Rosanvallon La Contre Démocratie

d’emploi, paris, Edition entrecom, 2005. Charon Jean-Marie, L’interview à la télé, Paris, Victoires-Editions, 1995 Cornu, Daniel, Journalisme et vérité, Pour une éthique de l’information, Genève, Labor et Fides, 1994. Coulon-Gully Marlène, La démocratie mise en scène. Télévision et élections, Paris, CNRS édition, 2001. Jost François, Introduction à l’analyse de la télévision, Paris Ellipses, 1999. Lochard Guy & Boyer, Henri, La communication médiatique, Paris, Le seuil, 1998, Lochard Guy

isolés et n'a pas d'incidence sur leur participation dans la sphère publique. La participation d'un individu ou un groupe, suppose de prendre part à la conception, l'organisation, le contrôle et la mise en œuvre de la vie collective. Dans les démocraties, contrairement aux régimes dictatoriaux, des dispositifs facilitent cette participation politique mais de manière imparfaite. Michel Briand (maire adjoint de Brest) le souligne « l’expression citoyenne ne va pas de soi (...) Le chemin est long

synthèse de François Furet (Le passé d’une illusion) et les travaux de Marc Lazar. Soulignant sa dette bibliographique, Romain Ducoulombier plaide pour une histoire conceptuelle du politique qui rappelle la thématique de la leçon inaugurale de Pierre Rosanvallon au Collège de France, le 28 mars 2002, ultime formalisation d’une démarche initiée par François Furet en 1979 à partir de ses travaux sur la Révolution française6. L’appréhension des origines du communisme passe, dans cette perspective, par l’appel

exploitation des débats parlementaires, de la presse sportive ainsi que de divers dossiers conservés aux Archives nationales, initialement engagée dans le cadre de la préparation de plusieurs chapitres de l’ouvrage d’accompagnement de l’exposition Sport et démocratie (3 juin - 30 juillet 1998) confiée par l’Assemblée nationale à Jean Durry, Directeur du musée national du Sport. Les politiques du sport en France 439 deux autres parties traitent respectivement de la mise en place des premières politiques

Denis MonièreChapitre 1 La démocratie en questionnement Dans les tourmentes du XXe siècle, les principes de la démocratie libérale ont servi de rempart idéologique aux sociétés occidentales qui cherchaient à se protéger des influences délétères des idéologies communistes et fascistes. Dans le contexte de la guerre froide, la démocratie de représentation incarnait le meilleur système ou le moins mauvais des systèmes pour reprendre une expression de Churchill pour assurer la promotion

ordres va se défaire pour devenir, par la suite, une démocratie, c'est-à-dire une société politique d’égalité entre les individus dans laquelle le pouvoir revient au peuple. A cette époque, l’économie nationale et internationale se met en place grâce au développement de l’industrie. Selon Marx, la société serait devenue bipolaire : des rapports de force naissent donc entre prolétaires et bourgeois. Au contraire, pour Tocqueville, la démocratie entraîne la moyennisation de la société. L'égalité des

ordres va se défaire pour devenir, par la suite, une démocratie, c'est-à-dire une société politique d’égalité entre les individus dans laquelle le pouvoir revient au peuple. A cette époque, l’économie nationale et internationale se met en place grâce au développement de l’industrie. Selon Marx, la société serait devenue bipolaire : des rapports de force naissent donc entre prolétaires et bourgeois. Au contraire, pour Tocqueville, la démocratie entraîne la moyennisation de la société. L'égalité des

power » culturel de la France est dans le déclin graduel. Cet essai analyse des manifestations du déclin du « soft power » de la culture française, et présente les réfexion du président Sarkozy et des érudits français sur les causes de ce décin et contre-mesures. Le concept du « soft power » est premièrement proposé par un érudit américain, Joseph Nye, à la fin des années 80 du 20e siècle. Joseph a souligné : la force nationale globale d’un pays contient le pouvoir dur (Hard power) et la puissance

RECHERCHE DROIT ET ADMINISTARTION PUBLICS 2012-2013 Séminaire de Science politique Démocratie et lobbying : un concubinage tourmenté Présenté par : Lilas TRIMUA Sous la direction de : Monsieur Johann MICHEL BIBLIOGRAPHIE 1- Ouvrages P. Rosanvallon (2006), La contre-démocratie : la politique à l’âge de la défiance, Paris : Seuil, p. 26. Jean Christophe Adler : Lobbying, Transparence et démocratie, 2006 Gilles Lamarque, Le Lobbying, PUF Collection Que Sais-je ?, 1994 Roger Lenglet

système social inspiré à la fois des modèles beveridgien et bismarckien. Quelles sont ses limites ? Critique philosophique Prophétie d’Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique : Mise en garde précoce contre les effets pervers d’une organisation type Etat-providence. La démocratie génère l’égalisation des conditions, et l’individu tendrait à remettre sa liberté au pouvoir collectif, garant de la sauvegarde de l’égalité. De là naîtrait une servitude consentie