Rousseau Contre Locke

parce qu’il n’a pas su : La bonne méthode n’a pas été trouvée Soit parce qu’il n’a pas voulu : Il n’entrait pas dans la politique du roi d’uniformiser les règles du droit privé  Hypothèse retenue aujourd’hui. Sous la Révolution on veut prendre le contre-pied : La République est une et indivisible en 1789.Puisqu’il y a UNE nation, il doit y avoir UN droit civil uniforme. Le droit civil doit être le même pour toute la nation. Volonté publique de la Révolution de faire des codes : 3 projets de Code

(‘’laisser-faire, laisser.passer’’) ; Locke (1632-1704) : précurseur du libéralisme en Angleterre, pour lui, le droit de propriété est fondamental. Montesquieu (1689-1755) : il introduit l’idée de la séparation des pouvoirs, pour assurer la liberté. Quesnay (1694-1774) : Smith (1723-1790) : en commun avec Locke et Quesnay, il dit que les hommes doivent être libres, comme l’économie, pour ne pas le rendre dépendant. Rousseau (1712-1778) : il imagine que tous les

l’individu avait des droits basés sur d’autres fondements que la seule tradition. On parle alors d’avènement du sujet pensant, en tant que l’individu peut décider par son raisonnement propre et non plus sous le seul joug des us et coutumes. Ainsi, John Locke rédigea ses deux Traités du gouvernement civil dans lequel il avance que le droit de propriété n’est pas familial, mais totalement individuel et retiré du travail consacré au terrain concerné, ainsi que de sa protection face à autrui. Une fois l’idée

littéraire, Les lumières Définition des Lumières : Les philosophes des Lumières veulent "éclairer" leurs concitoyens en luttant contre l’ignorance, notamment à travers le projet grandiose de l’Encyclopédie. Les Lumières veulent asseoir le règne de la raison, de la lumière naturelle qui accumule des connaissances.  Le contexte historique : La philosophie de John Locke (1632- 1704) se répand progressivement en France. Pour lui, le peuple demeure le seul souverain véritable, et tous les hommes possèdent

trouvant son expression dans une loi qui protège chaque citoyen autant qu'elle le menace. Aussi la question de la liberté semble-t-elle se dissoudre dans la question du droit ; mais ce terme ambigu requiert d'emblée des distinctions conceptuelles. (Ci-contre, "Architecture de plans" de Paul Klee.) "Le" droit désigne un ensemble cohérent de normes juridiques en vigueur, dans un pays donné ("le" droit anglais, par exemple) ou concernant une catégorie particulière de faits qu'il s'agit de réglementer

XVIIe et XVIIIe s :libéralisme, Lumières et souveraineté populaire 20 2.2.1. Section I : le libéralisme 20 2.2.1.1. Paragraphe 1 : John Locke Vie et œuvre: le libéralisme classique ou libéralisme individualiste 20 2.2.1.1.1. La vie les œuvres et les fondements de la pensée de John Locke 20 2.2.1.1.2. l’état de Nature pour Locke 21 2.2.1.1.3. Le Pacte Social 21 2.2.1.1.4. Le contenu du pacte social : le règne du droit. 22 2.2.1.2. Paragraphe 2 : Ch. de

était né le 21 novembre 1694 et vécut jusqu'à l'âge de 83 ans. Il choisit la carrière des Lettres contre la volonté de son père, qui disait qu'il ne pourrait pas vivre de sa plume. Quoi qu'il en soit, à l'époque où il avait une quarantaine d'années, Voltaire était à la fois un écrivain renommé et un homme riche. Voltaire est connu pour ses écrits philosophiques, pour sa grande ironie et pour sa lutte contre l'injustice, l'intolérance, la cruauté et la guerre. En France ,au 18ème siècle, il était l'écrivain

l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fait l’excellence de sa nature et la moralité de ses actions. » Rousseau, Émile ou de l’éducation. La conscience morale est une voix qui parle en nous et qui nous permet, en notre for intérieur, de distinguer le bien du mal, d’en fournir des normes, de mesurer la valeur des actions, de juger de notre conduite et de celle des autres. Rousseau a pensé avec acuité le statut de la conscience morale. Il la définit comme un juge qui ne peut être trompé

de nos sociétés. Pour qu’elle puisse s’appliquer, la politique s’exerce à travers le pouvoir dans la mesure ou c’est grâce à lui que la relation entre gouvernants et gouvernés va s’établir. Ainsi, de Platon à Foucault en passant par Hobbes, Locke ou Rousseau, l’Homme n’a cessé de réfléchir à son comportement en société et à la vraie nature du pouvoir. Le pouvoir politique correspond à l’ensemble des processus et des rôles sociaux par lesquels sont prises et exécutées des décisions qui concernent

quʼil est le monarque absolu de droit divin. LʼEtat monarchique est le produit dʼune longue histoire, les institutions se sont formées progressivement. Schématiquement on peut dire que dans un premier temps le roi affirme sa souveraineté pour lutter contre tous les obstacles. A la fin du 16eme, surtout au 17eme, on voit le développement de lʼabsolutisme. Cad que dʼun point de vue théorique le roi détient désormais tous les pouvoirs. Il a une autorité incontestable, incontestée, sans limites, sans partage