, la mort et ce qui est irrationnel, pour y donner une réponse rationnelle), la lutte contre les préjugés et les privilèges mais aussi les inégalités (contre le droit du sang...), l'idée de droit de l'Homme (égalité, liberté, contre l’esclavage

égaux en droit ». Mais qu'en est-il dans les faits ? Il est clair que dès qu'on observe les faits, l'égalité n'est plus de mise. La différence des compétences semble même aller contre l'idéal d'isonomie. N'est-il pas alors souhaitable de confier les affaires de la cité aux meilleurs ? C'est ce que pense Platon qui, contre les sophistes, condamne la démocratie dans la mesure où elle n'est qu'une médiocratie : Parce que l'égalité de parole donne finalement le pouvoir aux incompétents, il faut réserver

est un personnage en action car on peut identifier plusieurs verbes au passé simple (3ème paragraphe). Il ya de plus un monologue intérieur qui donne une réflexion sur l’enseignement (l.11à12). Il s’adresse à un destinataire (Rica) qui lui montre le contre model et le model (noble ≠ bon noble) .L’imparfait d’habitude apporte une réflexion morale et nous montre la bonne manière de se comporter (entre narration et description). NB : Montesquieu (1689-1755). Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède

en France). En faite, on comprends que le législateur n’est pas infaillible que le parlement peut se tromper, que la loi peut porter atteinte aux liberté et aux droit fondamental des individus. Il est donc nécessaire de se protéger contre elle et pas seulement contre le pouvoir exécutif. Ce qui signifie que la loi n’est plus du système normatif. · Le développement du constitutionalisme (= le mouvement d’apparition des constitutions/ qui met la constitution en haut de la pyramide des normes et qui

A- Quels sont les mécanismes de la soumission ? Les théoriciens du contrats sociales, Hobbes, Rousseau et Locke pensent que l'origine de l'État est en soi une renonciation de l’Homme à une partie de leurs libertés, ou droits naturels, en échange de lois garantissant la perpétuation du corps social. En premier lieu, ils affirment qu’à l’état de nature,