Robespierre La Souveraineté Populaire

lequel les hommes sont d’ordinaire encastrés jusque dans le cadre familial, ce fut un théoricien de l’individualisme intégral et passionné. Au même titre que son contemporain Rousseau, Sieyès peut s’élever au titre de théoricien de l’Etat de la souveraineté ainsi Nation. Sieyès est un homme a part, Sa vie, on le sait, est marquée par dix années d’une brillante activité publique, qui tranchent tant avec la période précédente : obscur abbé sous l’Ancien Régime, éloigné de la politique sous l’Empire

français est celui là. Mais cela dissimule d’autres problèmes car le roi gouverne grâce à la légitimité de droit divin (qui est éternelle). Face à cela l’assemblé va présenter directement une nouvelle légitimité du pouvoir politique fondée sur la souveraineté du peuple ou de la nation. On explique l’instabilité politique en France ou de la nation par un conflit entre ces deux légitimités qui ne sera résolu qu’en 1875. Section I : L’instabilité politique et constitutionnelle française 1789-1958

et de l’État en 1905, qui garantit la liberté de conscience. Elle s’applique à tous les niveaux de l’État, et notamment à l’école avec la loi du 15 mars 2004. Démocratique → Les citoyens exercent leurs pouvoirs par le droit de votes. C’est la souveraineté nationale. La France garantie les libertés et les droits fondamentaux, ainsi que l’égalité de tous devant la loi. Sociale → La république tente de protéger les plus faibles et d’offrir les mêmes chances à tous. Les lois Ferry de 1881-1882 permet

l’autorité parentale. Cela existe aussi dans l’entreprise. Il existe un pouvoir spécifique: le pouvoir politique. Celui ci peut être qualifié comme un pouvoir suprême de gouvernement, supérieur dans tous les états aux autres pouvoirs. C’est la souveraineté qui caractérise ce pouvoir. Ceux qui ont détenu ce pouvoir, pour le conserver, ont essayé de le rendre héréditaire, et par la même occasion l’ont institutionnalisé (il n’appartient pas à la personne propre mai à l’Etat, cad que c’est au nom de

régimes politiques respectueux des libertés. Benjamin Constant : la liberté est « vrai dans toutes les latitudes ». Le constitutionnaliste doit donc avoir un regard critique sur les régimes qui se déclarent démocratiques (ex : les démocraties populaires d’Europe de l’Est ; ou la Russie moderne). Cette distinction porte sur le sens du droit, moyen d’applications des libertés qui ne se réduit pas à sa dimension technique ou descriptive. Conflit légalité/légitimité. Pellegrino Rossi : Constitution :

Ambiguïté de la règle de droit : On s’est prescrit la loi à nous même (et on a délégué son écriture) mais elle est sanctionnée par l’autorité judiciaire et la force publique. Il peut y avoir contradiction entre droit et impératifs moraux et religieux. Robespierre (1758-1774) : Il n’existe pas de limite à la puissance de la loi, violer la loi c’est être Rebel ; un seul mot d’ordre, l’obéissance. Réfute le droit N. Aristote : Le droit N est un principe supérieur de justice. Il existe un droit légal qui se

l'armée d'Italie, ce qui lui donne l'occasion de montrer son génie militaire et d'être le héros de l'époque en faisant régner la paix sur le continent. Il part ensuite en Egypte pour s'éloigner du pouvoir qui se méfie de lui, et reste ainsi un héros populaire en France. Lors de son retour, le Directoire est faible et menacé, Bonaparte en profite pour faire un coup d'Etat (18 brumaire) et se montrer comme le héros qui va sauver la France des forces étrangères et des royalistes. Il forme le Consulat

de la Cité), qui s’organisent en parti politique dès 1789 avec la création du club des Jacobins dont certains, plus modérés, créent le club des Cordeliers, en 1790, avec Danton ; ces Républicains sociaux sont alors appelés les Montagnards avec Robespierre et Saint-Just, en 1793 et 1794, n’hésitant pas à organiser la Terreur pour repousser les armées étrangères de France et lutter contre les ennemis de la Révolution à l’intérieur du pays. Il y a aussi les Républicains libéraux héritiers des Girondins

une autorité politique exclusive qu'on appelle la souveraineté. Cela veut dire que l'état ne subit aucune entrave vis à vis d'un autre état sauf celle qu'il aurait librement acceptée. L'état est caractérisé par l'existence d'une puissance publique, c'est une organisation politique et juridique qui est doté d'un pouvoir de contrainte et d'un pouvoir de sanction. On distingue la souveraineté de l'état que la souveraineté dans l'état. A/ Souveraineté de l'état Notion qui a été dégagé par Jean Bodin

peuple, se doter d’une constitution, c’est adopter la démocratie. Par là nous arrivons à deux grandes problématiques via une introduction. Titre 1er : Deux interrogations fondamentales. Chapitre 1 : Qui détient le pouvoir ? (problème de souveraineté) A l’origine, il y avait des tribus où le pouvoir était pris par le plus fort (Homme supérieurs aux femmes et enfants). Le pouvoir n’a donc aucune légitimité, il s’exerçait par la force. Toutefois les sociétés ont évolué. Sous l‘ancien régime