Rousseau Contre Locke

Second traité du Gouvernement Locke :Publié en 1690 ;Inspire de nombreux écrivains et penseurs du XVIIIe (comme philosophes de Lumières français : Rousseau, Voltaire) ;Marque par sa philosophie de l’empirisme (la connaissance de l’homme découle de son expérience).Marque aussi par ses études sur le droit et les justes manières de gouverner un état.S’oppose à Sir Robert Filmer, plus précisément à « Écritures » et sa thèse qu’il va qualifier d’absurde (celui-ci prônait et justifiait la monarchie absolue

berceau de la philosophie. Il y a par contre des limites. Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Cette question permet de voir la philosophie d’une autre façon. Les sophistes : gens qui abandonnent l’étude de la nature. L’essentiel pour eux est le discours : convaincre les gens, très utile en politique et lors d’un procès. Ces sophistes s’intéressent beaucoup à la politique et ils disent que la parole peut tout dire : le pour et le contre ; mais il faut apprendre comment le dire

Introduction : « Le partage des trois pouvoirs constitue proprement ce qu’on nomme république, comme la réunion des trois pouvoirs constitue ce qu’on nomme monarchie ». Né à Grenoble en 1715 et mort en 1780, Étienne Bonnot de Condillac reprend la thèse de Locke dans son œuvre « Le cours d’études » publié en 1755. Cette critique directe de l’absolutisme français tend à démontrer que la concentration des pouvoirs dans les seules mains du monarque absolu relève essentiellement d’une forme de despotisme ou

devient la « lumière naturelle » de la raison. Augustin : « Dieu lui-même est la lumière vraie, qui illumine tout homme en ce monde. » Au 18e, les « Lumières » deviennent le mot d'ordre d'un courant philosophique, selon la métaphore d'une lutte contre les ténèbres et l'obscurantisme. Le terme de « Lumières » désigne un courant de pensée du 18e caractérisé par l'effort pour comprendre le monde à la « seule lumière naturelle » de la raison. (Descartes) Expression qui s'est imposée a posteriori

tout deux une idée de responsabilité de l’individu dans la construction de son être - la définition de Locke est la plus communément admise : l’instruction s’adresse plutôt à l’esprit qu’elle vise à former par l’acquisition de savoirs et l’éducation vise à la formation de l’être dans sa globalité. L’éducation englobe donc l’instruction ce qui lui donne d’emblée une valeur supérieure. Locke parle de nécessité de l’instruction, mais d’une nécessité de second rang qui complète les fondamentaux fournis

beaucoup de pays les fondements du droit sont religieux. Le droit était aussi basé sur la coutume : règles généralement admise par tous puisqu'elles sont vues comme « naturelles » 1789 : Révolution, Philosophes des Lumières : Montesquieu (1689-1755) Rousseau (1712-1778) Ils ont développé dans leurs ouvrages une réflexion politique. Et ont critiqué le système monarchique basé sur la religion : théocratie. (différent de la démocratie) Ils ont également critiqué le système absolutiste (Le Roi avait le pouvoir

leur liberté. Le Léviathan est la seule institution qui détient le droit de contrainte. Les individus ont totalement renoncé à leur liberté et le Léviathan devient une institution extrêmement puissante. B. LA théorie du contrat social chez Locke Locke est aussi un auteur anglais qui a écrit en 1690 « essai sur le gouvernement civil ». Contrairement à Hobbs, il va décrire un état de nature complètement idéalisé, les Hommes ne sont pas en guerre, ils sont au contraire parfaitement libre et égaux

Commentaire : Document 1 Page 2 : John Locke, Traité sur le gouvernement civil (1690) Article 16 de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. » John Locke (1632-1704) est un philosophe anglais et un précurseur des philosophes des lumières. Il est essentiellement connu pour sa

ordre des choses, parler de corruption reviendrait à dire que la société est capable d'altérer le citoyen en l'éloignant d'un état premier, juger meilleur ; ou de l'engager par des dons, des promesses ou par la persuasion à agir contre sa conscience, son devoir. Si pour Rousseau cet état premier est un état d'équilibre, d'auto-suffisance, sans éducation ni progrès, une vie expérimentée dans l'instant du besoin, pour d'autres comme Hobbes il est présenté comme une période heureuse de communisme primitif

un être absolu qui dispose de tous les pouvoirs. Dans ce sens le pouvoir politique est séparé de la société civile ; il se structure de façon centralisée. Cette conception du pouvoir politique est récusée par certains auteurs comme John Locke, Montesquieu, Rousseau, entre autres. Pour ces derniers le pouvoir politique ne saurait être absolu. Ils défendent l’idée d’un pouvoir limité dont l’exercice obéit à des règles qui traduisent la volonté populaire. Il s’agit d’un pouvoir destiné à sauvegarder