Rodogune

La Galerie du Palais (1633) La Suivante (1634) La Place royale (1634) Médée (1635) L’Illusion comique (1636) Le Cid (1636) Horace (1640) Cinna ou la Clémence d'Auguste (1641) Polyeucte (1642) La Mort de Pompée (1644) Le Menteur (1644) Rodogune (1644) Théodore (1646) Héraclius (1647) Andromède (1650) Don Sanche d’Aragon(1650) Nicomède (1651) Pertharite (1652) Œdipe (1659) La Toison d'or (1660) Sertorius (1662) Sophonisbe (1663) Othon (1664) Agésilas (1666) Attila (1667) Tite

de gloire de Corneille. Célébré par le public, reconnu par ses pairs, financé par le pouvoir, il connaît une décennie éclatante Polyeucte, tragédie 1643 La Mort de Pompée, tragédie Le Menteur, comédie 1644 La suite du Menteur, comédie 1645 Rodogune, tragédie 1646 Théodore, vierge et martyr, tragédie Héraclius, tragédie 1647 Corneille est reçu à l'Académie française 1648 Cette année-là commence la Fronde . Vont suivre 5 années de vrais troubles et de fausses trêves. 1649 Echec de Don Sanche

pouvoir des mots peut tout insinuer. Question corpus : Comparez les moyens grâce auxquels la mort est donnée à voir dans ces trois textes (procédés scéniques, procédés d’écriture…). Le corpus présenté ici est composé de trois textes de roman : Rodogune de Pierre Corneille, publié en 1644 ; Antony d’Alexandre Dumas, publié en 1831 et L’Horrible Expérience d’André de Lorde et Alfred Binet, publié en 1909. Le lien commun entre ces trois extraits romanesques c’est que tous les trois sont des dialogues

critique. On le voit, page 47, chapitre 12, lorsque le huron nommé « l’Ingénue » est enfermé avec Gordon à la Bastille, l’Ingénue lit beaucoup de pièces de théâtres comme l’Iphigénie moderne, ou Phèdre, Andromaque Athalie,Gordon lui propose de lire Rodogune de Corneille une des meilleur pièces de théâtre : « Cette pièce passe pourtant pour la meilleur que nous ayons » mais lui la trouve artificiel : « il y a souvent de l’illusion, de la mode, du caprice dans les jugements des hommes. J’ai parlé d’après

éduque le goût en proposant des esthétiques variées . Corneille , dans ses Discours sur le poème dramatique , signale que la tragédie doit avoir une valeur morale , par exemple en réservant un sort affreux aux personnages négatifs : Cléopâtre dans Rodogune meurt empoisonnée . Mais cette déclaration paraît ambiguë : l'apparition fracassante de Cléopâtre , préparée pour le II ème , impressionne le spectateur malgré lui , et provoque son adhésion . La tragédie propose une esthétique ambiguë , qui montre

comporte cinq actes, écrits en vers alexandrins; le respect des bienséances et le souci de la vraisemblance participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte.Le XVIIe siècle voit aussi la résurgence, après une longue éclipse, de genres littéraires hérités de l'Antiquité : la

comporte cinq actes, écrits en vers alexandrins; le respect des bienséances et le souci de la vraisemblance participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte.Le XVII

L’amoureux extravagant (c) 1634 Médée (t) 1635 L’Illusion comique (c) 1636 Le Cid (tc) 1639 Horace (t) 1642 Cinna ou La clémence d’Auguste (t) Polyeucte martyr (t) 1643 La Mort de Pompée (t) Le Menteur (c) 1644 La Suite du Menteur (c) Rodogune princesse des Parthes (t) 1645 Théodore vierge et martyre (t) 1646 Héraclius empereur d’Orient (t) 1649 Don Sanche d’Aragon (ch) 1650 Andromède (t) Nicomède (t) 1651 Pertharite roi des Lombards (t) 1654 L’Imitation de Jésus-Christ 1658 Œdipe

Don Juan : Barbey d’Aurevilly, « Le plus bel amour de Don Juan » ; Baudelaire, « Don Juan aux enfers ». Présentation rapide de visions dégradées du personnage dans certains textes du XXe siècle. Lectures cursives : Deux tragédies classiques : Rodogune de Corneille et Phèdre de Racine. Une tragédie du XXe siècle : En attendant Godot de Beckett. SEQUENCE 2. Les Lumières, armes et combats. Objets d’étude : L’argumentation directe et indirecte, à travers les genres de l’essai et de l’apologue

Place royale 1635 : Médée 1636 : L'Illusion comique 1637 : Le Cid 1640 : Horace (Œuvre dédiée à Richelieu) 1641 : Cinna (Tragédie qui le consacra) 1642 : Polyeucte 1643 : La Mort de Pompée et Le Menteur 1644 : La suite du Menteur 1645 : Rodogune 1646 : Théodore, vierge et martyr, et Héraclius 1649 : Don Sanche d'Aragon 1650 : Andromède et Don Sanche d'Aragon 1651 : Nicomède et Pertharite 1656 : L'Imitation de Jésus-Christ 1659 : Œdipe 1661 : Conquête de la Toison d'or 1670 : Tite